Commencez à un rythme modéré jusqu'à ce que la fatigue se fasse sentir puis faites une courte pause avant de vous remettre à courir. Vous pouvez également courir par intervalles de 3 ou 4 min, marcher ou faire une pause de 2 à 3 min puis recommencer à courir pendant 3 ou 4 min et ainsi de suite.
Il peut s'agir : d'une inadaptation de l'entraînement, en rapport avec une charge de travail excessive, par des séances trop intenses ou trop rapprochées, qui altèrent la tolérance à l'effort. Cette fatigue s'accompagne de troubles du sommeil, de l'appétit, parfois de l'humeur.
Pour travailler son souffle, le premier exercice consiste à s'allonger sur le dos, jambes repliées avec les talons près des fesses. Il faut alors inspirer et expirer lentement jusqu'à ressentir la régularité de sa propre respiration. A cet instant, il faut introduire un "fff" sans serrer la gorge.
Utiliser les consignes spécifiques : pressing important, beaucoup de mouvements, intensité élevée, puissance…, Conserver de la lucidité pour le dernier geste notamment dans le dernier quart d'heure du match de football. Avoir des joueurs bien dans leur corps (et leur esprit) sur la durée de la saison.
Le joueur doit savoir se positionner correctement en fonction de son poste. Il doit être dans la capacité de s'adapter aux différents systèmes de jeu qui existent. Il doit comprendre et s'aligner rapidement sur les changements animations de jeu pouvant avoir lieu au cours d'un match.
Un avant–centre doit savoir libérer le terrain pour le reste de l'équipe. Donc, maintenez les limites du hors-jeu aussi loin que possible. Quand vous aurez le ballon, essayez de faire face aux buts adverses, mais cette position n'est pas nécessaire. Cependant, vous devrez garder le ballon en attendant du renfort.
Faites un entrainement par intervalles
Même si les joueurs de football parcourent en moyenne 10 kilomètres par match, ils ne courent pas au même rythme tout au long de la rencontre. Il s'agit plutôt d'une combinaison de sprints, de courses modérées, de marche et de rétropédalage.
Ce travail peut être associé à un exercice physique au football sans ballon. Il existe de multiples exercices allant de la sortie course à pied basique de 45′ (par exemple) que l'on fait régulièrement en tout début de préparation physique en passant par du fartlek ou des circuits spécifiques avec ballon.
L'idée est de travailler sur des cycles. « Trois semaines d'efforts et une semaine de relâchement. On entend par effort des exercices de vitesses très intense comme des 30/30 ou des 100 m qui correspondent au maximum de la VMA. Il y a également les exercices moins rapides mais plus longs comme le 400 m par exemple.
Pour gagner en puissance, il n'y a pas d'autres alternatives que la musculation. Un travail sur les cuisses, pour les quadriceps. On pousse, on fait des squats, on soulève des charges sur des exercices dynamiques. Et on s'étire, toujours, à la fin, pour gagner en souplesse sur les fibres qui viennent de travailler.
Pour être un bon joueur, il est essentiel de comprendre que football est un sport collectif, riche en relations, que chaque joueur est au service de l'équipe, que les partenaires sont indispensables pour gagner un match et surtout que c'est un sport de mouvement, de passes et d'intelligence collective qui ne peut être ...
Pour gagner en vitesse, faites des exercices de musculation ou de fractionné. Pensez aux courses de cotes. Plus que briser la routine, elles vous feront progresser pour votre retour sur plat. Votre organisme sera alors plus à même de supporter une charge de travail supérieure et vous pourrez gagner en rapidité.
Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Marche, vélo, jardinage… l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Testez vos limites en courant sur de longues distances. Si vous faites des pauses en marchant, ce n'est pas un problème. L'objectif est d'essayer de les retarder autant que possible et d'allonger un peu plus chaque fois les périodes de course, jusqu'à ce que vous puissiez courir toute la distance sans vous arrêter.
Evitez les doubles expirations et laissez faire votre organisme se caler sur l'effort à fournir. L'inspiration est nasale et l'expiration buccale. Entre deux matchs, profiter de la période de récupération pour reprendre une respiration complète donc optimale afin de combler au maximum la dette d'oxygène.
En faire un petit peu, mais régulièrement
"On pratique un petit peu, mais régulièrement", conseille le coach. "Mieux vaut éviter de faire un entraînement trop intense ou qui prend trop de temps. 15 minutes de sport, c'est toujours mieux que rien !
« Il faut morceler sa respiration. Plus on court vite, plus on doit augmenter son rythme de respiration et donc apporter de l'O2 à son corps. Le corps peut utiliser jusqu'à 5L d'air pour fonctionner dans une course endurance, que l'on va découper en morceaux.
Cette intégration se fait à partir de l'âge de 16 ans. Les plus grands clubs, tels que l'AJ Auxerre, le PSG, l'OM ou encore l'AS Saint-Etienne disposent de leur propre centre de formation professionnelle. Il existe aujourd'hui 37 centres de formation agréés par la Fédération française de football (FFF).
Les muscles de la jambe sont bien entendu les plus sollicités lors de la course à pied. Plus particulièrement les quadriceps, les ischio-jambiers, les fessiers et les mollets. Trois exercices efficaces vont permettre de tous les muscler : les squats, les fentes et le leg curl.
Des exercices comme la corde à sauter ou le footing entrecoupé de sprints sont très efficaces pour travailler son anaérobie et son cardio. Il s'agit ensuite de travailler l'efficacité musculaire, c'est-à-dire la capacité des muscles à transmettre la force générée par le corps.