Un des grands slogans de la Sécurité Routière (organisme gouvernemental rattaché au ministère des Transports), épaulé par l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), c'est : la moto, c'est 20 fois plus dangereux que la voiture !
Pour se sentir à l'aise sur sa moto, il est important d'être souple, détendu. Ce n'est possible que si on se sent en confiance, donc en équilibre, notamment à basse vitesse. Quelques exercices pour vous entraîner à sentir et maîtriser l'équilibre de votre moto à allure lente.
En théorie, c'est simple : laisse-toi tomber. Dans la mesure du possible, évite de mettre les mains en avant pour limiter l'impact au sol. Mieux vaut se mettre en boule et compter sur la protection de ses vêtements.
Pourquoi dit-on souvent qu'on ne doit pas enlever son casque après un accident ? Les réponses avec le Dr Gérald Kierzek, médecin urgentiste : « Le risque à enlever le casque est d'aggraver l'état de santé de la victime. Il y a un grand principe en médecine qui est celui de ne pas nuire.
Se remettre un peu en cause
Si c'était tout simplement le mauvais jour, avant de remonter sur votre moto, je vous conseille de réduire les facteurs aggravants comme le stress par exemple ou encore la colère. Si c'est parti d'un manque de contrôle et bien, reprenez le contrôle une fois sur route.
Regarder à gauche, à droite, puis encore à gauche avant de traverser. Ne pas courir ni jouer au bord de la route. Ne pas marcher au bord du trottoir. Être prudent aux endroits où les voitures peuvent passer sur le trottoir (sorties de garages ou de parkings, par exemple)
Regarder à gauche, puis à droite, puis de nouveau à gauche avant de s'engage. Tenir compte des facteurs extérieurs : vitesse des véhicules et des autres piétons, présence d'eau sur la route, luminosité, visibilité, etc. Marcher loin du bord du trottoir. Tenir la main des enfants et leur interdire de jouer sur le ...
Un phénomène naturel. La peur à moto est un phénomène tout à fait naturel, que tous les motards connaîtront à un moment ou à un autre de leur vie à deux roues. Généralement, l'appréhension est plus présente chez les jeunes motards qui n'ont pas encore accumulé beaucoup de kilomètres.
S'aider du repose-pied
Le réflexe naturel du motard, habitué à monter et descendre par la gauche de sa moto, sera donc de poser le pied gauche sur le repose-pied gauche, les deux mains sur le guidon, avec le guidon droit ou braqué vers la droite, en position d'accueil.
Le point essentiel est de rouler « serré en bas, relâché en haut ». Tout le bas du corps doit être au plus près de la moto : pieds, genoux, cuisses, bassin. Vous devez multiplier les points de contact avec la machine, la serrer entre vos jambes, pour mieux la sentir et influer sur elle.
Il est donc vivement conseillé au motard débutant, de s'arrêter souvent. Les spécialistes tablent sur au minimum vingt minutes de pause toutes les deux heures. Beaucoup de motards sont attachés à la notion de moyenne et perçoivent les pauses comme une perte de temps.
Entre les vibrations du moteur, les éléments (courants d'air, chaleur, froid, pluie, insectes), le bruit aérodynamique et une position de conduite souvent étriquée, la selle et les suspensions dures… les sources de fatigue sont nombreuses. La pression du vent fatigue aussi et finit par ralentir les réflexes.
Ils représentent 1,4 % des conducteurs principaux de deux-roues sur un an, soit en moyenne 1,51 accident pour 100 conducteurs principaux de deux-roues et par an. Sur un an, 9 % des cyclomotoristes déclarent au moins un accident, quelle que soit sa gravité, contre moins de 4 % des motocyclistes.
Quels sont les droits du piéton ? Le piéton est l'usager le plus protégé par le code de la route : il a, quoiqu'il arrive, toujours la priorité sur la chaussée. Ne pas céder le passage à un piéton est une infraction entraînant la perte de 6 points sur le permis de conduire ainsi qu'une amende de 135 euros.
En 2017, les piétons représentaient 14 % de la mortalité routière avec 484 décès. Ces accidents mortels sont notamment survenus sur la chaussée, à moins de 50 mètres d'un passage piéton, ou sur l'un de ces passages. Sur le trottoir : Circulez sur les trottoirs et sur les accotements s'ils sont praticables.
Pour bien traverser la rue, on emprunte un passage piéton, surtout à moins de 50 m. S'il y a un feu, on attend le bonhomme vert. Regard à gauche, à droite, puis re-à gauche. On se rend visible, surtout en dehors d'un passage.
Faire attention en traversant la route
Il s'arrête devant un passage piéton et attend que le feu pour les piétons soit vert. Il regarde à droite et à gauche, et traverse sans courir. Quand on est à pied, le plus important est d'être bien vu par les automobilistes. Il faut traverser sur les passages piétons.
Il s'agit de brûlures pouvant être superficielles ou profondes, et touchant non seulement la couche supérieure de la peau, l'épiderme, mais aussi le derme. Ces brûlures se caractérisent également par l'apparition de cloques sur les zones de peau touchées suite à la chute.
"Sans prise en charge, cet état peut devenir chronique et se compliquer par l'apparition d'autres pathologies comme des troubles de l'humeur, une dépression, des modifications de la personnalité, l'alcoolisme ou la toxicomanie", précise le spécialiste.
Lors d'un choc traumatique, la personne conserve une empreinte psychologique indélébile d'un évènement traumatisant qui s'est passé au cours de sa vie. Il peut s'agir d'un attentat, d'une attaque, d'un viol, d'un accident de voiture ou d'un vol, dont la personne a été victime ou témoin.