Les paroles sont mises entre guillemets et sans terme de liaison après le verbe de parole. Exemple : Il a dit : "Nous nous verrons demain." -> Soit indirectement : c'est le style indirect. Les paroles sont reliées au verbe de parole par un terme de liaison comme "de" ou "que".
— le verbe du discours direct est au passé simple ou au passé composé, lors du passage du discours direct au discours indirect le verbe se met au plus-que-parfait ; Exemple : Jean affirma : « Mon frère mangea (a mangé) son fruit. » ► Jean affirma que son frère avait mangé son fruit.
Discours indirect : Il rapporte les paroles en introduisant une subordonnée complétive (Il a dit qu'il aimait tant ses parents.) Il se caractérise par l'absence de guillemets ainsi que des points d'interrogation et d'exclamation.
Exemples. Discours direct : Lila dit : “Viens chez moi !” Discours indirect : Lila lui dit de venir chez elle. Lila lui dit qu'elle vienne chez elle.
Phrase exclamative (ordre) > Ex : « Ferme la fenêtre ! » Verbe introducteur + de + infinitif Ex : Elle m'a ordonné de fermer la fenêtre. Ex : « Tu vas bien ? » Ex : « Vous commandez quoi ? » Ex : Il m'a demandé si j'allais bien.
L'astronaute demande à son vis-à-vis : « Les extra-terrestres sont-ils tous de couleur verte ? » Cette phrase est au style direct. L'astronaute a demandé à son vis-à-vis si les extra-terrestres étaient tous de couleur verte. Cette phrase est au style indirect.
Les phrases interrogatives sont introduites par un mot interrogatif au discours indirect comme au discours direct. Exemple : J'ai demandé : « Comment était-elle ? » → J'ai demandé comment elle était.
En résumé : Discours direct : les paroles sont retranscrites telles qu'elles ont été prononcées. Discours rapporté, introduit par deux points et des guillemets. Discours indirect : les paroles sont retranscrites de façon indirecte par une proposition subordonnée, introduite par “que” ou “de”.
Effet produit : Le discours indirect permet au narrateur de rapporter les paroles comme il veut, il peut les résumer ou les simplifier par exemple. Il n'y a pas de rupture avec le récit.
. Elle suit un verbe tel que dire, demander, s'informer, ou un verbe exprimant l'ignorance, et est introduite par un mot interrogatif. Elle ne se termine jamais par un point d'interrogation.
crier, clamer, caqueter, calmer, couper, compter, conter, convenir, compatir, chahuter, commencer, capituler, continuer, chuchoter, chantonner, chanter, constater, commenter, citer, cracher, commander, corriger, chipoter, conclure, claironner…
L'interrogation indirecte permet d'introduire une question dans une phrase, de rapporter des propos interrogatifs. Elle est souvent introduite, entre autres, par les formules suivantes : Exemples : Je ne sais pas …
On parle de discours indirect quand le narrateur rapporte indirectement les paroles d'une personne, c'est-à-dire en les transformant pour les intégrer dans sa narration. Elle dit qu'ils iraient visiter ce musée-là le lendemain.
On distingue deux types d'interrogation : l'interrogation partielle, qui suppose l'apport d'une information manquante. L'intonation est descendante ; le terme interrogatif initial est mis en relief (ex : Qui a téléphoné tout à l'heure ?) ; l'interrogation totale, qui suppose une réponse par « oui » ou « non ».
On distingue deux sortes de phrases de type interrogatif : la phrase avec interroga- tion totale et celle avec interrogation partielle. Elles se terminent toujours par un point d'interrogation.
Qui marque ou exprime l'exclamation. (En français, la phrase exclamative se construit comme la phrase interrogative, mais s'en distingue par l'intonation : Comment a-t-il pu faire ça !)
Il tient une place important dans les récits. On distingue le discours direct, discours indirect, le discours indirect libre et le discours narrativisé.