C'est simple : l'alcool étant un diurétique, on a vite tendance à uriner plus souvent en soirée. Or lorsqu'on urine beaucoup, on perd plus de potassium que d'habitude. Cette baisse de potassium entraîne alors les nausées et la faiblesse. Pour la prévenir, rien de tel que de croquer dans une banane !
La position et la posture peuvent influencer les nausées. Evitez de vous pencher vers l'avant pour réduire la pression sur l'estomac. Garder le corps droit favorise la digestion.
Même une consommation d'alcool excessive à une seule occasion stimule la muqueuse gastrique. La muqueuse peut être alors irritée au point de provoquer des nausées et une contraction de l'estomac, qui aboutissent à des vomissements.
Lorsque l'on boit trop, il existe un centre du vomissement qui est en réalité un centre de commande situé au niveau du cerveau et plus précisément dans le bulbe rachidien. L'alcool étant un irritant de la muqueuse, la cause principale du vomissant est dû à son action sur le tube digestif et de l'estomac.
Dormir ne diminue pas le taux d'alcool dans le sang.
Une alcoolémie de 1,5 g/l dans le sang à trois heures du matin est encore de 0,6 g/l le lendemain à 9h.
Afin de dormir quand on a trop bu, il faudra boire beaucoup d'eau, attendre quelques heures avant de dormir, évitez les aliments gras et sucrés, éviter de prendre des médicaments ou de l'aspirine avant de dormir, consommer des plantes telles que le gingembre, prendre une douche et respirer de l'air frais.
La phobie de vomir, qu'on appelle « émétophobie », correspond à la peur de vomir, de voir quelqu'un vomir ou tout simplement du vomi lui-même. Personne n'aime vomir, mais certains développent une phobie (plus qu'une simple peur) en lien avec le fait de vomir.
Les médicaments à base de dompéridone (Motilium®, Peridys®, Oroperidys®), métoclopramide (Anausin métoclopramide®, Primperan®, Prokinyl LP®) ou métopimazine (Vogalène®) et leurs génériques sont indiqués pour soulager les nausées et les vomissements dans les cas de gastro-entérite, infection virale…
Prendre une douche froide, boire du café, faire de l'exercice, prendre de l'aspirine... Certaines personnes ont recours à ces différentes méthodes pour faire rapidement baisser leur taux d'alcoolémie, après avoir bu un ou plusieurs verres d'alcool.
Après avoir bu, il est préférable de laisser s'écouler quelques heures avant de tomber dans les bras de Morphée. En fonction de votre gabarit, de votre sexe, de votre consommation, laissez passer 2 à 4 heures entre votre dernier verre et votre lit (notre corps met environ trois heures à métaboliser 25 cl d'alcool).
Lorsque votre ami a trop bu, il est vulnérable alors préparez-vous à avoir quelques bons réflexes ! Si votre ami est trop ivre, restez avec lui. S'il commence à se sentir mal, parlez-lui pour le garder conscient, partez prendre l'air ensemble, restez près de lui s'il vomit, calmez-le s'il devient agressif.
Ces verres d'eau intermédiaires permettent en effet de lutter contre l'effet « déshydratant » de l'alcool, qui est l'une des causes de la gueule de bois. Étant diurétique, l'alcool provoque une élimination excessive d'eau via les urines : l'équivalent d'un litre d'eau pour quatre verres d'alcool, en moyenne.
Le diluer dans de l'eau ou dans un soda fait baisser l'alcoolémie : FAUX. Peu importe le liquide avec lequel l'alcool est mélangé, le taux d'éthanol reste le même.
Des doses d'alcool faibles ou modérées ont un effet euphorisant, induit par l'activation du système de récompense libérant de la dopamine – le neuromédiateur du plaisir –, et un effet relaxant parce qu'il inhibe le système inhibiteur du comportement. L'alcool favorise les relations interpersonnelles.
Troubles de la mémoire
En cas de consommation excessive d'alcool, la personne réfléchit plus lentement, a des difficultés d'orientation et voit ses capacités d'adaptions diminuer. Ces troubles de la mémoire sont en partie dus à une mauvaise absorption de la vitamine B1, réduite par l'alcool.
Selon une étude scientifique publiée dans la revue Cognitive, Affective, & Behavioral Neuroscience, cette hausse de l'agressivité serait due à des changements au niveau du cortex préfrontal, zone du cerveau qui sert entre autres à tempérer les niveaux d'agression des individus.
Alors qu'en 1905 il avait démontré qu'une horloge embarquée dans un véhicule en mouvement « retardera » par rapport à celle restée immobile, en 1915, il prédisait que, tout comme la vitesse, le champ gravitationnel généré par un corps massif ralentissait les horloges ; et cela d'autant plus que l'horloge était proche ...
Une carence en glucose entraîne des perturbations et un fonctionnement anormal du cerveau. Voilà pourquoi, dans les heures suivant la prise d'alcool, ceux qui ont trop bu ressentent de la faiblesse, de la fatigue, des vertiges, de l'anxiété, de l'accablement, des difficultés de concentration, des troubles visuels, etc.
Yeux rouges: Remarquez si les personnes ont des rougeurs aux yeux. Souffle court: Une personne ivre peut respirer beaucoup plus lentement ou avoir le souffle court: sa respiration est faible et peu d'air est inspiré ou expiré. Haleine : La personne peut sentir l'alcool.
Pour faire vos calculs et savoir quand vous pourrez reprendre le volant, vous devez tenir compte du moment où le taux d'alcool maximal est atteint : soit 30 minutes après l'absorption si vous êtes à jeun, une heure si vous avez bu au cours d'un repas (et non pas le moment où le dernier verre a été bu).