Il est ainsi recommandé de consommer de la viande, des oeufs ou du poisson une à deux fois par jour, trois laitages par jour, des féculents à tous les repas, selon l'appétit, cinq portions de fruits ou légumes par jour et de pratiquer une activité physique régulière.
Le grand coupable est tout trouvé : le métabolisme. Autrement dit, la dépense énergétique globale du corps. "Quand on vieillit, celle-ci diminue et fait perdre de la "masse maigre", c'est-à-dire des muscles, à l'organisme. Or, ce sont eux qui nous font dépenser de l'énergie et des calories", explique Alexandra Rétion.
Choisissez des aliments riches en calories et en protéines à chaque repas et collation. Incorporez des aliments riches en matières grasses comme du fromage à 20 % de M.G. (matières grasses du lait) ou plus et des yogourts à 3 % de M.G. Consommez des œufs, de la viande, de la volaille, du poisson et du beurre de noix.
Si on souhaite maintenir un certain poids de corps, il faut donc supplémenter notre alimentation en protéines et dépasser légèrement les besoins journaliers à savoir 1,2 (pour les femmes) et 1,4 (pour les hommes) grammes par jour et par kilo.
La plupart du temps, la perte de poids survient parce que les personnes absorbent moins de calories que nécessaire. Elles peuvent absorber moins de calories parce que leur appétit a diminué ou parce qu'elles sont atteintes d'un trouble qui empêche leur tube digestif d'absorber des nutriments (appelé malabsorption ).
Stress et perte de poids
Le stress peut également avoir une influence sur le métabolisme : il l'accélère. Ainsi, les individus stressés peuvent brûler davantage de calories, plus vite, et perdent du poids.
Gras de l'abdomen
Une bonne nouvelle toutefois : le gras du ventre est celui qu'on perd en premier, car les hormones dont le rôle est de brûler les graisses sont davantage présentes dans l'abdomen.
Une mutation génétique serait responsable de la capacité de l'organisme à ne pas prendre de poids. Au total, plus de quinze gènes sont associés à la masse corporelle. La mutation du gène GPR75 a l'influence la plus grande sur l'indice de masse corporelle.
Le rythme de perte de poids conseillé pour rester en bonne santé est de 0,5 à 1 kg par semaine.
Certaines vitamines ou groupes de vitamines sont particulièrement efficaces dans le cadre de régimes grossissants, comme les vitamines A, C, E, les vitamines du groupe B, l'acide folique et la niacine.
Boire de l'eau gazeuse en début de repas permet d'améliorer les saveurs. Le gingembre accélère la digestion et réveille la sensation de faim. Les jus de citron et de pamplemousse stimulent les papilles. Les légumes amers comme l'endive ou la roquette stimulent l'appétit.
En nutrition, on considère que le poids idéal correspond à un IMC de 22. Pour calculer votre IMC, il suffit de faire le calcul suivant : Poids / Taille au carré. Pour exemple, une femme de 45 ans mesurant 1m60 et pesant 57 kg a un IMC de 22. On considère alors, scientifiquement, que cette femme est à son poids idéal.
La personne âgée perd du poids car les réserves en graisse diminuent et l'organisme malade puise en priorité les protéines dans les muscles qui « fondent ». Mais ce peut aussi être un diabète banalisé avec, déjà, telle infection alors favorisée.
En vieillissant, le muscle est moins tonique donc il s'affaisse, la graisse est moins tenue... Et il y a plusieurs choses qui se raréfient, notamment le collagène, l'élastine et l'acide hyaluronique, sans parler des autres éléments qui constituent la peau.
Les conséquences de la dénutrition
En provoquant un amaigrissement général, la dénutrition a pour conséquence un affaiblissement global du corps et un déficit immunitaire. Par exemple, le risque d'infection nosocomiale est beaucoup plus élevé pour les personnes hospitalisées souffrant de dénutrition.
La thyroïde, cette glande en forme de papillon située à la base du cou, secrète des hormones dites thyroïdiennes qui jouent entre autres, un rôle primordial dans la régulation pondérale et la masse musculaire. Un dérèglement thyroïdien peut donc effectivement modifier notre poids.
Les gènes, responsables de l'inégalité face à la prise de poids. Comme souvent, la cause principale est liée à la génétique. De nombreuses études se sont penchées sur la question et le résultat est sans appel. Certains d'entre nous ne possèdent pas le gène associé à l'obésité.
Le visage est une zone du corps qui contient peu de graisses, mais des cellules graisseuses sont tout de même concentrées au niveau des joues, et dans le cou, sous le menton. Lorsque l'on perd du poids, les joues ont tendance à se creuser, et à perdre du volume, ce qui donne immédiatement un aspect lifté à la personne.
Si aller à selle ne fait pas véritablement maigrir, il est certain qu'un bon transit va de pair avec de bonnes habitudes alimentaires et les effets minceur en découlent. La fréquence doit être régulière, quotidienne et peut aussi se produire avant ou après le sport.
Une semaine, un kilo. Avant toute chose, sachez que pour perdre 10 kilos durablement et en toute sécurité, les nutritionnistes et diététiciens fixent la période de diète à 10 semaines, le bon rythme étant d'éliminer un kilo chaque semaine.
Le stress, notamment dans le cadre d'une dépression, peut entraîner une perte de poids importante en raison de deux facteurs majeurs : un appétit diminué ou altéré et un métabolisme accéléré.
La dépression ne s'accompagne pas d'une prise de poids, du moins dans son stade initial. Elle est même, à l'inverse, caractérisée par une triade symptomatique : insomnie, anorexie et perte de poids. Une réduction pondérale d'au moins 5% en un mois est l'un des critères diagnostiques du syndrome dépressif.
La fatigue ne fait pas perdre du poids
Il est très important de dormir autant qu'on en a besoin pour être en bonne santé. En aucun cas la fatigue n'aide à perdre du poids. Pendant un régime il est conseillé de bien dormir et de surveiller son état de santé général pour ne pas mettre à mal son organisme.