> désinfecter la peau ; > pincer un pli de peau de manière à créer un bourrelet ; > insérer l'aiguille perpendiculairement au bourrelet; > maintenir le bourrelet tout au long de l'injection sans bouger l'aiguille ; > appuyer sur le piston pour procéder à l'injection de lovenox® ; > retirer l'aiguille de la peau ; > ...
L'injection se fait, en position assise ou cou- chée, dans la région abdominale, en évitant une zone de 5 cm autour du nombril, ou sur la face externe des cuisses.
Par exemple, administrez l'injection dans la cuisse gauche les matins et dans la cuisse droite les soirs. Tenez la tige de la seringue comme on le fait une fléchette. Tenez le muscle autour de cette région afin qu'elle soit stable et sécuritaire.
Ce type d'injection peut parfois provoquer des ecchymoses et des douleurs à l'endroit où l'aiguille est insérée. Les ecchymoses se produisent lorsque les petits vaisseaux sanguins et les capillaires sont lésés et saignent sous la peau, ce qui entraîne un changement de la couleur de la peau.
Est-il possible d'éviter les hématomes (bleus) qui apparaissent parfois autour de la zone d'injection? Tout à fait! Il suffit de ne pas chasser la petite bulle d'air qui se trouve dans la seringue pré-remplie d'HBPM. Il faut également éviter de piquer deux fois d'affilée au même endroit, du même côté du ventre.
Tenez la seringue dans la main avec laquelle vous écrivez (comme un crayon). Avec l'autre main, pincez délicatement la zone nettoyée de votre abdomen entre votre index et votre pouce pour faire un pli dans la peau. · Assurez-vous de maintenir le pli de la peau pendant toute la durée de l'injection.
Le risque est plus grand lorsque l'énoxaparine est prise à une dose plus élevée que la dose de prévention de la TVP et lorsque les personnes prennent d'autres médicaments qui influent sur la coagulation du sang (par ex. les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS comme le naproxène ou l'ibuprofène).
Il semblerait que le fait de presser la zone d'injection avec le pouce ou la main pendant dix secondes avant l'injection soit de nature à «légèrement réduire la douleur».
Mettre les gants. Désinfecter la zone de ponction choisie en un seul passage de compresse imbibée d'alcool. Piquer perpendiculairement au plan de ponction. Introduire rapidement l'aiguille jusqu'à la garde, vérifier l'absence de retour veineux en aspirant légèrement puis commencer à injecter lentement et régulièrement.
Dans la littérature, il est admis qu'aucune aspiration ne doit être réalisée avant l'injection du vaccin (5) car la mobilisation (obligatoire) de l'extrémité coupante de l'aiguille augmente la douleur liée au geste, peut entraîner des lésions (hématome) et est inutile en l'absence de gros vaisseaux dans les sites d' ...
Un pli cutané correct est formé avec le pouce et l'index (il est possible de s'aider également du majeur). Soulever la peau en s'aidant de toute la main risque de soulever le muscle avec le tissu sous-cuntané et peut causer des injections intramusculaires.
Attention : Il ne faut pas confondre les voies entérales et parentérales. La voie entérale correspond à la voie digestive, tandis que la voie parentérale est la voie injectable (IV, SC, IM, ID,…).
La bulle qui est dans le lovenox sert à purger le système afin de pousser le produit au fond de la peau, et ainsi réduire les hématomes et le risque hémorragique lié au Lovenox. Retirer la bulle est donc une erreur car en plus de favoriser l'apparition d'un hématome, le volume injecté est diminué de 0,04ml.
Les instructions concernant son mode d'emploi sont données sur la notice de l'auto-injecteur LOVENOX. La surveillance régulière de la numération plaquettaire est impérative pendant toute la durée du traitement en raison du risque de thrombopénie induite par l'héparine (TIH) (voir rubrique 4.4).
L'injection se fait en sous-cutané (dans la graisse) soit dans le ventre ou dans la cuisse.
Une piqûre de seringue se présente comme un petit orifice, généralement entouré par un hématome. En d'autres termes, un tout petit trou cerné de rouge ou de bleu. "Mais la difficulté réside dans le fait que la réaction dépend de chacun. Certains ne vont absolument pas bleuir, par exemple", précise Amine Ayari.
Cela peut entraîner notamment : des cloques (phlyctène), une inflammation, une rougeur de la zone, un gonflement du site de la piqûre (œdème), des douleurs, des démangeaisons et des irritations. Ainsi, la réaction dépend du type d'insecte et de la sensibilité de chaque individu.
Pour réduire les risques pendant une injection, ils ont mis au point un capteur optique qui informe précisément de la localisation de l'aiguille. Le système fonctionne un peu comme le radar de recul d'une voiture.
Choisissez le ventre ou le côté des cuisses, selon les indications de votre médecin. Si vous prévoyez faire le même jour un exercice qui fait forcer les cuisses, piquez dans le gras du ventre. Si vous êtes enceinte, vous pouvez vous piquer dans le gras du ventre tant que la peau est souple.
Manger beaucoup de légumes verts et d'autres aliments nutritifs riches en vitamine K, comme les huiles d'olive, de soya et de canola, peut aider à stabiliser le traitement anticoagulant, en plus d'offrir de nombreux autres bienfaits pour la santé.
L'anticoagulant doit toujours être pris à la même heure afin de créer une habitude. Puisqu'on ne doit prendre le médicament qu'en une seule prise par jour, il est préférable de le prendre l'après-midi ou le soir afin de pouvoir adapter la dose le jour du contrôle puisque la prise de sang est souvent réalisée le matin.
L'héparine est un médicament largement utilisé pour prévenir la coagulation sanguine. Son action, limiter l'anticoagulant naturel dans le corps. Cette recherche, mené chez l'animal, révèle ici un nouvel effet, son effet promoteur de l'apport alimentaire et d'augmentation du poids corporel.
Ne jamais faire d'injections trop près du nombril. Le tissu à cet endroit est plus épais, alors l'absorption de l'insuline ne sera pas conséquente. Pour la même raison, ne vous injectez pas près des cicatrices ou des grains de beauté ou des verrues.
Attention : tout essoufflement anormal, une pâleur, une fatigue inhabituelle, un mal de tête sévère ou tout autre malaise, peuvent être des signes de saignements internes. Consultez votre médecin sans tarder. Contactez aussi votre médecin en cas de traumatisme (chute, choc sur la tête).