La routine du soir doit être bien installée et suivie avec le boire, le bain, le massage, mettre bébé dans la dormeuse ou lui ajouter une petite couverture, ajouter son objet rassurant (après 2 mois) et puis go, le dodo dans son lit. Si vous le bercez, il ne faut pas l'endormir dans vos bras.
Un petit bain relaxant, un massage doux sur le dos, une berceuse, des câlins sur fond de musique douce ou de bruit blanc peuvent tout à fait participer au coucher et à endormir bébé.
En général, les bébés commencent à développer la capacité de s'endormir seuls autour de 3 à 6 mois, mais cela peut prendre plus de temps pour certains bébés.
Tout d'abord, définir le lit comme LE lieu pour s'endormir. Dès que bébé montre des signes de fatigue après son dernier biberon, plutôt que de le garder dans vos bras, mettez-le dans son lit doucement et restez quelques minutes à ses côtés pour rassurer Bébé sur votre présence.
Favoriser un environnement calme et sécurisé est donc essentiel pour lui donner les fondements d'un bon sommeil. Dans une chambre à une température entre 18 et 20°, quotidiennement aérée, le berceau ou le lit du bébé sera plutôt de petite taille afin qu'il en sente les limites, cela le rassure.
Très souvent, les difficultés d'endormissement sont liées à un coucher trop tôt ou trop tardif. Il est important de trouver le bon moment pour coucher votre bébé afin de lui donner toutes les chances de s'endormir le plus paisiblement possible. Un bébé couché trop tôt n'arrivera pas à s'endormir et c'est bien normal !
Préconisée à partir de 12 mois, la méthode 5-10-15 est souvent suggérée aux parents par les médecins.
Mettre en place des rituels est important pour parents et enfants, cela rassure : raconter une histoire, faire un câlin en la prenant tout contre vous, lui donner son doudou. Et bien sûr lui expliquer que vous ne lui donnez plus le sein pour l'endormir.
Qu'est-ce que la méthode 5-10-15 ? Principe : Attendre 5 minutes avant de venir voir un enfant qui se réveille ou se met à pleurer. Lui parler sans le prendre dans ses bras puis repartir. Attendre ensuite 10 puis 15 minutes avant de répéter l'opération.
Pour l'aider à le rassurer, vous pouvez laisser la porte de sa chambre entrouverte ou installer une veilleuse pour qu'il ne se retrouve pas dans le noir complet. Si cela ne dure pas trop longtemps, vous pouvez rester à ses côtés jusqu'à ce qu'il s'endorme.
La durée moyenne d'endormissement est d'environ 20 minutes : c'est le temps entre le moment où il est décidé de s'endormir et le sommeil. On parle de latence d'endormissement. Cette durée varie selon les individus, le degré de fatigue, l'exposition à des stimulis dans la période qui a précédé le sommeil.
➢frottement des yeux, du nez ou des oreilles; ➢bâillements; ➢attitude rêveuse; ➢larmoiement, paupières lourdes; ➢frissons; ➢etc. Car c'est seulement durant la période d'endormissement, qui dure environ une dizaine de minutes, que l'enfant peut le plus facilement s'abandonner au sommeil et s'endormir.
« Tout dépend de l'âge et de la situation de l'enfant en question, répond la psychologue spécialiste de l'attachement Marie Danet. Tout d'abord, effectivement, on ne laisse jamais pleurer un tout petit bébé, jusqu'à environ 6 mois, un an, en fonction de l'enfant et de son histoire.
La méthode débute par une détente des muscles du visage, en commençant par détendre le front, les joues et la mâchoire. On inspire profondément, puis en expirant, on relâche les épaules et on les abaisse le plus possible pour éliminer toutes tensions.
Prenez une profonde expiration tout en expulsant tout l'air de vos poumons. Inspirez par le nez, en gardant la bouche fermée et comptez mentalement jusqu'à 4. Retenez l'air dans vos poumons en comptant mentalement jusqu'à 7. Expirez par la bouche pour un décompte mental jusqu'à 8.
Bien que l'endormissement au sein puisse sembler être une pratique naturelle et réconfortante, cela comporte certains risques pour la santé du bébé. L'un des risques majeurs est le risque d'étouffement si le bébé s'endort profondément pendant l'allaitement et que sa respiration est obstruée.
Pour commencer, éliminez une des tétées de la journée. Si cela se passe bien, vous pourrez couper une autre tétée un autre jour. Petit à petit, vous remplacerez autant de tétées que vous le désirez. Évitez toutefois de sevrer votre enfant s'il est malade, car il a alors besoin de votre présence réconfortante.
En d'autres termes, un enfant s'endort se façon autonome lorsqu'il est capable d'être posé éveillé dans son lit et de s'endormir par lui-même.
De la naissance à 2 mois
Entre la naissance et l'âge de deux mois, le nourrisson vit sur un rythme ultradien qui se répète toutes les trois à quatre heures, marqué par l'alternance alimentation-veille-sommeil.
Entre l'âge de 3 et 5 mois, votre bébé dort peut-être entre 5 et 8 heures d'affilée par nuit.
Pas de mobile au-dessus de bébé lorsqu'il dort. Petit à petit, vous pouvez essayer de l'amener progressivement vers un endormissement dans son lit, en l'aidant. Tout d'abord en le berçant, en l'amenant endormi dans son lit. Puis, un peu plus tard, en l'amenant dans son couffin lorsqu'il est encore éveillé.
LES ALIMENTS RICHES EN TRYPTOPHANES :
Les noix, amandes et noisettes. Les produits laitiers. Certaines céréales et féculents : avoine, soja, mais, seigle, sésame, riz, quinoa. Les légumes secs : lentilles, pois chiches, haricots secs…
C'est un peu plus tard, vers 8-10 semaines qu'un bébé arrive à distinguer le jour de la nuit et ce sera vers 5-6 mois que vous pourrez commencer à instaurer une routine de sommeil pour faciliter l'endormissement.
Le déclenchement du sommeil est donc un phénomène endogène qui est maintenu en l'absence de lumière. Les cellules ganglionnaires à mélanopsine ont essentiellement pour rôle de transmettre l'information sur l'alternance jour-nuit à des structures cérébrales impliquées dans d'autres fonctions.