A l'instar du kimono de Judo, le karategi (également appelé, kimono de Karaté) est la tenue indispensable à la pratique de cet art martial japonais d'origine okinawaïenne.
Le Karategi est la tenue règlementaire pour s'exercer à cet art martial d'Okinawa. Le vêtement se décline en trois différents modèles. D'abord, il y a le kimono léger porté pour la pratique du combat ou du Kumite.
Le véritable nom de la tenue du judoka est le judogi. En effet, le terme kimono désigne l'intégralité des vêtements traditionnels japonais et non uniquement la tenue d'arts martiaux.
Le kimono se porte très bien décontracté avec votre jean brut fétiche ou votre short en jean d'été. Enfilez-le, par exemple au-dessus d'une blouse ou d'un débardeur l'été. Il saura parfaitement apporter du style à vos basiques tout en vous couvrant les épaules à la façon d'un châle.
Définitions de « karatéka »
Compétition. Le kata est pratiqué dans les compétitions de karaté selon deux types d'épreuves : kata individuel ou kata par équipe. Le kata est également pratiqué dans le handi-sport.
Heian Shodan (平安初段) est un kata de karaté de style Shōtōkan. C'est le premier et le plus simple des cinq kata de la série initiatique Heian. C'est donc en général le premier kata appris et pratiqué par les karatékas de l'école Shōtōkan.
Chez les femmes, l'obi est attaché autour de l'abdomen, alors que chez les hommes, il est plus bas, autour de la taille ou au-dessus des hanches. Quant à l'avant et l'arrière, cela dépend du nœud que vous utilisez. À l'origine, lorsque l'obi était utilisé comme une simple ceinture, il était noué sur le devant.
Les hommes portent le kimono le plus souvent aux mariages, aux cérémonies du thé et à d'autres occasions très spéciales ou très officielles. Les lutteurs professionnels de sumo sont souvent vus dans le kimono parce qu'ils sont tenus de porter des vêtements traditionnels japonais lorsqu'ils se présentent en public.
Pour revêtir un dobok, on commence par enfiler le pantalon, puis la veste et enfin on noue la ceinture. A la différence de la veste de kimono (que l'on peut appeler réellement ici « veste ») qui s'enfile à la manière d'un gilet, le haut de dobok, lui, s'enfile à la manière d'un pull ou d'un t-shirt.
Le kimono se nomme aussi gofuku (呉服, littéralement le vêtement des Wu). Les premiers kimonos ont été largement influencés par les vêtements traditionnels chinois de la période Tang, connus aujourd'hui sous le nom de hanfu (漢服, kanfuku), littéralement vêtement des Hans.
Il est simplement maintenu par un cordon faisant un double tour autour de la taille. Puisque le pantalon ne dispose pas de braguette, distinguer le devant à l'arrière est souvent un casse-tête. Pour connaître le bon sens et le porter comme il faut, il est important de se référer à ce cordon.
Le kimono blanc :
Shiro pour les Japonais, la couleur blanche symbolise la pureté. Ainsi, les kimonos blancs sont considérés comme des tenues réservées aux prêtres et pour les cérémonies religieuses. C'est une couleur sacrée qui est associée à la divinité et à la consécration.
Les samouraïs portaient aussi le Hakama (袴) qui est un vêtement couvrant le bas du corps, porté par dessus le kimono. On le retrouve encore à l'aïkido mais aussi au kendo ou au iaïdo. Il peut prendre la forme d'un pantalon (porté par les samouraïs) ou d'une jupe (porté par les moines).
Le dobok est la tenue traditionnelle pour la pratique du taekwondo. Celui ci se compose d'une veste blanche en col V (noir ou blanc selon le niveau), ainsi que d'un pantalon élastique.
Le kimono de judo (ou judogi) est très résistant : en effet, il doit supporter les tractions de l'adversaire, sans se déchirer. En revanche, les kimonos de karaté sont plus légers et respirants, pour une plus grande liberté de mouvement.
L'art de porter un vrai kimono japonais
Le kimono ressemble à une grande robe en forme de T. Ils sont fermés à l'aide d'une ceinture appelée obi. Le kimono se porte avec des chaussettes, les tabis et des sandales en bambou ou en cuir, appelées zori. Le kimono est l'habit traditionnel le plus long.
ORIGINES ET HISTOIRE DU KIMONO. Les premières traces du kimono apparaissent bien sûr au Japon, au VIIème siècle tandis que le Japon est sous influence chinoise. À cette époque, il s'appelle kosode, il s'agit d'un sous-vêtement que l'on porte avec un pantalon, une jupe longue ou une grande veste large.
La veste jinbei se ferme sur le côté grâce à des cordons que l'on vient attacher à l'intérieur et à l'extérieur. Le pan gauche se rabat toujours sur le pan droit, très probablement, car le vêtement traditionnel japonais pour draper les défunts se ferme du côté droit.
Attachez le kimono à l'aide du koshi-himo juste au dessus de votre nombril, et attachez-le bien car c'est la ceinture principale qui maintient l'ensemble du vêtement. Cachez la partie excédente de la ceinture en la faisant rentrer sous le partie déjà nouée pour être sûr qu'aucune partie ne dépasse.
Étape 1 : Commencez par faire reposer le foulard sur l'arrière de votre cou, les extrémités étant de longueur égale. Étape 2 : si vous avez un foulard plus long ou si vous cherchez à le porter court, enroulez-le autour de votre cou.
Les karatekas posent les mains, gauche puis droite, au sol devant eux, et saluent en inclinant la tête vers/contre les mains. Les professeurs se retournent à nouveau face aux élèves. Les karatekas se saluent en inclinant la tête vers/contre les mains au sol.
Le Karaté Shōtōkan est le style le plus pratiqué dans le monde (80% des licenciés en France). A l'international, quatre écoles font partie des styles “reconnus” par la Fédération Mondiale de Karaté (WKF) : Gōjū-ryū, Shitō-ryū, Shōtōkan et Wadō-ryū.