Contacts d'urgence. Contactez police secours par téléphone au 17 ou par SMS au 114. Appelez le 3919 : Violences Femmes Info, appel anonyme et gratuit, 24h/24 – 7j/7 ou consultez la plateforme de lutte contre les violences du gouvernement. Rendez-vous sur la plateforme de signalement dédiée du service public.
Premièrement, il faut investir dans le capital humain féminin. Les avancées obtenues en permettant aux femmes d'accéder équitablement aux denrées alimentaires, aux soins de santé et à l'éducation sont particulièrement importantes dans les pays émergents et en développement.
Si vous subissez un traitement défavorable du fait de votre sexe, votre identité de genre ou votre sexualité, vous pouvez en parler, le signaler et même porter plainte. La priorité est de vous mettre en sécurité et d'appeler police secours (au 17 ou 112, ou par SMS au 114). En parler peut être une première étape.
Pour réduire les inégalités, commençons par faire respecter l'égalité des droits. Luttons pour plus de justice à l'école et dans l'entreprise. Modernisons les services publics. Redistribuons mieux, en réformant la protection sociale et les impôts.
La discrimination de genre est basée sur la croyance selon laquelle un sexe est supérieur à l'autre et que le sexe fort a des richesses, des droits, des prérogatives et un statut plus grand que ceux du sexe faible. La discrimination de genre résulte d'un ensemble complexe de causes inter-reliées.
Donner la priorité aux agendas localisés et construire des réseaux et des alliances qui centrent les initiatives provenant d'organisations de base qui s'attaquent à l'inégalité des genres et aux droits des filles et des femmes dans et par l'éducation.
- Rassurer en rappelant l'obligation de neutralité de l'école (montrer que les garçons ont autant à y gagner que les filles, qu'il ne s'agit pas de nier les différences mais bien de donner les mêmes droits à tous) et de respect des convictions des familles : expliquer les modalités de mise en œuvre.
Avec la hausse des séparations, les femmes comme les hommes sont de plus en plus souvent parents de famille monoparentale. Contrairement aux hommes, les femmes reforment moins souvent un couple. En 2020, 1,62 million de femmes et 0,35 million d'hommes résident sans conjoint avec leurs enfants.
La discrimination n'est pas un phénomène récent et demeure difficile à combattre malgré, ces dernières années, l'adoption de lois de plus en plus répressives contre les auteurs de faits discriminatoires et la création de la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Égalité (HALDE) en décembre 2004.
Outre la race, le Code interdit toute discrimination pour plusieurs motifs connexes, notamment la couleur de sa peau, l'origine ethnique, l'ascendance, le lieu d'origine, la citoyenneté et la croyance (religion).
Ces inégalités s'expliquent principalement par la place des femmes dans le marché de l'emploi : les femmes sont concentrées dans 12 familles professionnelles, dévalorisées financièrement et socialement, où les qualifications et la pénibilité ne sont pas reconnues.
Mettre fin à toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes et des filles n'est pas seulement un droit humain fondamental, mais également essentiel pour accélérer le développement durable.
Les femmes et les filles représentent la moitié de la population mondiale et donc la moitié de son potentiel. L'égalité des sexes, en plus d'être un droit humain fondamental, est essentielle à la mise en place de sociétés pacifiques dotées d'un plein potentiel humain et d'un développement durable.
La discrimination est punie par la loi. C'est un délit au même titre que le vol d'un bien matériel ou l'agression d'une personne physique. La discrimination est très présente dans la société, et donc dans l'univers du travail.
Pour la 6ème année consécutive, le handicap a été le premier motif de discrimination en France en 2022.
Favoriser le dialogue social sur la prévention des discriminations et la promotion de l'égalité. Développer la concertation avec les partenaires sociaux sur les enjeux de la lutte contre les discriminations et de la promotion de l'égalité et sur les actions et moyens mis en œuvre.
Elle favorise l'autonomisation des femmes, y compris le contrôle partagé des ressources et de la prise de décision. Elle atténue les inégalités sociales, en offrant un espace d'apprentissage aux femmes, aux hommes et aux personnes non binaires.
L'égalité des genres est également une condition indispensable au développement et à la réduction de la pauvreté, car l'autonomisation des femmes et des filles contribue à la santé et à la productivité des familles et des communautés et améliore les perspectives des générations futures.
La Discrimination Positive vise à rétablir l'égalité des chances en favorisant les membres d'une minorité ou d'un groupe social défavorisé par “la généralisation ou la persistance de pratiques racistes ou sexistes, d'une part, l'accentuation des inégalités socio-économiques, d'autre part” (Levade, 2004).