Pour un soignant, la laïcité, c'est l'intégration du fait religieux dans la prise en charge du patient. Face par exemple à un témoin de Jéhovah, il faut essayer de prendre toutes les mesures médicales pour éviter qu'il ne se retrouve dans la situation de devoir être transfusé.
Des études sociologiques ont démontré l'apport positif de l'appartenance religieuse pour le rendement scolaire, la vie de famille, le bien‑être et la contribution à la vie communautaire[2]. Les religions sont également le cadre des rites de passage marquant la naissance, le mariage et la mort.
2 : La religion permet à l'Homme d'avancer en lui dictant la bonne conduite. Les textes religieux renseigne l'adepte sur le bon comportement à adopter en société et le respect à porter sur les autres et sur soi-même. 3 : La religion est l'un des moyens qui permet à l'homme de supporter sa misère.
La religion renforce le tissu social de la société. Comme l'a enseigné le rabbin Jonathan Sacks, « [la religion] reste le ciment de la collectivité le plus puissant que le monde ait connu. […] La religion est le meilleur antidote à l'individualisme de l'ère de la consommation.
Fondamental Le rôle social
De façon générale, on peut dire que les religions sont des lieux où se cultivent des valeurs morales. Elles ont pour tâche première la formation psychologique et spirituelle des adeptes.
C'est ainsi que l'idéologue est amené à préciser sa conception de la loi, de la nation, de l'Etat. Plus que la religion proprement dite, la violence surgit le plus souvent de la confrontation de plusieurs systèmes idéologiques incompatibles et - surtout - des intérêts matériels qui y sont impliqués.
Le sens du terme « religion » n'est pas restrictif et rien, dans la déclaration, ne limite la religion à des groupes « officiels » ou « historiques ». Au contraire, la définition donnée est bien plus vaste : elle recouvre la « pensée », la « conscience » et la « conviction » tout autant que la religion au sens strict.
(Cette question était précédée de l'énoncé suivant : « (1) La religion, pour les croyants, vise à donner un sens à la vie et tente de répondre à la question du pourquoi de l'existence.
Consacrée comme liberté prééminente dans la Déclaration américaine des droits de l'Homme, la liberté de religion est la première des libertés essentielles, et est souvent appelée la « première liberté ». Elle est ainsi désignée parce qu'elle permet et protège d'autres libertés humaines, comme la liberté d'expression.
La religion comme forme de l'esprit, qui répond à la question du sens de l'existence – d'une façon tout à fait générale. De ce point de vue, on peut considérer que la religion propose des ressources de sens qui ne sont pas remplaçables par d'autres formes de l'esprit.
non-croyant — Wiktionnaire.
Les agnostiques s'opposent aux croyants, qui considèrent probable ou certaine et connaissable l'existence de telles divinités, mais éventuellement aussi aux athées estimant que l'improbabilité ou l'impossibilité d'existence de dieu est également inconnaissable.
Les valeurs que la religion propose sont des valeurs morales qui fondent l'existence même de cette religion. À l'origine de toute religion, se sont donc établies certaines règles éthiques précises. Historiquement, la moralité a toujours été « religieuse ».
Mais nous avons besoin de croire pour nous représenter des idées, valeurs, principes capables de nous guider dans notre vie réelle, et surtout de nous faire progresser, tant sur le plan moral personnel que sur le plan politique ou scientifique.
Christianisme contemporain
Le christianisme reste très minoritaire en Afrique du Nord, mais est devenu la religion la plus pratiquée en Afrique subsaharienne (63 %), devant l'islam (30 %) et les religions traditionnelles.
Une telle distinction subjective entre croyances et savoirs présente deux inconvénients: premièrement, elle prive les deux notions de toute valeur descriptive; deuxièmement, elle dissimule le fait que la plu- part des croyances contemporaines – la plupart des idées auxquelles nous croyons – sont aujourd'hui associées ...
Une religion est un système solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées, c'est-à-dire séparées, interdites, croyances et pratiques qui unissent en une même communauté morale, appelée Église, tous ceux qui y adhèrent.
Si la règle d'équité, morale ou de religion influencent la règle de droit, elles ne sont pas une source directe de droit, le droit prend parfois en considération la morale, l'équité, la religion pour atteindre ses objectifs, on ne peut pas considérer qu'à elles seules elles puissent engendrer le droit.
La religion et la religiosité au travail posent ainsi la question de la diversité et de sa prise en compte dans le fonctionnement de l'organisation. L'enjeu est l'articulation entre la liberté de l'individu et l'expression de sa religiosité d'une part et le droit de contraindre de l'entreprise d'autre part.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
La religion se conçoit ainsi comme une disposition présente dans toute l'humanité mais toujours susceptible d'erreur, à connaître Dieu et à pratiquer le culte qui lui plaît. Cette réflexion sur la nature de la religion chez les Pères de l'Église aboutit à l'identification de la philosophie à la vraie religion.
Kant définit alors la religion comme «la reconnaissance des commandements divins». Ainsi l'argument moral n'est pas purement spéculatif, mais a une orientation pratique. L'argument moral traite plutôt de Dieu comme une idée régulatrice.
Les aumôneries sont une traduction concrète de l'obligation pour l'État de garantir la liberté religieuse : si un croyant est retenu dans un établissement public (comme une prison ou un hôpital), il doit avoir les moyens de pratiquer son culte au sein de l'établissement.
Les aumôneries, instituées dans certains établissements publics, sont une traduction concrète de l'obligation pour l'État de garantir la liberté religieuse. L'État doit permettre à chacun de pratiquer son culte en assistant aux cérémonies ou en suivant l'enseignement propre à sa croyance.