Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l'épanouissement personnel.
Enfin, le travail contribue à notre bonheur car il aide à se réaliser et se dépasser. Il permet aussi d'apprendre continuellement du savoir-faire et du savoir-être et de s'épanouir pleinement. Il renforce notre confiance en soi et notre estime de soi par la réalisation d'objectifs avec succès.
La valorisation, la responsabilisation ainsi que l'instauration d'une bonne ambiance et d'avantages sur salaire sont quelques bonnes mesures qui rendent les salariés heureux. Elles augmentent considérablement leur productivité et leur engagement pour l'évolution de l'entreprise.
Plus qu'une manière de subvenir à nos besoins, le travail est désormais un vecteur d'épanouissement et de réalisation de soi : il donne un sens à notre vie et nous permet de nous sentir utile à la société. La question du bien-être et de la qualité de vie au travail prend donc tout son sens.
Le travail favorise également la communication, donc le rapport avec les autres. Il fait vraiment de l'être humain un être social. Le travail forme l'homme à la sociabilisation et lui apprend donc à vivre en société. Le travail est en effet lié à la diversité des techniques et à la nécessaire coopération sociale.
Le travail, c'est la santé, nous assène-t-on. Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux.
Il faut un sens de la créativité et une présence d'esprit. Il faut des pratiques de recrutement appropriées et des attentes claires. Vous pouvez les obtenir. Vous pouvez en être l'instigateur.
Les moins de 35 ans sont les plus heureux
Le taux d'insatisfaction grimpe avec l'âge, soit 16 % chez les 35-49 ans qui sont souvent déçus de ne pas avoir évolué dans leur carrière comme ils l'auraient souhaité. – et seulement 28 % chez les 55 ans ou plus !
Le bonheur au travail peut être défini comme un sentiment qui naît de la rencontre entre la motivation professionnelle et la satisfaction du travail accompli, avec la personnalité d'un collaborateur de l'entreprise. Le bonheur et le travail ne sont pas des concepts antinomiques.
Lorsque l'on considère que le bonheur dépend de (ou est étroitement lié à) la satisfaction d'une personne à l'égard de sa propre vie et donc de ses désirs et projets, ceci suppose que ses désirs les plus intenses sont en gros satisfaits et qu'ils sont relativement compatibles avec ses autres désirs.
Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l'épanouissement personnel.
Pour être heureux dans ton travail , il faut trouver un job qui te convient. Le travail est essentiel pour vivre heureux car c'est un plus pour nourrir sa famille et pour ses besoins personnels.
Par ailleurs, d'autres philosophes voient dans le travail un autre facteur de libération. En effet, pour Pascal, le travail permet à l'Homme de se libérer de la misère existentielle, qui est le maux le plus douloureux de l'espèce humaine et qui est en fait la définition de la condition humaine.
Au-delà d'être une source indispensable de revenus, le travail apparaît comme un vecteur de sociabilité pour beaucoup de salariés, notamment chez les femmes et les plus jeunes. C'est l'occasion de faire de nouvelles rencontres, d'y nouer des amitiés et parfois même d'y trouver nos futurs partenaires professionnels.
C'est une action qui se traduit par la réalisation, la production, la création de quelque chose et qui peut être professionnelle ou non. Notre société étant ainsi organisée, le principe de réalité nous suggère d'exercer une profession qui nous permette de vivre et donc d'être rémunéré.
Le travail, quand il est exercé dans la dignité, est créateur de liens et de sens. Il permet à chacun d'acquérir son indépendance dans une activité paradoxalement adressée aux autres.
Avec la crainte du maître, le travail est donc le « commencement de la liberté » : il libère l'homme de son rapport immédiat au réel et creuse en lui l'espace intérieur de sa subjectivité.
Le manque de reconnaissance, l'absence de perspective d'évolution et les mauvaises conditions de travail (2) sont les principales causes de cette souffrance professionnelle. Autre phénomène identifié, celui du présentéisme. Complexe, sournois et banal, il encourage l'épuisement professionnel.
Le secret du bonheur
Inutile de révolutionner son quotidien pour être épanoui. Selon le spécialiste, le secret de tous les gens heureux réside dans leur entourage. "Où que l'on habite, si nous avons de solides relations humaines sur lesquelles compter, nous nous sentons plus heureux.
Donner. Donner sans compter, offrir son temps, de l'attention ou de l'affection rend bien. Aider son prochain sans attendre le retour, sans calculer, le faire gratuitement avec le sentiment du devoir accompli apporte une intense satisfaction.
Le travail peut assurément contribuer au bonheur puisqu'il peut favoriser le développement des capacités et du bien-être. Le télétravail a également permis, pour certains salariés, l'amélioration de leurs conditions de travail et a contribué à leur bien-être physique et mental.