Rappeler régulièrement aux élèves qu'ils ont le droit de tromper. Que l'erreur est même un devoir si nous voulons la bonne méthode pour réussir. Les erreurs font partie du processus d'apprentissage. Encourager l'entraide entre les élèves dans les deux sens.
Les quatre principaux indicateurs de la motivation scolaire sont : le choix, la persévérance, l'engagement et la performance. Ces indicateurs, contrairement aux sources de la motivation qui déterminent le niveau de motivation de l'élève, sont des conséquences de la motivation (2).
Ne rien faire, résister aux choses qu'on leur demande leur donne l'impression d'avoir le dernier mot. Vu sous cet angle, on ne gagne rien à gronder son enfant et à le traiter de paresseux. Une telle attitude, en effet, ne peut qu'augmenter sa volonté de vous résister.
Par exemple, permettre aux élèves de choisir son type d'affectation ou les problèmes sur lesquels travailler peut leur donner un sentiment de contrôle, qui peut les motiver à faire mieux.
Comment gérer des élèves qui ne veulent pas travailler ?
- Communiquer ! N'hésitez pas à communiquer avec votre enfant pour qu'il comprenne ce que vous dites, parce que votre inquiétude pour son avenir est souvent secondaire pour lui ! Il faut essayer de lui donner envie de travailler, car il saura que ça lui apporte quelque chose.
La valorisation des élèves passe par le respect de leurs émotions et de leurs sentiments. Il s'agit donc d'installer un climat de classe le permettant (Voir Émotions). C'est lié au fait que les encouragements et compliments adressés puissent être ressentis comme authentiques par l'élève.
Pour mener à bien sa mission de formation, un bon enseignant de la conduite dispose de multiples qualités. Voici les 10 qualités essentielles : la patience, la vigilance, l'adaptabilité, l'optimisme, l'organisation, la clarté, l'empathie, être à l'écoute, la pédagogie et le professionnalisme.
Il doit être : Un apprentissage professionnel : les enseignants ont besoin de formations, d'un encadrement distribué et de rétroaction pour réussir à adopter une nouvelle pratique. Une pratique délibérée : les enseignants étant des experts, après la formation, il est indispensable qu'ils s'en approprient les contenus.
Prendre le temps de l'écouter, et de faire des activités en groupe qui lui correspondent. Un enfant timide a besoin d'être écouté, et surtout qu'on évite de le brusquer. Intéressez-vous à lui, discutez avec lui, et, selon ses centres d'intérêt, proposez-lui de faire en petit groupe des activités qui lui plaisent.
Le fait de laisser des choix à ses élèves favorise la perception de contrôlabilité ce qui favorisera ainsi la motivation. 8- Une activité doit permettre à l'élève d'interagir et de collaborer avec les autres. Quand on fait travailler les élèves en groupe, la réussite dépend de lui-même mais aussi des autres.
Tout d'abord, les étudiants éprouvent le besoin de réussir et de se réaliser : les étudiants ne seront incités à produire des efforts que s'ils estiment avoir une chance de réussir dans ce cours. En effet, la confiance dans ses propres capacités à réussir est un facteur essentiel de motivation.
Encourager le travail d'équipe et la collaboration entre élèves. Le travail d'équipe, la collaboration entre élèves et la médiation par les pairs agissent positivement sur l'autonomie. Création d'espaces de travail collectif favorables, postures à adopter, communication bienveillante, etc.
Quelle pédagogie pour les élèves en difficulté scolaire ?
Lorsque le tutorat consiste en une remise à niveau de l'élève en vue de son passage au niveau scolaire supérieur, on parle de tutorat de prévention. Lorsque l'élève bénéficie d'un accompagnement personnalisé selon ses difficultés scolaires, on parle de tutorat de remédiation.
Décortiquez les efforts (pédalage, guidon), faites-lui parler de sa stratégie : «Comment as-tu fait ?» Et s'il tombe, il remonte ! Dites-lui tout ce que cela va lui apporter. Imposez-lui au moins un sport. C'est le domaine par excellence où l'on apprend à persévérer et où l'intérêt se développe en le faisant.