Ajoutez des semelles antidérapantes en caoutchouc ou des crampons à vos chaussures pour vous aider à marcher sur les surfaces glacées et la neige damée. Assurez-vous de pouvoir les attacher et les enlever de vos bottes. Ne les portez jamais à l'intérieur; les semelles avec crampons sont glissantes sur les planchers.
C'est un film d'eau généré par frottement, bien plus mince qu'attendu et surtout bien plus visqueux que l'eau usuelle, qui ressemble au « granité » que l'on boit l'été, qui rend la glace si glissante.
Le frottement produit de la chaleur qui fait fondre la glace
La chaleur fait fondre temporairement la glace sous les lames, ce qui produit une mince couche d'eau. Pour le patinage, deux sortes de force de frottement agissent: le frottement d'adhérence et le frottement de glissement.
Le frottement du ski dégage de la chaleur qui fait fondre la neige et il se forme un film d'eau d'épaisseur micrométrique qui lubrifie le contact entre la neige et le ski. Il s'ensuit un coefficient de frottement peu élevé, mais dont la valeur précise dépend de l'épaisseur du film liquide.
Le fartage à froid
Il suffit de frotter un bloc de cire sur la semelle, ou d'utiliser un spray à appliquer sur toute la surface. Ensuite, on racle avec un racloir révu à cet effet, on brosse, puis on passe un dernier coup de chiffon pour terminer.
► Peut-on farter ses skis sans fer ? Oui on peut utiliser un fart à froid qui s'avère pratique et rapide pour farter en superficie la semelle de ses skis quand on est pressé. On peut trouver dans le commerce des produits de fartage liquide sous forme d'aérosols ou de sticks avec mousse applicative à moins de 10€.
L'une des principales différences entre la neige et le verglas est que la neige se voit. Le verglas, en revanche, se fond si bien dans la couleur de la route que souvent, on ne le remarque qu'une fois qu'il est trop tard. C'est une bonne idée de consulter le thermomètre de votre voiture pour vous guider.
Le glaçon fond à cause de la chaleur. Il devient liquide au-dessus de 0°C : c'est de l'eau. On appelle cela la fusion de l'eau. Si on place de l'eau dans un congélateur, elle devient de la glace avec le froid.
L'épaisseur minimum de la glace doit être de :
15 cm pour la marche ou le patinage individuels; 20 cm pour le patinage en groupe ou les jeux; 25 cm pour les motoneiges.
De longs collants de sport sont indispensables pour marcher en hiver. Lorsque les températures sont basses, vos muscles deviennent plus raides, ce qui augmente le risque de blessure. Le port de collant associé à des gels chauffants vous permet de conserver la chaleur que vous générez dès l'échauffement.
Selon la Croix Rouge, la glace doit avoir au moins 15 cm d'épaisseur pour que l'on puisse y patiner sans danger (en anglais seulement); plus la glace est épaisse, mieux c'est.
Lorsqu'on saupoudre un glaçon de sel, les grains se dissolvent dans la fine couche d'eau à la surface de la glace. À mesure que la concentration en sel augmente, la température de fusion diminue. Si le glaçon possède une température supérieure au nouveau point de fusion, il fond.
Si on mélange de la glace avec un sel, le sel se dissout alors qu'une partie de la glace fond dans l'eau ainsi formée. L'énergie requise pour la fonte et la dissolution est prélevée de l'environnement de telle sorte que tout le mélange refroidit. Suivant le type de sel, les températures atteintes vont jusqu'à -60 °C.
En cas de neige, de verglas ou de pluie, adaptez votre vitesse à l'état de la route et, en tout état de cause, ne dépassez pas les limitations de vitesse qui sont abaissées lorsque la chaussée est mouillée : 110 km/h sur autoroute (au lieu de 130 km/h), 100 km/h sur les rocades (au lieu de 110 km/h), 80 km/h sur les ...
Freiner bien avant le virage. L'idée, c'est que la neige ayant une adhérence très minime, elle peut "coller" jusqu'à un tout petit nombre de G d'accélération... après ça glisse, patine, chasse du cul, sous-vire, part en vrille... Donc si on a une côte à monter, accélérer doucement mais longtemps à l'avance.
Commencez à freiner plus tôt qu'à l'habitude sur une chaussée enneigée. Ne pompez pas sur des freins antiblocage, mais appliquez-les fermement. Si vos freins ne sont pas munis d'un système antiblocage, appliquez-les en les bloquant et ne les relâchez que le temps de diriger votre véhicule.
Afin d'avoir un bon contrôle de sa trajectoire, il est important d'affûter régulièrement ses skis. En effet, plus vos carres seront aiguisées, plus vos skis resteront stables durant vos virages.
La semelle : La semelle est également un bon indice d'usure du ski. Il faut regarder si elle présente des rayures ou des trous. Certains trous peuvent même révéler la structure du ski. Si c'est le cas, oubliez cette paire, elle est trop fragile.
Fart bleu : Neige très froide / entre -10 °C et -30 °C ; Fart violet : Neige froide / entre -5 °C et -12 °C ; Fart rouge : Neige standard / entre -4 °C et +4 °C; Fart jaune : Neige humide / entre -4 °C et +20 °C.
QUEL FART UTILISER ? Sur une neige fraîche, on aura tendance à utiliser une fart dit dur qui permet d'augmenter la friction. Sur une neige transformée (ou “vieillie”), un fart universel est recommandé. Sur une neige transformée, qui a subi des températures supérieures à 0°, un fart tendre est conseillé.
Le bon réflexe serait d'offrir à vos spatules un affûtage-fartage à chaque vacances, ou dès que nécessaire si vous êtes un skieur plus régulier (c'est-à-dire quand vous sentez que les carres accrochent moins bien ou que la semelle colle à la neige).
Mélangez le lait, la crème, le sucre et la vanille, puis placez le tout dans le petit sachet, et fermez. Remplissez le grand sachet de glace, et ajoutez-y le sel. Ensuite, placez le petit sachet dans le grand, au milieu de cette mixture. Fermez le grand sachet et malaxez le pendant une dizaine de minutes.