C'est normal d'être stressé avant un examen, car même si on sait qu'il portera sur une matière précise, on ne connait pas la formulation exacte des questions : on n'a donc pas le contrôle sur la situation. C'est comme cela que notre corps fonctionne! Un peu de stress est même nécessaire pour t'amener à étudier.
Elle est un type de phobie spécifique. Comme d'autres phobies, l'atychiphobie mène souvent à un mode de vie restreint, affectant notamment la volonté d'une personne d'effectuer certaines activités.
En général, il est conseillé de prendre 10 à 20 minutes de pause toutes les deux heures. Prenez également le temps de vous reposer ou même de vous allonger quelques instants pour reposer votre cerveau et lui accorder une pause entre deux sujets de révision.
La camomille est connue pour ses vertus relaxantes, idéales pour se libérer du stress. Quant au thé vert, il est tout aussi efficace puisqu'il aurait la capacité de maintenir, voire de baisser, le niveau de cortisol (l'hormone du stress) dans notre corps.
Comment se préparer psychologiquement à un examen ?
Cultiver des phrases positives. Par exemple, si vous êtes en train de vous dire « Je ne vais jamais y arriver », enlevez la négation dans votre phrase et testez l'élan que peut vous donner une phrase comme «Je vais y arriver». Préparer ses examens, c'est comme courir un marathon et la visualisation positive peut aider.
Les douleurs dans le ventre avant un examen sont liées au stress. Elles vous poussent souvent à aller aux toilettes. Dans ces cas-là, privilégiez la veille de l'examen une alimentation riche en féculents comme le riz complet avec des noix, amandes, et pauvre en légumes et fruits.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
Pour écrire plus vite en examen, vous devrez tenir le rythme durant des heures. Tout comme la révision durant des heures, vous devez vous entraîner à répondre aux questions durant vos révision. Pratiquez alors la gymnastique des doigts poignets et tenez-vous droit lorsque vous écrivez.
Elle est souvent liée à une peur ancrée en soi et oubliée, celle de changer, de devenir quelqu'un d'autre, d'avoir une nouvelle vie, mais aussi de perdre une certaine tranquillité d'esprit. Réussir autant qu'échouer bouleverse une vie sous toutes ses formes.
Pour minimiser la peur de l'échec, il est préférable de : voir le bon côté des choses en tirant un enseignement positif; envisager tous les résultats possibles ; avoir un autre plan en cas d'échec ; demander de l'aide ; penser aux regrets que l'on peut avoir si on n'essaye pas et établir des objectifs atteignables.
La peur de réussir se caractérise très souvent en réalité par la procrastination au moment du lancement d'un projet, de sa concrétisation ou lorsque vous êtes proche de vos objectifs. Bizarrement, vous vous apercevez qu'il y a toujours un frein à lancer votre projet ou encore à finaliser vos objectifs.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”