Il est primordial de tout lui expliquer. L'intonation de votre voix, votre force de conviction, tout ceci va servir à le rendre plus confiant. Cela ne se fait évidemment pas en un jour mais vous verrez que peu à peu, bébé va prendre confiance en lui et se sentir de mieux en mieux dans son lit.
Essayer de faire les mêmes choses, dans le même ordre, au moins 30 minutes avant le coucher. Par exemple : toilette, mise en pyjama, border bébé, lui raconter une histoire, allumer la veilleuse… Marquer le moment de s'endormir en lui faisant un bisou et en lui disant “bonne nuit”, en chantant une berceuse particulière…
Des problèmes de sommeil – par exemple un bébé qui se réveille dès qu'on le pose et en pleurant – peuvent cacher un problème de digestion : cela peut être le signe qu'il souffre de reflux. Aussi, pensez à bien lui faire faire le rot, surtout si vous lui donnez un biberon.
Les neurones vont se synchroniser, le cerveau se calme. Ensuite, quand l'enfant commence à bouger dans les bras, vers six mois, on arrête de le bercer pour qu'il arrive à trouver de lui-même cet apaisement. »
Son cerveau est bien trop immature pour élaborer une telle stratégie. Il réagit simplement sous l'impulsion de ses besoins primaires. Il a peur, il ne se sent pas en sécurité : c'est un véritable besoin. Et si on le comble (au lieu de le frustrer davantage), on arrivera sans doute à le rassurer et il se calmera.
Vous pouvez très bien vous reposer en lisant dans votre fauteuil, votre bébé sur vous. Plus il sera contre vous et plus il sera calme, et mieux vous pourrez le poser (très délicatement) dans son lit une fois endormi profondément dans vos bras.
Il a mal ou ne se sent pas bien et il a besoin d'être rassuré. C'est souvent lors de ces périodes que bébé demande à s'endormir dans les bras. À noter : le simple fait que bébé ait trop chaud peut aussi l'empêcher à trouver le sommeil. Veillez à ce que son confort soit optimal au moment où vous le couchez.
L'enfant doit être le moins surpris possible. Évitez le plus possible les moments pendant lesquels vous avez bébé dans les bras et faites quelque chose d'autre en même temps. Il faut que vous lui fassiez perdre cette habitude et que vous diminuiez les minutes où vous le portez.
Il n'est pas recommandé de laisser pleurer un bébé, même s'il n'est plus un nouveau-né. Un bébé ne pleure jamais pour manipuler. Son cerveau n'est pas encore assez développé pour lui permettre de manipuler ses parents. Il ne possède pas non plus la capacité de gérer ses émotions.
En effet j'explique bien souvent que les bébés de 3 mois doivent encore passer beaucoup de temps dans les bras et doivent souvent, très souvent, être bercés pour s'endormir. Ils sont encore si petits… Vous avez énormément de chance si, à 3 mois, votre petite fille fait déjà ses nuits.
Normalement, entre 4 et 11 mois, l'enfant dort environ de 12 à 15 heures sur 24. De plus, il commence à dormir pendant de plus longues périodes la nuit. C'est souvent autour de 3 mois que les bébés commencent à faire leurs nuits, c'est-à-dire dormir de 5 à 6 heures de suite pendant la nuit.
Puisqu'ils ont la nourriture à proximité, qu'ils synchronisent leur respiration avec celle de leurs parents et puisqu'ils se sentent en sécurité, les bébés qui dorment contre leurs parents dorment mieux.
Non, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras ». Contrairement aux idées reçues, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras », c'est à dire de réclamer davantage les bras de l'adulte si celui-ci le prend plus souvent dans les bras.
Il s'agit simplement d'un besoin de continuité après sa vie intra-utérine. Dans vos bras, il se sent rassuré et en sécurité : il retrouve votre odeur, les bruits de votre cœur, vos mouvements, le son de votre voix tout en étant bien contenu au chaud contre vous. Il n'y pas meilleure place pour lui et ça se comprend !
Ce que vous me dérivez est tout à fait normal et les 3-4 premiers mois d'un bébé c'est comme ça. Cependant c'est à vous aussi à partir de 3-4 mois de mettre un peu de distance en acceptant quelques cris tout en le berçant le plus souvent possible.
Alors attendez quelques minutes avant d'y aller (5 min) puis allez l'apaiser et recouchez-la ainsi de suite, endormez-la éventuellement dans vos bras puis, une fois bien endormie, couchez-la très délicatement dans son lit en gardant un moment vos mains sur elle pour qu'elle ne sente pas trop la transition.
Quand faut-il intervenir ? Dans les premiers mois de la vie, les pleurs d'un enfant doivent être soulagés le plus rapidement possible, car ils témoignent généralement d'un état d'insécurité émotionnelle. À cet âge-là, les enfants n'utilisent pas les pleurs comme un moyen de pression sur leurs parents.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
A partir de quel âge un enfant peut être capricieux ? On situe cet âge critique aux environs des 18 mois. Avant cet âge, un bébé pleure uniquement par besoin ; il peut avoir faim, froid ou avoir besoin d'être rassuré ou changé, par exemple. On ne parle de caprices qu'aux alentours des 2 ans.
Par exemple, si vous transportez beaucoup bébé dans la journée, il vaut mieux opter pour le couffin ou la nacelle. Si vous restez à la maison, un lit parapluie ou son berceau seront de meilleures solutions.
Dans la journée, le bébé doit être couché dans son lit dès qu'il commence à présenter des signes de fatigue. Pour les siestes, il ne faut pas qu'il soit dans le noir total, un peu de lumière dans sa chambre lui permettra de différencier les siestes du sommeil de nuit.
Si certains bébés allongent leurs phases de sommeil parce qu'ils se sentent bien, d'autres, au contraire, dorment beaucoup car ils se sentent en insécurité. « Lorsque les parents ne sont pas vraiment disponibles pour l'enfant, ce dernier se réfugie dans le sommeil.