Prenez des respirations lentes et profondes pour vous détendre. Reposez votre tête contre le dos de votre siège et gardez-la aussi immobile que possible.
La méthode de Valsalva
Cette méthode consiste à se pincer le nez, tout en expirant doucement et en gardant la bouche fermée. Cela va ouvrir les trompes auditives, ce va équilibrer la pression de part et d'autres du tympan.
En cas de vols de nuit, la mélatonine peut être intéressante au-delà de ses effets sur le jet lag car elle a un effet sédatif si prescrite à dose élevée (> à 5 mg) donc en préparation magistrale car les compléments alimentaires disponibles en parapharmacie en contiennent à une posologie < 2 mg.
Pourquoi est-t-on malade en voiture ou dans un autre moyen de transport ? Le mal des transports est dû à une réponse inadaptée du cerveau, liée à une opposition entre les informations fournies par les yeux et celles données par le vestibule (organe de l'équilibre situé dans l'oreille interne).
Introduire sans forcer l'embout annelé dans chaque oreille avant les changements de pression (avant le décollage et avant la descente en avion). Retirer les protections 5 minutes après le retour à une pression normale.
Pression et douleur dans les oreilles en avion : quelles sont les causes ? Pendant le décollage et l'atterrissage de l'avion, la pression atmosphérique entre l'air extérieur et celle à l'intérieur de l'oreille peut varier brusquement, et certaines personnes ont du mal à rééquilibrer ces niveaux à temps.
Les benzodiazépines sont les principales substances utilisées pour traiter l'anxiété aiguë (effet dit anxiolytique, voire sédatif). Le médicament agit après une seule prise, en 5 à 15 minutes environ, selon la dose absorbée et la sensibilité du patient.
Généralement l'angoisse est liée à l'idée du décollage proche à laquelle s'ajoute un sentiment de claustrophobie. Sentiment souvent d'autant plus important lorsqu'il s'agit d'avions de tailles réduites comme les 737, DC 9 ou A 320 à deux rangées de sièges.
Les individus souffrant de phobie de l'avion ressentent une anxiété d'anticipation du voyage dès lors qu'ils prennent connaissance d'un voyage planifié. Cette anxiété est de plus en plus importante à mesure que le jour du départ se rapproche, et atteint son paroxysme les heures qui précèdent le vol.
Pour la pratiquer, suivez les étapes suivantes : inspirez profondément, pincez-vous le nez avec les doigts et forcez l'expiration bouche fermée tout en contractant les muscles abdominaux. En suivant ces instructions, vous augmenterez la pression dans la poitrine et le ventre.
En avion, la montée brutale en altitude peut provoquer un malaise, similaire au mal aigu des montagnes. L'atmosphère moins riche en oxygène peut déclencher des maux de tête, des vertiges ou des nausées. Ces signes apparaissent quelques heures après l'atterrissage et peuvent persister plusieurs jours.
D'après leurs analyses, le fait de voyager trop souvent a des effets physiologique, psychologique et sur la vie sociale des personnes. En premier lieu, le fameux "jet lag". Citant plusieurs à l'appui, les scientifiques expliquent que le décalage horaire peut causer de la fatigue et des troubles intestinaux .
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
Avant un événement stressant, prendre 2 comprimés par jour, la veille et le jour même, à avaler avec un verre d'eau. En cas de pic de stress, prendre 2 comprimés.
Les personnes souffrant de peur de l'avion ou aérophobie ressentent une anxiété anticipatoire à partir du moment où un voyage en avion est planifié. Cette anxiété anticipatoire s'accroit au fur et à mesure que la date du voyage s'approche pour devenir intense dans les quelques heures précédant le vol.
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).
D'où vient l'aérodromophobie, la phobie de l'avion ? La peur de l'avion est liée à plusieurs facteurs. Déjà, il existe une prédisposition génétique. L'amygdale, la partie de notre cerveau qui joue un rôle dans le déclenchement de la peur, est plus ou moins sensible.