Les calculs rénaux peuvent survenir lorsque des bactéries colonisent les reins ou lorsque des maladies du métabolisme ou des reins changent les paramètres de l'urine (son acidité, la quantité excrétée de calcium, de phosphate, d'oxalate ou de cystine, etc.).
Le calcul le plus classique, c'est l'oxalate de calcium. Il est en rapport avec différents excès alimentaires : excès de protéines animales (viandes, poissons, œufs…), excès de sel, excès d'aliments riches en oxalates (chocolat, cacao)… le chocolat est un des aliments à bannir quand on a ce type de calcul.
Les complications sont plutôt rares si les calculs sont bien soignés. Cependant, il peut arriver qu'en plus d'une obstruction d'un uretère par un calcul, une infection s'installe. Cela peut entraîner une infection sanguine (septicémie) qui nécessitera une intervention d'urgence.
Les personnes peuvent ressentir un besoin impérieux d'uriner fréquemment, en particulier lors du passage du calcul dans l'uretère. Les symptômes suivants peuvent parfois survenir : frissons, fièvre, brûlures ou douleur pendant la miction, urine trouble avec une mauvaise odeur et gonflement abdominal.
L'eau du robinet, ou une eau en bouteille faiblement minéralisée (Évian, Volvic, eau de source...) fait parfaitement l'affaire. Lorsqu'il s'agit de calculs à base d'acide urique, une eau gazeuse riche en bicarbonates (Badoit, La Salvetat, Perrier...) diminuera l'acidité des urines et préviendra ainsi leur formation.
La pastèque
Elle contient plus de 90 % d'eau ce qui en fait un fruit très peu calorique. Riche en vitamines et en sels minéraux, la pastèque permet de prévenir certaines maladies touchant les voies urinaires comme la cystite. Elle aide aussi à renforcer les reins.
Les résultats montrent que les consommateurs de café auraient une diminution du risque de maladie rénale chronique (débit de filtration glomérulaire estimé (DFGé) <60mL/min/1,73m2) par rapport à ceux qui n'en consommaient pas.
Les calculs rénaux peuvent survenir lorsque des bactéries colonisent les reins ou lorsque des maladies du métabolisme ou des reins changent les paramètres de l'urine (son acidité, la quantité excrétée de calcium, de phosphate, d'oxalate ou de cystine, etc.).
Un risque plus élevé de maladie rénale
Selon une étude présentée lors du 41e congrès de la société de néphrologie américaine, les calculs rénaux augmentent de 60% le risque de maladie rénale chronique. Le risque de développer une insuffisance rénale terminale est quant à lui augmenté de 40%.
La colique néphrétique se manifeste par une douleur aiguë, unilatérale et lombaire. Elle est le plus souvent due à la présence d'un calcul dans l'un des 2 uretères. Si la crise s'accompagne de certains symptômes, elle doit amener à consulter en urgence.
"Le calcul rénal n'est pas douloureux. Quand il s'engage dans le canal du rein (l'uretère), le calcul bloque et empêche l'écoulement des urines. Du coup, les urines s'accumulent dans le rein qui se dilate, et c'est la dilatation qui fait mal. Ces douleurs sont d'ailleurs insupportables.
Traitements chirurgicaux. La majorité des calculs qui ne s'éliminent pas spontanément peuvent être enlevés ou détruits grâce à des techniques mini-invasives. Parmi celles-ci la lithotritie extracorporelle, l'urétéroscopie (souple ou rigide, avec ou sans utilisation d'un laser) ou la chirurgie percutanée.
Selon les dernières études, le citron est également un allié important dans la lutte contre les calculs rénaux. S'il est pris de la bonne manière et dans les bonnes quantités, il peut contribuer à minimiser la formation de calculs.
Cette douleur intense, souvent décrite comme « atroce », est ressentie le plus souvent dans le bas du dos, mais peut irradier vers l'aine, le flanc, puis l'abdomen, toujours d'un seul côté du corps.
Les excès de calcium, sel, sucre, protéines animales, oxalate et acide urique favorisent la formation des calculs.
La chirurgie est parfois nécessaire lorsque les calculs sont trop gros pour être évacués par les voies naturelles, ou qu'ils ont résisté aux autres traitements. Les médecins ont alors recours à une technique de chirurgie endoscopique, l'urétéroscopie.
Ces calculs sont oranges et ronds très friables. Leur faible densité à 600 UH leur permet de fondre avec une alcalinisation de 2-3 mois !
Vous pouvez également boire du jus de citron ! En effet, riche en acide citrique, le jus de citron augmente la quantité de citrate et permet de rendre le pH de l'urine plus alcalin et par conséquent de réduire la formation de calculs rénaux.
Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
Les reins sont en charge de l'équilibre de notre organisme. En filtrant le sang, ils régulent la quantité d'éléments présents dans le corps. Si vous mangez une banane par exemple, ils s'activent pour éliminer l'excès de potassium.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.
Des chercheurs ont découvert un lien entre pathologies rénales et importante consommation de viande rouge. D'autres sources de protéines seraient donc à privilégier, telles que la viande de volaille ou le poisson.
Quel type d'eau ? Plate ou gazeuse, peu importe. Peu minéralisée (type Evian®, Volvic®, Cristaline®, Mont Roucous®) si l'alimentation est bien équilibrée par ailleurs. Riche en calcium (Contrex®, Hépar®, Courmayeur®) si la consommation de produits laitiers est trop faible (moins de 2 à 3 par jour).