« Notre cerveau est un réseau tentaculaire de 100 milliards de neurones avec au moins 1 million de milliards de points de connexion, les synapses. C'est cela, selon le postulat des neurosciences cognitives, qui crée nos facultés cognitives, ce que l'on pourrait appeler la pensée ou l'esprit. »
Ce sont en réalité des signaux électriques, encore appelés influx nerveux, qui transitent de neurone en neurone. Et oui, le cerveau produit et fait circuler de l'électricité ! Ces impulsions électriques, captées par le neurone via les dendrites, naviguent jusqu'au corps cellulaire qui traite l'information.
La pensée se forme lorsque les diverses formes sémiotiques se lient aux processus cognitifs traitant du concret comme de l'abstrait en passant par l'affectif et le relationnel. Cette jonction n'est pas possible dès le pus jeune âge. Au cours de l'évolution de l'enfant, elle prend du temps et se fait par étapes.
Pour penser à ses propres pensées, le cerveau doit effectivement s'observer. En théorie, chaque fois que certaines des centaines de milliards de cellules du cerveau s'assemblent pour donner naissance à une pensée, un sentiment ou une action, elles signalent également dans quelle mesure elles y sont parvenues.
L'émotion est toujours précédée d'une pensée. Nos souvenirs et nos expériences passées influencent nos pensées. Lorsque nous avons des réactions émotionnelles similaires à certains comportements, comme des pleurs ou la colère, ces comportements peuvent être le déclencheur de nos pensées.
La pensée est une plante vivace et rustique cultivée comme une bisannuelle. Dans les jardins, elle a la possibilité de se ressemer toute seule, ce qui lui donne un comportement de plante annuelle. Les fleurs de la pensée sont généralement petites (5 cm maxi), unicolores avec l'œil central plus foncé.
J-C), défini la pensée comme "Le discours de l'intérieur que l'âme tient en silence avec elle-même". La pensée est énergie, une sorte de pulsion électrique. Mais il ne s'agit pas d'une "centrale électrique" incorporée dans notre cerveau mais assurément de cette connexion avec notre esprit domicilié dans le monde Divin.
◊ Tout d'abord, les idées germent dans des cerveaux qui sont eux-mêmes plongés dans un milieu donné. Il y a des lieux et des temps propices à l'émergence d'une idée nouvelle.
Selon les chercheurs, leurs résultats démontrent très clairement comment le cortex préfrontal organise l'activité cérébrale. Cette fonction est surtout visible pour l'accomplissement des tâches les plus compliquées, comme celles impliquant de nombreuses zones différentes du cerveau, soulignent les neuroscientifiques.
Le lobe frontal est impliqué dans l'initiation et la coordination des mouvements, dans les tâches cognitives supérieures comme la résolution de problèmes, la pensée, la planification, bien d'autres aspects de la personnalité et de la formation des émotions.
L'amygdale
Cette plaque tournante de nos émotions apprend par association la signification émotionnelle de nos pensées. Grâce à ces associations, l'amygdale déclenche les émotions issues de nos pensées et, réciproquement, elle oriente notre attention et nos pensées en fonction de nos émotions.
L,idée est une création d,une solution,d,un concept les intuitifs sont doués et créatifs,mais la pensée est une croyance,une représentation interne subjective d'une réalité objective .
Les neurones sont des cellules du cerveau qui servent à transmettre les informations.
Si le concept de l'unité fonctionnelle de l'émotion s'est imposé, certaines structures telles que l'amygdale et l'accumbens semblent incontournables et sous le contrôle du tiers antérieur du manteau cortical, le cortex préfrontal.
Comment le cerveau traite-t-il la multitude d'informations qu'il reçoit ? Un stimuli est détecté par les récepteurs sensoriels, qui transmettent l'information au cerveau qui va créer une réponse et la transmettre aux organes effecteurs, grâce aux nerfs.
Définie comme la représentation des idées et de leurs liaisons par l'esprit, la pensée apparaît comme le propre de l'homme – selon la formule célèbre de Pascal : « L'homme est un roseau pensant. » Elle est donc absolument essentielle, et, pour cette raison, elle fait l'objet de nombreuses analyses et critiques.
Les neurones communiquent entre eux par signaux électriques, appelés influx nerveux (ou potentiels d'action). Chaque neurone est constitué d'un corps cellulaire, de prolongements appelés dendrites et axones. Ces derniers émettent des connexions avec d'autres neurones par l'intermédiaire des synapses.
Tout d'abord, le cerveau travaille de manière inconsciente. Il organise les connaissances de façon à activer les souvenirs et les connaissances qui sont fortement liés les uns aux autres. Par conséquent, le cerveau a rapidement accès à des idées peu originales, puisqu'elles sont facilement disponibles.
Les idées proviennent souvent de vos propres expériences. Ainsi le quotidien est une source d'inspiration quasi inépuisable, en vous retrouvant confronté à des situations inconfortables vous pouvez par exemple imaginer les solutions innovantes qui remédieront à ce qui fonctionne mal.
Schématiquement, nous avons deux manières de produire des idées : soit par un raisonnement hypothético-déductif, qui fait appel à la pensée convergente, soit en activant notre pensée divergente.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
La pensée a comme but général d'établir les prémisses pour mieux comprendre. Nous avons plusieurs choix à faire. Nous avons donc besoin de la meilleure information qui rendra possible la meilleure décision. Qu'est-ce qui se passe vraiment dans telle ou telle situation?
L'overthinking, littéralement “penser trop”, se traduit par un torrent d'émotions et de pensées négatives qui persistent dans le cerveau de l'individu. État d'hésitation permanent, l'overthinking impacte le quotidien et le bien-être de celui ou celle qui en est victime.