Afin de mettre celui-ci en place, nous vous conseillons d'utiliser le système PlaGyp de Gyproc et de l'isoler à l'aide d'Isoconfort 32 ou 35. La couche isolante reposera sur la face intérieure du faux plafond pour réduire les nuisances sonores.
Vous avez deux solutions principales : Un isolant à coller directement au plafond : cette solution plus simple à mettre en place et moins coûteuse. Réaliser un faux plafond acoustique : cette solution est bien plus coûteuse, mais aussi plus efficace.
Pour limiter les bruits d'impact venant des voisins du dessus, il faut isoler les plafonds en ajoutant un plafond suspendu avec une ou plusieurs plaques de plâtre, renfermant une laine de verre, de roche, de chanvre ou de bois.
Contrairement à l'isolation phonique qui contre les bruits, l'isolation acoustique, elle, permet d'améliorer l'ambiance sonore à l'intérieur des volumes en diminuant la durée de résonance d'une onde acoustique.
Si l'affaiblissement acoustique des bruits aériens est globalement acceptable, celui des bruits de chocs est lui exécrable. On attend absolument tous les bruits du quotidiens des voisins: bruits de pas, de vaisselles, de portes, de portes de placards, de chaises, tables tirées sur le sol,...
La ouate de cellulose : probablement le meilleur choix pour l'isolation acoustique. À épaisseur et densité égales, cet isolant sera plus performant que la laine de verre.
La solution la moins onéreuse consiste à appliquer un sous-plafond collé. Disponibles en plaques ou en rouleaux, les matériaux sont nombreux pour une pose simplifiée. Pour un prix d'environ 11 euros par m², les plaques de mousse polyuréthane alvéolée présentent un bon rapport qualité/prix.
Afin de procéder à l'isolation acoustique d'un plafond d'appartement, un faux plafond peut être suspendu au plafond existant à l'aide de suspentes anti-vibratiles pour limiter la transmission des bruits d'impact (ou bruits solidiens). L'espace créé est rempli d'une laine de verre semi-rigide qui absorbe les sons.
Afin d'isoler une pièce thermiquement ou phoniquement, l'idéal est d'intégrer un isolant tel que la laine de verre, par exemple, dans l'ossature métallique des cloisons sèches. Autre solution : poser des plaques acoustiques (simples ou, plus efficace encore, doubles) en contre-cloison.
Un casque anti-bruit est une solution parfaitement adaptée au sommeil. Voici pourquoi : À l'instar des boules quies, il protège des différentes nuisances sonores, mais à la différence de celles-ci, de par sa forme, vous ne risquez pas de le perdre au cours de votre sommeil.
Une cloison séparative a pour fonction de séparer deux habitations. Elle peut également être utilisée comme séparation entre un logement et des parties communes. Ce cloisonnement ne doit donc pas être confondu avec la cloison de distribution qui sert quant à elle à délimiter les espaces au sein même du logement.
Recouvrir un mur existant de cloisons sèches est une option généralement moins dispendieuse que d'installer des panneaux acoustiques. Et elles peuvent faire un bon travail d'absorption de vibrations sonores. On les achète sous forme de panneaux de gypse qu'on peut peinturer, ce qui est l'option la plus abordable.
L'épaisseur d'isolant dépendra surtout de la hauteur disponible, pour ne pas trop abaisser le plafond du sous-sol. L'idéal reste de pouvoir mettre en œuvre une isolation avec une résistance thermique (R) d'environ 4,5 m². K/W (soit 15 à 20 cm d'isolant).
Pour cela, il convient d'utiliser des cales en matériau souple pour ne pas transmettre de vibrations. La pose d'un membrane hygro-régulante et de la laine en rouleau, panneaux ou flocons. Par-dessus celui-ci des panneaux osb, polyuréthane ou autre isolant rigide résistant à la compression.
Le doublage des murs par une ossature métallique complétée par une laine de verre et une plaque de plâtre améliore le confort acoustique en atténuant sensiblement les bruits. Pour un résultat optimal, privilégiez les plaques de plâtre phoniques, dont la composition permet de réduire notablement les bruits.
Pour procéder à l'isolation phonique du plafond d'un appartement ancien, vous pouvez opter pour la création d'un faux plafond acoustique. Ce dernier peut être suspendu sur l'ossature métallique. En général, ce sont des plaques de plâtre que l'on visse de manière suspendue sur la structure.
Pose de la laine de verre
Mettre en place la laine de verre 1. Embrochez la laine de verre de faible épaisseur (elle est revêtue d'un voile) sur les appuis mis en place et vissez les rosaces de maintien. Tendre l'isolant à l'aide d'un té en bois fait sur-mesure 2.
Insonorisation des murs de la chambre
Pour les murs mitoyens, vous pouvez doubler ces derniers en y ajoutant une ossature métallique complétée d'un isolant acoustique telle que la laine de verre (ex : PAR Phonic en 45 mm). Le tout doit ensuite être recouvert d'une plaque de plâtre phonique (comme Placo® Phonique).
La performance acoustique du liège est d'environ 30 dB pour 30 mm. C'est donc un excellent isolant phonique.
sur le plan acoustique, les plaques de polystyrène limitent le passage des bruits de l'extérieur vers l'intérieur ou vice versa. Mais qu'ils soient extrudés ou expansés, la performance acoustique des polystyrènes reste modérée, voire médiocre. D'où une isolation phonique quasi nulle.
les émissions sonores limites. L'émergence du bruit perçu par autrui ne doit pas être supérieure à 5 dB(A) en période diurne et 3 dB(A) en période nocturne, valeurs auxquelles s'ajoute un terme correctif en fonction de la durée (article R. 1336-7 du code de la santé publique).
Il existe principalement deux solutions anti-bruit: le talus anti-bruit et le mur anti-bruit. Si le premier nécessite un grand espace et est, par conséquent, plutôt adapté aux grands terrains, le second offre une isolation acoustique efficace même pour les petits jardins.