Les médicaments utilisés pour maîtriser le rythme cardiaque sont les bêtabloquants, les antagonistes calciques bradycardisants (qui ralentissent la fréquence cardiaque), les digitaliques et l'amiodarone.
Les médicaments anti-arythmiques les plus utilisés sont les bêtabloquants (métoprolol, propranolol) ou certains inhibiteurs calciques (vérapamil, diltiazem). Ils diminuent la fréquence des battements de cœur. Plus rarement, d'autres anti-arythmiques sont utiles : la flécaïnide, ou la propafénone.
Naturellement, en association à ces thérapeutiques, il est indispensable de revoir les fondamentaux d'une hygiène de vie : effectuer des relaxations (ou méditations), associer des exercices de cohérence cardiaque, revoir son alimentation, choisir une activité sportive appropriée etc ...
Les bêtabloquants et les inhibiteurs calciques non dihy- dropyridines (DHP) i.v. sont les molécules à envisager en première intention pour ralentir une FA aiguë, en l'absence d'insuffisance cardiaque associée ou de dysfonction systo- lique (fraction d'éjection du VG altérée ≤ 50 %).
La fibrillation auriculaire augmente le risque d'accident vasculaire cérébral, surtout chez les personnes de 65 ans et plus, chez les personnes qui ont déjà subi un accident vasculaire cérébral, ou chez les personnes qui souffrent , de diabète ou d'insuffisance cardiaque congestive.
La fibrillation auriculaire (ou atriale) peut rester asymptomatique ou provoquer des palpitations cardiaques, des douleurs à la poitrine, une fatigue... Cette maladie est diagnostiquée par un électrocardiogramme.
Bien que la majorité des arythmies ne se guérissent pas, il est possible de les maîtriser avec un traitement adéquat. Le choix du traitement dépendra de plusieurs facteurs, dont le type d'arythmie et les symptômes associés.
évitez le surpoids ; privilégiez une alimentation équilibrée et modérez votre consommation d'alcool et de café qui sont des excitants cardiaques ; pratiquez une activité physique régulière en éviter le sport excessif notamment d'endurance qui peut déclencher une fibrillation atriale ou auriculaire.
Certaines causes sont connues pour favoriser l'apparition d'une FA ( fibrillation atriale ou auriculaire), notamment1,2 : Des causes cardiaques : hypertension artérielle, insuffisance cardiaque , maladie coronaire (infarctus du myocarde), L'hyperthyroïdie, la consommation excessive d'alcool, le diabète, l'obésité…
La fibrillation auriculaire (FA, ou fibrillation atriale) est une forme d'irrégularité du rythme cardiaque (arythmie) qui résulte d'une perturbation des signaux électriques du cœur. La fibrillation auriculaire est le type le plus courant d'arythmie et affecte environ 200 000 personnes au pays.
L'anxiété accroît le risque de palpitations, d'arythmie, de spasmes et d'emballement du cœur, des symptômes qui peuvent mener à des complications cardiaques. L'anxiété favorise aussi les comportements malsains, comme le tabagisme, la suralimentation, une mauvaise qualité de sommeil et une baisse de l'activité physique.
Alors qu'aucune étiologie n'était retrouvée dans le passé dans ce sous-groupe de patients, de récents travaux suggèrent une possible association entre une pratique sportive d'endurance (par exemple le cyclisme, le marathon ou le ski de fond) et l'apparition d'une FA.
La cardioversion, ou choc électrique externe, est un acte médical qui consiste à faire passer de manière brève et volontaire un courant électrique dans le cœur afin de rétablir un rythme cardiaque normal (sinusal) chez les patients qui présentent un rythme trop rapide (tachycardie).
Chez la plupart des patients nécessitant des anticoagulants pour traiter la fibrillation auriculaire, il est préférable de prescrire des AOD comme l'apixaban, le dabigatran, l'edoxaban ou le rivaroxaban, plutôt que la warfarine [niveau de preuve A].
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
La fibrillation auriculaire est caractérisée par des battements cardiaques rapides et irréguliers qui empêchent le cœur de transporter efficacement le sang vers les autres organes du corps. Cette maladie cardiovasculaire affecte les cavités supérieures du cœur, soit les oreillettes.
Elle va provoquer une stagnation du sang et donc la formation de caillots dans le cœur. Si ces caillots sont envoyés dans la circulation sanguine, ils peuvent boucher une artère alimentant le cerveau et provoquer un infarctus cérébral (AVC ischémique). Le risque d'AVC est en moyenne multiplié par 5 en cas de FA.
La fibrillation atriale (FA) - également appelée fibrillation auriculaire - se caractérise par une fréquence cardiaque irrégulière et souvent très rapide. Ce problème d'arythmie peut provoquer des symptômes comme des palpitations cardiaques, de la fatigue ou de l'essoufflement1.
L'aténolol a été le bêtabloquant le plus utilisé. Les données probantes actuelles suggèrent que le traitement initial de l'hypertension avec des bêta-bloquants conduit à une réduction modeste de maladies cardiovasculaires et n'a que peu ou pas du tout d'effet sur la mortalité.
Chez certaines personnes, la fibrillation auriculaire entraîne un épuisement, une faiblesse ou des problèmes respiratoires. Si elle n'est pas maîtrisée, elle peut aussi causer des douleurs à la poitrine, des étourdissements et une fatigue extrême.
Le bisoprolol ralentit ainsi le rythme cardiaque et permet au cœur de pomper plus efficacement le sang dans l'ensemble du corps. L'insuffisance cardiaque se produit lorsque le muscle cardiaque est faible et incapable de pomper suffisamment de sang pour répondre aux besoins de l'organisme.
"Lorsque l'on a une arythmie cardiaque, il faut vivre normalement. Si on commence à mettre des barrières partout à cause de l'arythmie, la qualité de vie se dégrade et on prend un coup de vieux assez rapidement. Cela correspond d'ailleurs au côté maléfique de l'arythmie. Il faut donc vivre normalement.