Il est important d'aérer votre intérieur 10 minutes par jour, afin de le débarrasser du pollen. Cela vous permettra également de rafraîchir l'air de votre maison et de le renouveler. Pour aérer votre intérieur sans inviter plus de pollen chez vous, il est préférable d'ouvrir les fenêtres très tôt le matin ou le soir.
Le seul moyen de traiter une allergie au pollen sur du long terme est la désensibilisation. Cela consiste à mettre l'allergène en contact avec votre organisme régulièrement et à faible dose sur plusieurs années. Ainsi, le corps cessera de reconnaître l'allergène comme un ennemi.
Enlevez le pollen en le soufflant à l'aide de votre sèche-cheveux en mode "air frais ou froid". Aspirez-le avec votre aspirateur, mais sans toucher le tissu pour éviter d'écraser quelques grains de pollen. S'il y a peu de pollen, vous pouvez aussi le scotcher avec du ruban adhésif.
Evitez les activités en extérieur, notamment le sport ; Ne faites pas sécher votre linge dehors pendant les pics polliniques ; Vérifiez le niveau d'alerte pollinique avant de quitter votre domicile en consultant le site du RNSA (Réseau Nationale de Surveillance Aérobiologique).
Elle débute fin janvier ou mi-février dans le sud par les pollens de cyprès, genévrier, thuya, et continue en avril par la saison des arbres à chatons : saule, peuplier, hêtre, châtaignier, chêne, noisetier, charme, bouleau, aulne, platane.
Les pollens sont constitués de plusieurs protéines dont certaines sont des allergènes. L'allergie est liée à la synthèse par notre organisme d'anticorps spécifiques, les immunoglobulines E ou IgE. Ces anticorps vont interagir avec un allergène pour déclencher la réaction allergique.
Le réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA) constate une augmentation des concentrations de pollens de l'air de près d'un tiers entre 2000 et 2021. Cette croissance est notamment due au changement climatique et à l'augmentation des températures qui favorisent l'émission et la dispersion des pollens.
Quelques petits gestes quotidiens en période pollinique sont conseillés : ne pas ouvrir la fenêtre dans la journée entre 10 h et 18 h car les pollens sont en suspension et contaminent l'intérieur des habitations ; aérer le logement tôt le matin avant 8 h et tard le soir après 21 h ; éviter de faire sécher son linge ...
Faites travaillez vos fenêtres. Les fenêtres sont une barrière intégrée contre le pollen dans la maison. Comme le pollen atteint en général un pic entre 10h et 15h, et en cas de vent, il est recommandé de garder les fenêtres fermées à ces moments. Évitez les chaussures.
Il s'agit alors de rhino-conjonctivite allergique, qui se traduit par des symptômes de démangeaisons des yeux, rougeur conjonctivale, larmoiement, paupières enflées et collées. Ces manifestations peuvent être intenses, répétées et donner lieu à des conjonctivites fréquentes.
Comprimé d'antihistaminique
Les antihistaminiques de deuxième génération génèrent moins d'effets indésirables que ceux de la génération précédente. L'antihistaminique le plus utilisé est la cetirizine, que l'on trouve notamment dans l'Actifed allergie, l'Alairgix ou le Zyrtecset.
En effet, le système respiratoire se détendant pendant le sommeil, les symptômes allergiques sont beaucoup plus difficiles à supporter à ce moment précis.
Les seuls endroits préservés où l'on pourrait envisager de vivre en cas d'asthme sévère serait à la montagne en altitude, où il y a moins d'acariens et souvent moins de circulation, ou encore au bord de la mer en prenant soin de rester loin des régions vinicoles.
La désensibilisation consiste à administrer des doses croissantes de l'allergène. Jusqu'à récemment, cette administration nécessitait des injections sous-cutanées hebdomadaires (toutes les 2 semaines en début de traitement) d'une petite dose d'extrait de l'allergène.
Tout d'abord, n'hésitez pas à consulter régulièrement le site officiel du RNSA (Réseau national de Surveillance Aérobiologique) qui fournit des cartes de vigilance sur les pollens.
Les fruits et légumes le plus souvent associés au bouleau sont la pomme, la pêche, la prune, la poire, la cerise, l'abricot, l'amande, la carotte, le céleri, l'arachide et la noisette (voir aussi le site Agence canadienne d'inspection des aliments pour une liste).
un traitement médicamenteux antihistaminique ou par corticoïdes, afin d'atténuer momentanément les symptômes ; une suppression totale de l'exposition à l'allergène ; une désensibilisation pour faire disparaître définitivement les symptômes.
Une alimentation équilibrée et une hygiène de vie saine permettent d'agir en profondeur pour calmer les allergies sans médicaments : Misez sur les oignons, l'ail, le brocoli, le jus de raison noir et le thé noir qui contiennent de la quercétine, un puissant antiallergique naturel.
Ainsi, l'écoulement post-nasal, un symptôme typique du rhume des foins, peut provoquer une toux. Lorsque les allergènes irritent la muqueuse nasale, cela entraîne un écoulement de mucosités 6. Tout excès de mucosités ira s'accumuler dans le fond de la gorge et causera la toux.
Les bulletins allergo-polliniques, publiés sur le site du Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA), permettent à chacun d'être informé des risques selon sa région. Le changement climatique et la pollution de l'air contribuent à l'augmentation des cas d'allergies aux pollens.
la fleur femelle possède un pistil, qui comporte un stigmate – pour recueillir le pollen – et un ovaire ; la fleur mâle dispose quant à elle d'une étamine, au bout de laquelle l'anthère produit le fameux pollen.
De toutes les allergies, ce sont les allergies au pollen et aux acariens qui provoquent le plus un état de fatigue. Pour vous prémunir de la fatigue, évitez de vous exposer au pollen : Privilégiez les activités extérieures tôt le matin et limitez-les en milieu de matinée et en début de soirée.
C'est une réaction exagérée de l'organisme à des allergènes de l'environnement. Mais les symptômes de l'allergie mettent plus ou moins de temps à se déclencher. L'allergie qui apparaît du jour au lendemain est donc une idée reçue !
Les allergies peuvent survenir à tout moment, et ce, même après des années de cohabitation avec un chat. Il est désormais avéré qu'une personne peut devenir allergique du jour au lendemain, notamment à cause d'une intolérance de l'organisme à certains allergènes présents dans la salive, la peau ou les poils du chat.