1-Si j'ai de l'argent, j'aiderai les démunis demain. a-J'aiderai les démunis demain si j'ai de l'argent. 2-Si j'avais de l'argent, j'aiderais les démunis. b-J'aiderais les démunis si j'avais de l'argent.
Pour exprimer la condition ou l'hypothèse, il faut, selon le contexte, respecter les règles de concordance des temps suivantes. Si tu viens, je partirai. Si tu venais, je partirais. Si tu étais venu je serais parti.
Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
Si : conjonction de subordination, introduit une proposition subordonnée de condition (ou d'hypothèse). Si est toujours suivi de l'indicatif. 1) Quand l'hypothèse est considérée comme réalisable, on emploie : si + présent de l'indicatif dans la subordonnée.
2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
À titre d'exemple, si, outre qu'il exprime une condition, peut aussi signifier chaque fois que,à l'instar de lorsque et quand, lorsqu'il y a une idée de répétition indéfinie. De même, le HANSE précise que lorsque peut avoir un sens conditionnel, celui de dans le cas où.
Autre raison de la confusion : de lointains souvenirs d'école disent que derrière "si" dans une phrase, le conditionnel suit. Faux ! Quand le "si" est suivi d'un présent, le futur est obligatoire. Ex. : Si vous venez, nous vous servirons.
Si est une conjonction de subordination qui introduit deux types de subordonnées.
● «Si j'aurais su»
C'est même tout le contraire! Rappelons la règle: lorsqu'on emploie la conjonction «si», qui traduit de fait une condition, il est inutile d'y ajouter un verbe conjugué au conditionnel. Ainsi, il faut écrire: «Si j'avais su, je ne serais pas venu.»
Senior Member. Alors, on utilise après "sauf si" surtout le présent. "Il viendra sauf s'il est malade."
Le conditionnel permet d'exprimer des faits dont la réalisation est soumise à condition. Il est généralement introduit dans une phrase avec un "si". S'il pleuvait plus souvent, la pelouse serait plus verte. J'aimerais qu'il vienne nous rendre visite.
QUAND -> Introduction d'une question sur une durée/un moment/en rapport avec le temps, ou pour introduire une subordonnée de temps. Exemples : Quand va-t-elle sortir son prochain album ? - Il sait que je dors quand je ne lui réponds plus.
D'après ce que je sais, Même si+ l'imparfait, on utilise la conditionnel présent dans la proposition principale. Même si+ plus que parfait, proposition principale :conditionnel passé.
Exemple : Je te prêterai mon livre à condition que tu me le rendes demain. Pourvu que + subjonctif (condition nécessaire). Exemple : Vous pourrez voyager pourvu que la SNCF ne fasse pas de grève. Pour peu que + subjonctif (condition minimale).
si : adverbe exprimant l'intensité ou la comparaison.
On peut le remplacer par tellement ou par aussi. Il n'est pas si grand que nous le pensions. Il n'est pas aussi grand que nous le pensions. Il est si grand pour son âge !
Dans le cas contraire, il convient presque toujours d'écrire « si », conjonction de subordination qui marque une condition (« si Léo vient, je serai content »), une affirmation (« mais si, il est d'accord ») ou une intensité (« il est si beau ! »)
Ellipse de 'si c'est possible'. S'emploie pour suggérer l'accomplissement futur et éventuel d'un fait ou d'une action, dans le cas où aucun élément contraire ne viendrait perturber son bon déroulement. Exemple : Pourriez-vous, si possible, m'indiquer mon chemin ?
Aussi / non plus. Exprimant l'identité, au sens de « pareillement, également, de même ». Aussi s'emploie dans des phrases affirmatives : si vous partez, moi aussi je partirai ; si vous partez, je partirai aussi. Non plus s'emploie dans des phrases négatives : vous ne partez pas, moi non plus.
De plus, Où placer aussi dans une phrase ? Placé en début de phrase, aussi est une conjonction et marque une conséquence ou une explication. Il a le sens de « c'est pourquoi, par conséquent ».
Si vous écrivez "je serai", vous employez le futur, tandis que "je serais" est conjugué au conditionnel. Dans le premier cas, il s'agit d'un engagement ; dans le second, c'est juste une éventualité.
Sinon / si non. Au sens de « autrement, sans quoi », sinon s'écrit toujours en un seul mot : il faut laisser sécher la colle, sinon la réparation ne sera pas solide ; obéis, sinon gare !
si n.m. inv. Expression d'une condition ; condition restrictive. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence)... Marque la dénégation après une interrogation négative et s'emploie dans...
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative. Par ex.