Sur ce même principe, on écrit donne-m'en. C'est cette forme qu'il faut employer, même si la tentation peut être forte d'utiliser, par analogie avec donne-nous-en, les formes donne-moi-s-en ou donnes-en-moi.
« Donne » n'a pas de sujet exprimé, signe qu'il s'agit de l'impératif, et le « t » présent ici est en fait le pronom « toi » : dans ce cas-là, il est suivi d'une apostrophe. On écrit « donne-t'en » et non « donne-t-en ».
C'est le cas avec les pronoms « moi » et « toi », qui s'élident devant les pronoms « en » et « y ». Les voyelles de ces pronoms sont remplacées par une apostrophe : « Donne-m'en » et non « donne-moi s'en », avec un « s » ou un « z » qui sortirait d'on ne sait où.
Même s'il est fréquent d'employer nouvelle au pluriel (« Donne-moi des nouvelles »), le nom, précédé du déterminant « aucun », reste au singulier : « Je n'ai reçu aucune nouvelle de lui » (qui sous-entend « pas une seule nouvelle »).
donnez-moi - Conjugaison du verbe donnez-moi.
accorder, concéder, consentir, décerner, doter, octroyer, pourvoir de, prêter.
Après : c'est moi, c'est toi, c'est lui qui..., le verbe s'accorde avec le pronom moi (je), toi (tu), lui (il), etc. À retenir : C'est moi qui = je, c'est toi qui = tu, c'est lui/elle qui = il/elle, c'est nous qui = nous, c'est vous qui = vous, ce sont eux qui = ils.
On écrit « prends soin de toi » pour s'adresser à quelqu'un que l'on tutoie pour lui donner le conseil ou lui faire la recommandation de veiller à sa santé, à son bon état physique ou moral. Pour cela, on emploie le présent de l'impératif, à la 2e personne du singulier, pour conjuguer le verbe prendre.
À l'impératif, « va » ne prend un « s » que dans « vas-y ». Il faut donc s'assurer que le verbe est à l'impératif, mode qui se reconnaît au fait que le sujet n'est pas exprimé : par conséquent, s'il n'y a de « tu » ni devant ni derrière le verbe, on écrit « va » : Ne va pas t'imaginer que ce sera facile.
«Mais, précisent les sages, pour des raisons d'euphonie, on ajoute à ces formes un “s“ quand elles sont suivies des pronoms adverbiaux.» C'est le cas pour «en» ou «y». On les liera alors au verbe par un trait d'union. Exemple: «Vas-y», «Profites-en». Attention!
Deuxième personne du singulier de l'impératif de s'en aller, qui permet de demander, généralement sèchement ou dans l'urgence à son interlocuteur de prendre congé. Exemple : Va-t'en immédiatement !
Sans Toi, je ne suis rien. Without You, I am nothing. Je sais que sans Toi, je ne suis rien.
Dans va-t'en, impératif de la forme pronominale s'en aller, le t représente la forme élidée de te. Au pluriel, on écrit : allons-nous-en, allez-vous-en.
Formée à partir d'un verbe du premier groupe, profiter, elle est suivie de l'adverbe bien et s'écrit profite bien, sans « s ». Profites bien de ta journée ! Profite bien de ta journée !
Ne t'inquiète pas ou Ne vous inquiétez pas (quand on vouvoie la personne), est une expression idiomatique utilisée pour rassurer son interlocuteur. - Tu es sûr que tu n'es pas malade ? - Ne t'inquiète pas, je vais très bien ! - Je vais rater mes examens ! - Mais non, ne t'inquiète pas, ça va bien se passer.
Toi qui. L'accord se fait à la deuxième personne, comme avec tu : toi qui aimes Mozart (et non *toi qui aime).
S'(en) occuper est un verbe pronominal. Le pronom s(e) s'accorde avec le pronom sujet. Ce n'est pas moi qui ''m'en'' occupe. La deuxième formulation me paraît la plus correcte.
Attention, au présent, la présence d'un pronom complément n'a absolument aucune incidence sur la conjugaison. On écrit « je t'attends », « il t'attend » comme « j'attends », « il attend », sans se soucier du « te » (ici élidé en « t' »). À lire également : « Je vous transmet » ou « je vous transmets »
Contraire : demander, exiger, quémander, refuser, rendre, solliciter. 3. Exposer à quelque chose.
en conséquence, par conséquent, partant, par suite, d'où.
➙ enjoindre, ordonner, prier.