Ainsi, pour éviter qu'un avion décolle avec plusieurs sièges inoccupés, la compagnie prend la chance de vendre plus de billets qu'il n'y a de sièges dans l'avion, s'exposant ainsi au risque de devoir dédommager les passagers qui se verraient alors refuser l'accès à bord.
Réponse. Les compagnies aériennes vendent plus de billets qu'il y a de places dans les avions car, statistiquement, un certain pourcentage des passagers ne se présentent pas à l'embarquement du vol sur lequel ils ont réservé.
Imaginons un vol dont le coût du billet est de 200 € et qu'en cas de surbooking, la compagnie le dédommage à hauteur de 800 €. Si la compagnie vend 103 billets alors, elle aura empoché 20 600 €. Si seulement 100 personnes ou moins se présentent, c'est bien joué. Elle aura vendu 3 billets en plus, soit un gain de 600 €.
Pour éviter que les avions décollent ainsi avec des places vides les compagnies aériennes ont décidé de vendre plus de billet qu'il n'y a de place dans leurs avions : c'est ce qu'on appelle la surréservation et ont eu l'idée d'utiliser la loi binomiale pour quantifier le risque pris d'avoir des passagers sans siège qu' ...
Il s'agit d'Avior Airlines (Venezuela), Blue Wing Airlines (Suriname), Iran Aseman Airlines (Iran), Iraqi Airways (Irak), Med-View Airlines (Nigeria), Skol Airline LLC (Russie) et Air Zimbabwe (Zimbabwe). Enfin, deux compagnies font l'objet de restrictions d'exploitation.
Le 9 janvier , le vol Sriwijaya Air 182 s'écrase en mer de Java peu après son décollage de Jakarta (Indonésie) entraînant la mort des 62 personnes à bord.
Ils font le pari qu'un nombre important de passagers ne se présenteront pas au départ de leur vol. Toutes sortes de raisons expliquent ces absences: les passagers ont manqué une connexion, ils sont malades, ils ont oublié qu'ils avaient un voyage d'affaire à l'horaire, etc.
Les compagnies aériennes expliquent généralement qu'un certain nombre de passagers risquent de ne pas se présenter à l'enregistrement et que la surréservation leur permet d'anticiper ces désistements. C'est également le point de vue exprimé par les auteurs des très nombreux articles publiés sur le sujet.
United Airlines a fait ce que l'on appelle communément du surbooking (ou "surréservation" dans la langue de Molière) et qui peut effectivement amener à refuser l'embarquement à des passagers qui ont pourtant bel et bien payé un billet pour le vol en question.
On parle de surbooking ou surréservation lorsqu'une compagnie aérienne vend plus de billets que le nombre de places disponibles dans l'avion. Cela permet à la compagnie de remplir l'avion même en cas de désistement de passagers. Si aucun passager ne se désiste, la compagnie peut refuser de vous embarquer.
Surréservation : qu'est-ce que c'est ? Le surbooking (ou surréservation) est une pratique autorisée qui consiste pour une compagnie aérienne à vendre plus de billets que de places disponibles.
Il arrive parfois qu'un passager aérien en règle se heurte à un refus d'embarquement. Au moment d'entrer dans l'avion, un employé l'empêche de monter en lui affirmant que le vol est complet ou qu'il n'y a pas assez de personnel à bord pour gérer la totalité des passagers. Il s'agit d'un vol surbooké.
La destination, la date et l'horaire du vol, les aéroports de départ et d'arrivée ou la compagnie aérienne avec laquelle les passagers voyagent sont autant d'éléments permettant de fixer le prix d'un billet d'avion. Le tarif d'un vol est susceptible de changer de façon considérable et ce, pour différentes raisons.
Les compagnies aériennes low-cost se débarrassent des charges superflues diminuant ainsi le coût de revient et donc le prix du billet. Internet est privilégié comme voie de distribution (pas de frais d'agence, pas de frais liés au système informatique) avec le billet électronique (pas de frais de dossier).
En cas de surbooking d'avions, vous pouvez prétendre aux droits d'indemnisation allant de 250€ à 600€ si la compagnie aérienne vous refuse l'embarquement contre votre gré. Dès lors que vous avez été informé du surbooking, vous avez le droit de réclamer des boissons et collations.
La reprise du trafic devrait atteindre cet été jusqu'à 95% de son niveau de 2019, selon Eurocontrol, l'organisation européenne pour la sécurité de la navigation aérienne. Mais depuis plusieurs semaines, de nombreux vols sont annulés à cause d'un manque d'effectifs.
Le surbooking est une pratique commerciale courante dans le secteur du transport aérien. Il s'agit de la vente d'un nombre de places supérieur au nombre de sièges disponibles dans l'avion. Cette pratique est possible grâce à la réglementation qui permet aux compagnies aériennes de surcharger les avions de 10 %.
Les mathématiques permettent de rendre cette expérience de lancers de dés en partie prévisible en dévoilant qu'un dé donne deux fois plus de chances de gagner qu'un autre. Ce qui permet de choisir « raisonnablement » son dé plutôt que de se fier au simple hasard.
On considère aujourd'hui qu'en moyenne pour qu'un avion soit rentable, il doit voler au minimum 300 heures par an. Or, les chiffres montrent qu'aujourd'hui les avions privés en France ne volent en moyenne que 50 heures chaque année : 6 fois moins que nécessaire !
Des accidents rares
Le fait que l'appareil soit un Boeing est un coup dur pour le constructeur américain, empêtré depuis des années dans des problèmes de sécurité sur ces avions. Pourtant, le B777 fait statistiquement partie des plus sûrs.
Qatar Airways à nouveau première du palmarès
Cette année, la sécurité et le "leadership en matière d'innovation pour le confort des passagers" ont été des critères décisifs, relate la société. Comme les années précédentes, les meilleures compagnies aériennes ont leur siège...
N'ayez pas peur des turbulences
Si cela peut s'avérer très désagréable, ce n'est en fait pas dangereux. La turbulence n'est rien de plus que le mouvement de votre avion sur les vagues d'air. Cela se produit principalement au décollage et à l'atterrissage ; la différence de température est à l'origine de la turbulence.