Si on a le nez congestionné par un trop-plein de mucus ou de crottes, le plus simple reste de se moucher dans un mouchoir en papier, « pas directement avec le doigt, insiste l'ORL. Sinon, on risque d'y déposer les bactéries qu'on a sur les doigts, comme des staphylocoques dorés, par exemple ».
Il faut également veiller à une bonne hygiène nasale. Rien de plus simple ! Quelques gouttes de sérum physiologique dans chaque narine matin et soir, et votre nez sera parfaitement propre, prêt à filtrer efficacement toutes les poussières et autres polluants. Parlez-en à votre pharmacien.
Les microparticules inhalées (poussières, fumée de tabac, gaz d'échappement) s'accumulent. « Résultat, les glaires ou mucosités apparaissent", explique Jean-Marc Juvanon, autrement dit les fameuses "crottes de nez" ». Bien souvent d'ailleurs, celles-ci paraissent plus foncées chez les habitants des zones urbaines.
Cet étron historique fait 20 centimètres de long par 5 centimètres de large, ce qui est considérable...mais pas tant que ça, on dirait.
Ils perçoivent en permanence ou par intermittence une odeur très désagréable, qui peut être réelle ou bien imaginaire.
Le caca d'œil, ou chassie de son nom plus sérieux, est une sécrétion visqueuse produite par les yeux pendant le sommeil : il est le fruit du nettoyage de l'œil.
Le seul petit désagrément, d'après l'ORL contacté, c'est que si elle est très chargée en germes ou en protéines inflammatoires, elle peut être irritante et générer des maux de gorge. Plutôt que de renifler sans cesse ou d'avaler sa morve, mieux vaut se moucher.
Et pourtant, manger ses crottes de nez serait bon pour la santé. Une étude a en effet montré que les mucus ne sont pas simplement des sécrétions dégoûtantes produites par notre corps. Ils possèdent en fait des propriétés tout à fait bénéfiques.
Tambourine. Yachelle Nous aussi on surnom ma fille MOUMOU ...
"Empruntée au jargon des courses hippiques, l'expression ""les doigts dans le nez"" voit le jour en 1912. Cette locution symbolise la grande facilité avec laquelle le jockey gagne sa course, à tel point qu'au lieu d'y porter toute son attention, il prend innocemment le temps de se mettre les doigts dans le nez.
A vos mouchoirs.
En cas de rhume pourtant, le reniflement n'est pas du tout la bonne méthode. « Quand on a des sécrétions dans le nez, le fait de renifler fait remonter le mucus dans vos sinus et les congestionne à nouveau. Il faut donc les évacuer, c'est l'idéal. Pour cela rien de tel que de se moucher ».
Il faut veiller à ne pas se moucher trop fort, et de préférence une narine après l'autre. En effet, lorsqu'on se mouche fort, la pression dans le nez est beaucoup plus importante que lorsqu'on éternue ou que l'on tousse. Cela peut entraîner une propagation de l'inflammation dans les sinus.
Et conseil le plus important, il ne faut pas se moucher trop fort car cela peut favoriser la dispersion des microbes dans les oreilles et les sinus et provoquer ainsi des otites ou des risques de rhinopharyngite. L'air chargé de bactéries pourrait également provoquer des maux de tête et autres inflammations.
Dès le réveil, appliquez pendant quelques minutes sur chaque paupière un disque de coton bien imbibé d'eau florale de bleuet. Avec l'envers de la compresse, terminez pour nettoyer délicatement vos yeux.
Mucus, c'est le nom savant de la crotte de nez. En réalité, ce même mot désigne la morve qui coule de votre nez lorsque vous avez un rhume, vous voyez le genre ? Les crottes de nez ont donc la même composition que votre morve, là où seul leur état solide vient les différencier.
La conjonctivite bactérienne peut être due à de nombreuses bactéries. Elle se caractérise, en plus de la rougeur et de la démangeaison, par un écoulement purulent pouvant souder transitoirement les paupières en se collant dans les cils. Le matin, la personne atteinte se réveille avec les yeux collés.
Dans le cas d'une dacryocystite chronique, l'obstruction du canal lacrymo-nasal entraîne la sécrétion de mucus dans le sac lacrymal. Le mucus (substance visqueuse) peut donc sortir de l'œil de la même manière qu'une larme, ou lors d'une pression.
Les virus qui sont évacués du nez quand on se mouche peuvent survivre plusieurs heures sur un mouchoir (8h à 12h pour le virus de la grippe par exemple). Voilà pourquoi il faut se moucher de préférence avec un mouchoir en papier à usage unique et ne pas le remettre, ensuite, dans sa poche pour le réutiliser.
« Le reniflement consiste à inspirer de l'air par le nez », explique le Dr Jean-Marc Juvanon, ORL à Nemours. « L'être humain, comme beaucoup de mammifères, renifle de manière automatique. En réalité, la fonction essentielle consiste à explorer l'ensemble des odeurs de l'environnement. »
Nez bouché allongé : "la position allongée peut boucher le nez en raison de la bascule du voile du palais, dans ce cas il faut essayer de maintenir la position couchée sur le côté", précise le Dr. Morel.
Il contient en effet un nombre très important de globules blancs spécialisés dans l'ingestion et la destruction de ces micro-organismes : c'est ce qu'on appelle la phagocytose nasale. En temps normal, ce mucus est évacué dans l'arrière-gorge puis passe dans le tube digestif.
Cette couleur témoigne d'une infection. Les leucocytes (ou globules blancs), en augmentation en cas d'infection, colorent le mucus en jaune. Elle indique que l'infection devient purulente. En effet, lorsque les globules blancs meurent, ils libèrent un pigment vert.
Peu hygiénique, le fait de se curer le nez peut irriter les muqueuses et faciliter l'entrée des germes dans l'organisme. Que ce soit en public ou en privé, nous avons tous l'habitude de nous curer le nez plus ou moins régulièrement.
Le nez. Le nez pousse tout au long de la vie et verrait sa forme se modifier tout simplement en raison de la loi de la gravité. La peau plus fine et moins élastique tend à s'affaisser. Idem pour les oreilles qui grandiraient de 0,22 millimètre par an, soit 1 centimètre en 50 ans.