Ë, ou E tréma, est un graphème utilisé dans les alphabets albanais, dan, hiw, ripuaire, ladin, cachoube, vurës ou les transcriptions de l'ouïghour et du taïwanais en tant que lettre, et dans les alphabets français, néerlandais, afrikaans, et luxembourgeois comme variante de la lettre « E ».
Dans un groupe de deux voyelles, le tréma se place sur l'une d'elles pour marquer qu'elles se prononcent séparément. On le trouve sur les voyelles i, e et u.
Si vous disposez d'un clavier français, il suffit de taper sur les touches Maj ⇧ + ^ puis Maj ⇧ + E pour réaliser un Ë (e avec tréma majuscule) ou Maj ⇧ + ^ puis E pour réaliser un ë (E avec tréma minuscule).
Le tréma est un signe qu'on place sur certaines voyelles. Il vient d'un mot grec qui veut dire "trou". En règle générale, le tréma se place sur les voyelles ï, plus rarement sur ë, ü, pour signaler que la voyelle précédente doit être prononcée séparément.
Lettre. Lettre utilisée pour prononcer le e seul, et non comme partie d'un digramme avec la lettre qui le précède. On le retrouve dans des mots comme België (Belgique) ou Italië (Italie), où il permet de prononcer le e final et de ne pas le confondre avec le digraphe ‹ ie › qui note un i long.
Devant une consonne double, la lettre e se prononce « è » et ne prend jamais d'accent. Exemples : la chouette, le dessin, la terre, l'antenne, la libellule. Le son [ k ] s'écrit le plus souvent avec la lettre c devant les lettres : r, a, o, u, l.
Comment détecter ces e muets ? Habituellement, le e muet correspond, à l'oral, à la voyelle [ə], qui a une caractéristique unique : on est libre de la prononcer ou non. Comparez par exemple [ʒəpaʁ] et [ʒpaʁ].
En orthographe traditionnelle (non réformée), tréma sur le e au féminin : une note aiguë.
En français, la cédille se place uniquement sous la lettre c devant les voyelles a, o et u. Elle permet de transformer le son k en s. Elle apparaît systématiquement à certaines formes de conjugaison afin de respecter le son s du verbe.
La touche "shift" est présente deux fois sur votre clavier français (azerty). Elle est présente juste en dessous de la touche "entrée" et juste au dessus de la touche "ctrl". Le bouton est symbolisé par une flèche qui monte vers le haut.
En français, une lettre est surmontée d'un tréma et non de trémas. Même s'il y a bel et bien deux points alignés horizontalement, le signe en lui-même, formé de ces deux points, s'appelle «un tréma». Un tréma comprend forcément deux points. On ne mettra donc pas «des trémas» sur une voyelle…
Une orthographe en fête
Modifiée et raccourcie en français, elle devient un mot avec trop de voyelles pour si peu de syllabe ! Le tréma, lui, vient en aide au XVIIIe siècle. Son rôle ? Indiquer la diérèse, c'est-à-dire la prononciation en deux syllabes : no – ël.
 â [ɑ], Ê ê [ɛ], Î î [i], Ô ô [o], Û û [y]. Avec l'e, il produit le même résultat que l'accent grave. L'accent circonflexe résulte généralement de la disparition d'une lettre, bien souvent un s (Pâques/pascal, fenêtre/défenestré, épître/épistolaire, hôpital/hospitalisation, etc. ).
En orthographe traditionnelle (non réformée), féminin : exiguë, comme aiguë, ambiguë, contiguë.
acéré, affilé, effilé, pointu, tranchant. Contraire : ébréché, émoussé, épointé.
L'Angleterre arrive en bonne tête du classement, avec 780,000 personnes, et plus généralement 920,000 au Royaume Uni – Le français est d'ailleurs la langue officielle, avec l'anglais, à Guernesey et à Jersey.
Ce qui constituait au départ une véritable exception – parler sans l'accent – a été progressivement gommé et ce que l'on nommait l'accent de Tours est aujourd'hui l'accent français moyen.
L'accent parisien historique reste associé à l'accent populaire de Belleville et Ménilmontant — et plus globalement des quartiers populaires dans l'Est parisien et la petite couronne —, celui du titi parisien, popularisé notamment par le cinéma dans les années 1930 et 1940, mais encore bien présent dans celui des ...
Prononciation en deux syllabes d'une séquence qui comporte deux sons formant habituellement une seule syllabe (par exemple « nuage » [nɥaʒ] prononcé [nyaʒ]). [En versification française, la diérèse est de règle lorsque le i est précédé de deux consonnes, dont la seconde est r ou l.
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.