L'un des moyens les plus simples d'arrêter de tant vous soucier de ce que les gens pensent de vous est de vous entourer au maximum de gens positifs qui vous soutiendront. Si quelqu'un vous rabaisse en permanence et se prétend votre ami, éloignez-vous-en et rapprochez-vous de gens qui veulent le meilleur pour vous.
Apprenez donc à avoir confiance en votre propre jugement. Agissez selon vos propres valeurs, en suivant votre système de pensée. Ne donnez pas plus de valeur à ce que pensent les autres qu'à ce que vous, vous pensez. Il est impossible de plaire à tout le monde, par contre il est primordial de se plaire à soi même!
Pour ignorer quelqu'un en changeant vos habitudes, la façon la plus simple est d'emprunter de nouveaux itinéraires afin de ne plus croiser cette personne. Si vous croisez toujours cette personne entre deux cours, prenez un chemin plus long pour vous rendre en classe afin de ne pas voir cette personne.
Souvent, les personnes qui ont une faible estime de soi se replient sur elles-mêmes et repoussent les autres, car elles croient qu'elles ne méritent pas d'avoir des relations constructives.
Demandez-vous si la personne défend vos intérêts et veut vous aider ou bien elle veut simplement vous insulter. Par exemple, un excellent camarade peut dire « ces derniers temps, vous avez l'air d'être dans les nuages et vous n'êtes pas comme d'habitude ». Vous pouvez donner de l'importance à un tel jugement.
Pour vaincre la blemmophobie il est conseillé de pratiquer une activité qui aide à accepter le regard des autres, comme la danse ou le théâtre. L'approche cognitivo-comportementale peut également être une solution, car elle force la personne à se confronter à ses peurs.
Pour plaire aux autres et ne pas les décevoir l'être humain est capable de faire beaucoup de chose comme celle de toujours faire passer les autres avant soi. Nous portons souvent ce masque de la politesse afin de bien vivre dans la société.
Le fait d'écrire ce qui vous préoccupe et vous rend anxieux permet tout d'abord de libérer votre cerveau des pensées qui tournent en boucle, de vous décharger l'esprit. En écrivant, vous fixez les choses telles qu'elles sont et cela permet de prendre du recul plus facilement par rapport à la situation exacte.
Définition. La blemmophobie n'est pas une simple timidité, mais une peur viscérale du regard d'autrui sur le corps.
Le regard des autres nous intimide, nous impressionne, il influence nos opinions comme nos comportements. Il devient rapidement une sorte d'entité autonome – les Autres – dont l'œil impitoyable serait à l'affût du moindre manquement, du plus petit défaut, pour nous mettre ensuite au pilori, voire au banc de la société.
Porter intérêt à quelqu'un, quelque chose, y faire attention, en faire cas : Vous semblez vous soucier de l'heure. Elle ne se soucie guère de son avenir.
3) Juger, c'est enfermer les autres dans des cases et diminuer notre propre ouverture d'esprit. Le jugement est une sentence qui confine la personne qui la reçoit dans une réalité qui n'est pas la sienne (les enfants qui subissent des jugements ou des étiquettes vont caler leur comportement sur eux).
Se moquer des autres peut produire un rejet chez l'agresseur, une diminution de l'apprentissage scolaire et une faible estime de soi. Cela augmente aussi l'agression et l'insécurité personnelle. C'est, en effet, la preuve que les règles régissant le comportement social sont ignorées.
Nos jugements justes sur les autres peuvent leur fournir des conseils dont ils ont besoin et, dans certains cas, peuvent nous protéger, nous et notre famille. Nous devons toujours juger avec sollicitude et compassion. Autant que possible, nous devons juger les situations des gens plutôt que les personnes elles-mêmes.
Posez votre main sur votre cœur, sous le nombril, ou sur n'importe quelle autre partie du corps où vous ressentez l'inquiétude. C'est une façon d'apporter un signal de bienveillance au cerveau. Le toucher est également un sens qui aide à réduire la rumination mentale et les pensées négatives.
Une des causes principales de cette impression d'être exclu provient d'un manque affectif pendant l'enfance. La croyance va ensuite se renforcer à travers des pensées et des paroles telles que « je suis de trop », « je ne me sens pas à ma place », « on ne veut pas de moi car je suis différent »,…
Il faut aussi apprendre à exister sans le regard de l'autre. Et cela passe par une bonne connaissance de soi. On doit apprendre à reconnaître nos forces et nos faiblesses, à s'accepter tel qu'on est. Peur du rejet et estime de soi sont intimement liées.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.
Restez calme et posé.
Si quelqu'un vous critique, se plaint ou pleurniche, il peut être difficile de garder son calme et de ne pas perdre patience. Vous allez sentir que cette personne mérite d'être rabaissée.