Un marqueur (circuit résonnant) est placé dans le champ de l'antenne (portique antivol). Si le marqueur (badge rigide ou étiquette RF) est actif, il émet alors un signal déphasé par rapport à l'émetteur. Le portique qui assure la réception (écoute), détecte ce signal et déclenche l'alarme.
Un plateau ou un scanner, comme vous pouvez en trouver chez Checkpoint Systems, désactivent les antivols par démagnétisation de l'étiquette. Un passage rapide du caissier ou de la caissière sur la table de désactivation sur l'étiquette entraîne la suppression de son alerte.
Dans les techniques couramment utilisées, il y a des doublures en aluminium dans des sacs ou des vêtements, ou même des brouilleurs de fréquence. Pour détecter l'aluminium ou les aimants, il y a des antennes minces qui peut être placé à côté des portes antivol à l'entrée des magasins.
En cas de tentative de vol à l'étalage, le champ magnétique est modifié par la fréquence de résonance, ce qui entraîne le déclenchement de l'alarme. Le portique s'installe généralement à l'entrée et à la sortie du magasin. L'alarme se déclenche lorsque l'individu en possession de l'objet essaie de traverser l'antenne.
Dans les magasins, les détecteurs antivol repèrent par ondes magnétiques ou radio-fréquences les produits qui ne sont pas passés en caisse. Ils génèrent alors le déclenchement d'une alarme auprès d'une antenne / d'un portique antivol de sécurité.
Pour les antivols ronds, il existe aussi une méthode simple pour l'enlever, même sans aimant. L'idée est de tordre l'aiguille dans tous les sens jusqu'à ce les billes qui la retiennent cèdent. Pour cela, tenez la plus petite partie de l'antivol dans le vêtement et faites tourner l'autre dans un sens puis dans autre.
L'aimant détacheur
Son fonctionnement est simple : il s'agit d'un petit aimant très puissant qui permet de désolidariser l'antivol du produit. Il est aussi appelé aimant antivol compact.
La cabine d'essayage : un lieu très discret
Les voleurs ont une technique assez simple : dès lors qu'il s'agit de produits dotés d'un antivol, ils utilisent un aimant qui permet de détacher la sécurité et ainsi de voler l'article.
Quelle que soit la technique antivol (radiofréquence, magnétique et magnéto-acoustique), les produits sont dotés d'une étiquette qui fait sonner un portique. Rien à voir avec les rondelles de plastique épinglées sur les vêtements, que le magasin enlève aux caisses pour les raccrocher après sur d'autres produits.
Ils coûtent 150 euros en prison, mais ils sont nuls. En revanche, eux ne sonnent pas au parloir.
L'aimant : l'outil principal des voleurs à l'étalage
Suivant sa puissance, un aimant peut permettre de désactiver les badges antivol. L'aimant est l'accessoire principal qui permet déjouer les systèmes de sécurité installés dans les commerces utilisant des badges antivol.
de sécurité, c'est facile. Pour le détonateur, il faut cacher un petit engin dans un objet métallique, un stylo par exemple, qu'on dépose à côté du portique pour que celui-ci ne sonne pas.
Pas besoin de porter un couteau ou un révolver pour faire hurler le portique de sécurité : il suffit d'un peu de métal. En effet, les portiques des aéroports sont en réalité des détecteurs de métaux.
A savoir : la force magnétique d'un antivol se mesure en Gauss (G). Les détacheurs magnétiques universels ont une force qui tourne autour de 15 000 G.
Vous pouvez également utiliser la méthode du briquet. Placez la partie en plastique de l'antivol vers le haut et faites-la fondre jusqu'à ce que le métal qui maintient la broche en place soit exposé, pliez les languettes, et voilà ! L'antivol est retiré...
S'ils décident de voler, c'est qu'ils ont leur raison : Le voleur croit que les produits ne valent pas leur prix. Le voleur croit que le vol en magasin est la meilleure solution pour vivre au quotidien. Le voleur veut voler les produits dont il a le plus besoin ou qu'il désire le plus.
De la même manière, si votre boutique est équipée de caméras de vidéosurveillance, elles seront d'une grande utilité pour prouver l'acte de vol et de s'assurer de l'identité du coupable. Les enregistrements vidéo sont d'ailleurs demandés de manière récurrentes par les forces de l'ordre dans ce genre de situation.
Les chercheurs divisent les voleurs à l'étalage en deux catégories : les "boosters" (professionnels qui revendent ce qu'ils volent) et les "snitches" (amateurs qui volent pour leur usage personnel).
Le vol, de même que les difficultés économiques, est souvent considéré comme l'un des signes précurseurs de la dépendance. Les personnes aux prises avec des problèmes de toxicomanie ou à une addiction au jeu pourraient voler de l'argent de leurs parents, amis et collègues pour financer leur dépendance.
L'utilisation d'un boitier antivol implique l'achat d'un détacheur permettant de déverrouiller le dispositif antivol lors du passage en caisse. Simple d'utilisation, il suffit de passer l'article sur le détacheur qui ouvrira automatiquement le boitier. Le prix d'un détacheur varie entre 50 et 100 euros l'unité.
« On doit passer les chaussures au micro-ondes », assure la jeune femme. L'appareil standard se trouve dans la salle de pause, il est relié au réseau électrique via une installation très précaire. « Il suffit de quelques secondes et l'antivol est désactivé. »
Retourner dans la boutique où vous avez acheté le vêtement
C'est la solution la plus évidente et sans aucun doute la meilleure pour retirer un antivol sur un vêtement que vous venez d'acheter dans un magasin. Pour ne pas avoir à vous tracasser, vous pouvez tout simplement retourner dans ledit magasin.
Tamponnez la tache d'eau de javel avec un chiffon imprégné d'ammoniaque. Puis passez le vêtement en machine. Si le coton est blanc ou beige, il n'y aura aucune trace de la tache puisque l'eau de javel ne fait que décolorer le tissu.