Le principe de la postcombustion est d'injecter du kérosène, via un canal prolongeant la tuyère du turboréacteur, dans les gaz d'échappement, qui s'enflamment alors spontanément sous l'effet de la chaleur.
Pour pouvoir obtenir une double combustion, la température moyenne au sein de la chambre de combustion doit être de 600 °C. Cela permet au gaz de s'enflammer correctement. Le poêle à bois à post combustion doit aussi disposer d'un foyer étanche.
Principe de la double combustion du bois
Un poêle à double combustion présente une seconde arrivée d'air. Celle-ci assure l'alimentation en comburant qui va permettre au gaz de s'enflammer. Lorsque les gaz brûlent, un maximum d'énergie et donc de chaleur est produit.
La triple combustion permet de brûler les particules et les gaz contenus dans les fumées. Elle améliore le rendement de votre insert, économise du bois et rend la combustion plus propre. Les organes de manœuvre discrets et faciles d'utilisation privilégient la vision panoramique du feu.
Une fois que vous avez chargé votre poêle ou cheminée avec du bois de chauffage classique ou du bois densifié, et que ça brûle bien, il vous suffit de recouvrir vos bûches de cendres. La cendre permettra au bois de se consumer lentement et il vous restera de la braise le lendemain matin.
Comment reconnaître un tirage trop faible ou trop fort ? Un tirage trop fort se traduit par un feu qui s'emballe, avec des flammes vives aspirées dans le conduit, et du bois qui se consume trop vite avec une température de combustion trop élevée.
Comment savoir si mon poêle à bois a un bon tirage ? Pour mesurer le tirage d'un poêle à bois, on utilise généralement un déprimomètre, qui permet de mesurer la dépression des fumées. La mesure se fait au niveau du conduit de raccordement du poêle à bûches.
Les flammes apparaissent lorsque les gaz combustibles réagissent avec l'oxygène. Elles manifestent une réaction chimique libérant de l'énergie sous forme de chaleur et de lumière. La température y atteint de 1 200 à 1 500 °C alors qu'au-dessus, dans le panache de fumées, la température chute au-dessous de 600 °C.
Pour un poêle à bûches cette température pourra varier entre 300°C et 450°C alors que pour un poêle à granulés, elle ne dépassera pas les 210°C.
Le bois est en effet constitué de 80% de composants volatiles. Le vrai feu commence donc avec la combustion des gaz produits, à environ 225°C (température d'inflammation) et la libération simultanée de chaleur. Pour cela, une quantité suffisante d'oxygène est nécessaire.
Le pouvoir calorifique inférieur se calcule en déduisant par convention, du PCS, la chaleur de condensation (2511 kj/kg) de l'eau formée au cours de la combustion et aussi de celle contenue dans le combustible. Il est généralement exprimé par rapport à la masse, en kg pour les liquide et solide, et en Nm3 pour le gaz.
Le Pouvoir Calorifique Inférieur (PCI) est une unité de mesure qui permet de comparer les énergies entre elles afin de choisir la plus efficace, économique et écologique pour alimenter le système de chauffage de son bâtiment ou logement. Comme mentionné plus haut, plus le PCI est élevé, meilleur est le rendement.
Pourquoi est-il important que le PCI soit élevé ? Un PCI (ou un PCS) élevé indique qu'il vous faudra moins de combustible pour produire la même chaleur qu'avec un même type de combustible affichant un PCI moins élevé.
Il existe essentiellement deux types de flammes ou combustion : ce sont la déflagration et la détonation ; mais il est possible, avec certaines réserves, d'en considérer un troisième, l'explosion.
L'extincteur à dioxyde de carbone éteint les flammes par étouffement, en repoussant l'oxygène. La neige pulvérisée est froide, mais n'a qu'un pouvoir de refroidissement limité. Le froid ne contribue donc pas à la lutte anti feu.
Comburant, combustible et combustion
Ainsi le dioxygène (O2) - le plus connu des comburants - ne brûle pas lorsqu'on le chauffe. De même, en l'absence de comburant, la réaction de combustion ne peut avoir lieu. C'est la raison pour laquelle, pour éteindre un incendie, il faut l'étouffer.
Les flammes apparaissent lorsque les gaz combustibles réagissent avec l'oxygène. Elles manifestent une réaction chimique libérant de l'énergie sous forme de chaleur et de lumière. La température y atteint de 1 200 à 1 500 °C alors qu'au-dessus, dans le panache de fumées, la température chute au-dessous de 600 °C.
L'extinction d'un foyer consiste à supprimer l'un des éléments du triangle du feu. en refroidissant le foyer, c'est à dire en l'arrosant avec l'extincteur à eau pulvérisée. (Ceci afin de descendre la température en dessous du point éclair du produit combustible.)
Le point d'auto-inflammation (ou d'auto-ignition) est la température à partir de laquelle une substance s'enflamme spontanément en l'absence de flamme pilote, dans l'atmosphère normale. L'expression point d'allumage spontané est aussi utilisée.
Les feux sont répartis en 5 classes : A, B, C, D et F. Ces classes de feu sont définies en fonction des matériaux brûlés et de leurs réactions. Comprendre ce classement est primordial puisqu'il permettra de choisir l'extincteur adapté. Il existe également les feux dits électriques, anciennement catégorisés en classe E.
Question : Pourquoi les extincteurs sont rouges ? Par obligation, mais Plus nécessairement rouge, le rouge symbolise le danger dans le domaine de l'incendie, mais aussi un agent extincteur, les colonnes à eau, les systèmes d'extinction automatique sont peint en rouge ces des signes conventionnels.
Extincteur à CO2 - Dictionnaire environnement
Type d'extincteur utilisé sur des feux d'origine électrique et sur certains feux de Classe B. Le dioxyde de carbone (CO2) contenu dans l'appareil est sous forme comprimée liquéfiée et gazeuse. Il va agir par étouffement sur les feux de classe B.