Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
La probabilité pour un individu d'avoir un cancer au cours de sa vie est actuellement évaluée, sur la base de l'incidence 1988-1992, à 46,9 % pour les hommes (soit près d'un homme sur 2), et 36,6 % pour les femmes (soit plus d'une femme sur 3) (Ménégoz et Chérié-Challine, 1998).
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Nous en avons désormais la certitude, tous les êtres multicellulaires animaux et végétaux sont porteurs de cancers.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Une régression spontanée sur 60 000 à 100 000 cancers
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques.
La nosophobie (ou pathophobie) est la peur de contracter une maladie (IST, cancer…). A ne pas confondre avec l'hyponcondrie qui désigne la peur de la maladie en général. La nosophobie peut être liée au souvenir d'un parent malade pendant l'enfance.
Le tabagisme, la consommation d'alcool, une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique et la pollution de l'air sont autant de facteurs de risque de cancer (et d'autres maladies non transmissibles).
Si vous devez éviter les produits trop sucrés, sachez que les baies sont excellentes pour tuer les cellules cancéreuses. On imagine aisément qu'elles protègent aussi notre organisme de l'apparition de certaines maladies. Mettez-donc à votre menu baies, fraises, framboises, myrtilles et mûres !
Symptômes du cancer les plus fréquents
Si vous perdez 5 à 10 % de votre poids en 6 mois, cela peut être un symptôme de cancer. Un cancer peut également provoquer une fatigue persistante. Si vous vous sentez souvent fatigué, sans raison apparente, cela peut être un signe de cancer.
Les cancers rares que nous pouvons évoquer sont par exemple les sarcomes des tissus mous, de nombreux cancers pédiatriques et également certains cancers de l'ovaire.
Le cancer du pancréas, ce tueur invisible.
Taux de survie supérieur à 80 % : Cancer du sein, de la prostate, de la thyroïde, des testicules, des lèvres, mélanome, leucémie lymphoïde chronique et maladie de Hodgkin : ces huit localisations ont des taux de survie après cinq ans supérieurs ou égaux à 80 %.
Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases* touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps. Ce sont les conséquences de la tumeur et ses effets sur le corps qui produisent des douleurs. L'apparition de douleurs dépend de la localisation de la tumeur.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Les Etats-unis sont le pays où la survie est la plus élevée (pour la plupart des cancers), puis on trouve le Canada, l'Australie, et la Nouvelle-Zélande. En Europe, la Finlande, l'Islande, la Norvège et la Suède obtiennent les meilleurs scores.
Les cancers les plus fréquents chez l'homme sont les cancers de la prostate (50 400 nouveaux cas en 2018), puis ceux du poumon (31 200 cas) et le cancer colorectal (23 000 cas). Chez la femme, le cancer du sein est le plus fréquent (58 500 cas), suivi du cancer colorectal (20 100 cas) et du poumon (15 100 cas).
La sédentarité, L'absence d'activité physique, le surpoids et l'obésité Tous ces facteurs sont associés à une augmentation du risque de développer certains cancers.
Les cancers les plus fréquents rencontrés à cet âge sont le cancer de la thyroïde, le cancer du testicule, le mélanome, le lymphome de Hodgkin, les lymphomes non hodgkiniens, les leucémies, les tumeurs cérébrales et les sarcomes.