ÊTRE DÉTENDU POUR ÉVITER LE MAL DE MER
Avant de partir naviguer, que ce soit pour une longue durée ou non, au préalable, le repos est essentiel. Privilégiez une bonne nuit de sommeil plutôt qu'une nuit courte pour limiter les risques.
Une fois sur le bateau, relaxez-vous en respirant calmement et profondément ; Prendre l'air sur le pont autant que possible ; Regarder vers l'horizon : si vous êtes sensible au mal de mer, ne lisez pas, ne jouez pas sur votre smartphone ou tablette et évitez de regarder les mouvements du bateau ou son sillage.
La meilleure place
Le conseil est le même sur un bateau, "tenir la barre peut également aider, cela nous donne la sensation d'être stable", complète le médecin. On peut aussi préférer les cabines du milieu pour moins ressentir la houle et les vagues.
Les antihistaminiques sont les médicaments les plus utilisés pour vaincre le mal de mer : la dimenhydrinate (Nausicalm), la cyclizine (Marezine), la diphenhydramine (Benadryl), la prométhazine (Phenergan)... Demandez toujours l'avis de votre médecin avant de prendre un traitement curatif ou préventif du mal de mer.
Le mal des transports correspond à une série de troubles apparaissant au cours d'un voyage en voiture, bateau, avion, train ou autres moyens de transports. Il entraîne souvent des nausées, parfois des vomissement, une sensation de malaise, des sueurs froides, des vertiges ou encore des maux de tête.
Oui ! Au bout de quelques jours en mer, le cerveau s'habitue : c'est la période d'amarinage. À l'inverse, lors du retour à terre, le cerveau a besoin de se réaccoutumer à ce nouvel équilibre. Les sensations sont alors les mêmes que lorsqu'on a le mal de mer...
Les bananes portent malheur sur un bateau de pêche
C'est d'ailleurs le cas de cette croyance qui soutient qu'avoir une banane à bord de votre embarcation pourrait nuire à vos succès de pêche. Ce qui est encore plus frappant avec ce mythe, c'est qu'il fait presque l'unanimité auprès des pêcheurs.
Dans l'oreille interne, il existe des microcristaux qui sont agglomérés sur un support ciliaire, des petits cils. Il arrive que ces cristaux se détachent après des chocs. On ressent alors des vertiges ».
En général, le cerveau finit par s'adapter à cette situation nouvelle et les signes du mal de mer disparaissent au bout de deux à trois jours : ce retour à la normale s'appelle l'amarinage. Dans quelques rares cas, l'amarinage prend beaucoup plus de temps, voire n'arrive jamais.
Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®) Ces médicaments diminuent les risques de nausées.
Vous pouvez parfois être intimidé par le vent, le roulis, ou autre chose. Or, la peur est un facteur qui peut vous donner le mal de mer. Enfin, si vous êtes déshydraté, vous augmentez également le risque d'être malade. La soif sera votre ennemie lors d'un voyage en bateau, pensez à boire de l'eau !
Évitez de rester dans votre cabine et restez sur le pont, à l'air libre. Vous pouvez également vous placer au centre du bateau, qui est l'endroit le plus stable.
Certaines huiles essentielles comme l'huile essentielle de basilic, d'estragon, de gingembre frais, de mélisse, de menthe poivrée ou encore l'essence de citron ont le pouvoir de faire cesser le malaise et vous serons très utiles pour lutter contre le mal des transports et les nausées en voiture, train, avion ou bateau.
Scientifiquement parlant, il n'y a aucune explication à ce phénomène mais il semble bien qu'un petit bout de sparadrap posé sur le nombril de la personne sujette au mal des transports soit la solution miracle pour ceux qui avaient déjà tout essayé vainement.
Le mécanisme
Le mal de mer est le fruit d'une contradiction sensorielle entre : votre oreille interne, l'organe de l'équilibre, votre vue, votre système musculaire, qui cherche à compenser le mouvement pour vous garder en équilibre.
utiliser des médicaments de type diménhydrinate, métopimazine, antiémétique ou scopolamine ; prendre du gingembre (frais, séché, en poudre, ou en jus) ; pratiquer une stimulation optocinétique.
Vous pouvez également demander à votre médecin de vous prescrire des médicaments comme la diphénhydramine (Nautamine) ou le diménhydrinate (Mercalm, Nausicalm) pour atténuer les réponses de l'oreille interne. Certains existent en patch à coller derrière l'oreille ou en bracelet.
Sur un bateau, on ne dit jamais, les mots "corde" et "lapin". Pour "corde", dites plutôt “bout” (en prononçant le "t"). Vous pouvez aussi dire “écoute”, "filin", manœuvres… C'est plus précis que “cordes” car, de fait, des cordes, on en trouve vite beaucoup sur un voilier.
La couleur verte semble apporter un malheur abyssal, selon l'une des superstitions les plus répandues.
Emporter des oeufs durs à bord, c'est signe de grand malheur, car la Bigouden qui préparait le frichti pour son mari de marin pêcheur, lorsqu'elle en était très amoureuse, elle lui concoctait de bons petits plats, pour sa gamelle de la journée…
Tout le monde peut subir le mal de mer, qu'on soit grand navigateur, pêcheur ou skipper professionnels, plaisancier du dimanche ou simple croisiériste. En général, 25 à 30 % des personnes sont touchées par le mal de mer.
3/ Médecine naturelle
Le gingembre est un remède naturel bien connu pour le mal des transports. Vous pouvez en mettre dans une limonade ou une eau gazeuse par exemple si vous n'aimez pas en manger comme ça. La menthe poivrée peut également avoir des effets calmants sur l'estomac.