La pluie provient de l'évaporation de l'eau qui existe dans la nature (lacs, océans, fleuves…). Cette vapeur d'eau se mélange à l'air, puis s'élève dans l'atmosphère et se refroidit par détente.
L'eau de pluie s'écoule lorsqu'elle rencontre un sol imperméable et dévale de l'amont vers l'aval. Le ruissellement part de la source en passant par le ru, le ruisselet, le ruisseau, la rivière, le fleuve pour se jeter dans les mers et les océans.
De l'évaporation de l'eau à la pluie
À un certain degré de condensation, l'air est dit sursaturé d'eau. C'est à ce moment-là que se forment des microgouttelettes qui constituent les nuages, et, le cas échéant, par effet d'accumulation, de grosses gouttes qui constituent la pluie.
Les pluies n'ont donc pas le temps de s'infiltrer correctement dans la terre. Ce phénomène est accentué par la sécheresse avec un sol qui agit comme une croute imperméable et l'eau va converger vers les points bas ou dans les cours d'eau environnants.
Bien sûr, la pluie en elle-même ne contient aucune odeur. Pourtant, juste au début d'une bonne averse, une senteur appelée pétrichor imprègne l'air. Issue du sol, elle semble agréable à ceux qui la distingue car musquée et fraîche. Cette odeur résulte de l'humidité du sol.
La pluie provient de l'évaporation de l'eau qui existe dans la nature (lacs, océans, fleuves…). Cette vapeur d'eau se mélange à l'air, puis s'élève dans l'atmosphère et se refroidit par détente.
La nuit, le sol se refroidit, l'air se stabilise dans les couches inférieures et l'activité orageuse cesse. L'été, la fréquence des orages est plus importante, car la différence de température entre le jour et la nuit est plus élevée.
➙ averse, déluge, giboulée, grain, ondée. Une grosse pluie.
Pourquoi cela est il globalement plus fréquent en hiver "chez nous dans l'hémisphère nord"; c'est parce que l'air y est globalement plus froid, et donc que les masses d'air chargées d'humidité sur l'Atlantique sont plus susceptibles de rencontrer les conditions propices.
Pourquoi ? Parce que la Terre est une planète qui fonctionne en circuit fermé. Lorsqu'un litre d'eau arrive à la mer, un litre d'eau s'évapore. C'est ce que l'on appelle le cycle de l'eau.
Lorsque les formations rocheuses sous-jacentes sont imperméables, l'eau ne peut pas s'infiltrer profondément. Elle s'accumule au-dessus de la roche et il est plus facile d'y accéder. L'eau qui n'a pas été absorbée par le sol est l'eau souterraine. Le niveau auquel on la trouve est la nappe phréatique.
Vous ne devez donc pas la boire, ni l'utiliser pour cuisiner ou laver la vaisselle. En effet, l'eau de pluie peut présenter une contamination chimique, notamment après ruissellement sur une surface contaminée. Elle peut également présenter une contamination bactérienne ou parasitaire si elle est stockée dans une cuve.
Lorsque les gouttelettes d'eau contenues dans les nuages deviennent trop lourdes, elles retombent sur Terre sous forme de précipitations. Selon la température, ces précipitations tombent sous forme liquide (pluie, bruine) ou sous forme solide (neige, grêle).
L'eau chauffée par le soleil présente dans des sols humides et dans différents plans d'eau (océans, rivières, lacs...) s'évapore. Elle se dirige ensuite dans l'atmosphère, plus précisément dans la troposphère, où sous forme de minuscules gouttelettes de vapeur d'eau. Ces dernières se rassemblent pour former des nuages.
La pluie est un phénomène naturel par lequel des gouttes d'eau tombent des nuages vers le sol. Il s'agit d'une des formes les plus communes de précipitations sur Terre. Son rôle est prépondérant dans le cycle de l'eau.
La pluie est source de vie
Elle arrose les végétaux qui en ont besoin pour les nourrir, les faire grandir et fleurir. La pluie rafraichit l'air, elle permet à la terre de se désaltérer et de s'enrichir pour les cultures à venir ou en cours. Elle apporte plus de bienfaits qu'un arrosage à l'eau du robinet, rappelons-le.
Lorsqu'une goutte de pluie tombe au sol, elle piège des bulles d'air qui éclatent en émettant des aérosols. Ces derniers emportent des particules du sol qui donnent l'odeur caractéristique d'un début d'averse. Après une chaude journée, les premières gouttes de pluie sont parfois les bienvenues.
La pluie symbolise un principe féminin actif et fécondant, un principe d'harmonie entre le ciel et la terre. La pluie est un bienfait de Dame Nature ; elle purifie, nourrit la terre.
Les précipitations peuvent tomber sous trois formes en fonction de la température de l'air : - Liquide : pluie, bruine ; - Pluie verglaçante, bruine verglaçante ; - Solide : neige, grésil et grêle.
L'unité utilisée est le millimètre de précipitation par mètre carré. En supposant une répartition homogène des précipitations sur cette surface, 1 millimètre de pluie représente 1 litre d'eau par mètre carré.
Ainsi, la faible humidité des déserts, leur absence de couverture nuageuse et leur constitution d'un matériau très émissif et présentant une faible inertie thermique sont responsables du fort refroidissement nocturne et de la grande amplitude thermique observée dans ces espaces.
Sous l'effet de la chaleur du soleil, de minuscules gouttes d'eau s'évaporent de nos cours d'eau et océans. Ces dernières vont se regrouper dans le ciel, formant ainsi les fameux nuages. En fonction de la pression et des vents, elles vont former des gouttes de pluie.
Ciel pommelé
Lorsque la pluie arrive, elle s'annonce d'abord par des nuages d'altitude effilés, comme les cirrus. Petit à petit, ils s'épaississent, moutonnent. Les stratocumulus, nuages de basse altitude (inférieure à deux kilomètres) apparaissent alors comme ici, en rouleaux régulièrement disposés sur le ciel.
A quelles conditions ? Avec les moyens technologiques actuels, on ne peut imaginer modifier la météo à grande échelle qu'en moyenne sur de longues périodes, c'est-à-dire le climat. C'est ce que l'on appelle la géoingéniérie, qui est encore à l'état de théorie et qui utiliserait des procédés différents.