Je suis bien arrivée !
Donc il faut mettre "Qu'est-ce qu'il t'arrivée"? qu'est ce qu'il t'est arrivé? ---> qu'est ce qu'il est arrivé à toi? "t" c'est un complément d'objet indirect.il ne peut donc s'accorder avec le participe passé.
Arriver signifie « parvenir à l'étape fixée, parvenir à atteindre (qqn) après des difficultés, parvenir à destination »6. Par ailleurs, la destination (terminus dans la terminologie que nous avons adoptée) peut être explicitement spécifiée par un complément dit de lieu.
Ca m'arrive de conjuguer trois verbes dans la même nuit. Verbe du premier groupe se conjuguant avec Être.
Dans votre phrase, on écrit : quoi qu'il arrive (dans le sens 1). Quoi que, en deux mots, signifie « quelle que soit la chose qui ou que » (1) et s'emploie devant un verbe impersonnel ou un verbe transitif direct : Quoi qu'il dise ; quoi qu'il fasse ; quoi qu'il arrive.
Dans les tournures impersonnelles
Dans l'exemple ci-dessus, la première possibilité équivaut à la proposition cela leur arrive, la seconde équivaut à il leur arrive cela. Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il.
On écrit « je suis allé » lorsque le contexte de la phrase exprime une idée de mouvement, de déplacement. Exemple : Je suis allé en Italie rencontrer la famille de mon père.
"Je viens" n'est pas mauvais non plus. Cependant, cette réponse laisse entendre que nous ne sommes pas très pressé de rejoindre la personne qui nous appelle, que nous désirons prendre notre temps (on s'engage moins). "J'arrive" est donc une expression chargée de dynamisme, par opposition à "je viens".
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
On écrit « je t'attends », « il t'attend » comme « j'attends », « il attend », sans se soucier du « te » (ici élidé en « t' »). À lire également : « Je vous transmet » ou « je vous transmets »
Il faut écrire : Cette jeune entreprise a fait appel à un fonds d'investissement. Un « fonds d'investissement » est un organisme chargé de gérer des capitaux. « Fonds » s'écrit donc avec un « s ».
Cette locution introduit une proposition concessive (on exprime une concession, on nuance ses propos, on tempère un jugement…) Exemple : Il vous serrera (indicatif) la main, bien que vous soyez (subjonctif) son adversaire. "Afin que", "pour que", "jusqu'à ce que", "quoique" sont aussi suivies d'un verbe au subjonctif !
Le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son sujet : Lorsque le sujet est au singulier, le verbe se conjugue au singulier. Lorsque le sujet est au pluriel, le verbe se conjugue au pluriel. Lorsque qu'il y a plusieurs sujets, le verbe se conjugue au pluriel.
Le verbe arriver est un verbe du 1er groupe (en -er). Aux temps composés, le verbe arriver se conjugue avec l'auxiliaire être.
Synonyme : accourir, affluer, aller, approcher, s'approcher de, atteindre, débouler, faire irruption, se rendre, venir. – Familier : débarquer.
Définition de arrivé
Parvenu en un lieu. Parvenu à une fonction.
Définition de arriver verbe intransitif. Marine Toucher au port, à terre. Toucher au terme d'un trajet ; parvenir au lieu où l'on voulait aller (➙ arrivée).
1- "Je vais bien" signifie qu'on est en bonne santé, qu'on n'a pas de problème . 2- "Je suis bien" (verbe être) indique plutôt une notion de confort. Par exemple, si tu es assis sur un tabouret chez un ami, celui-ci peut te demander si le siège n'est pas trop inconfortable, si tu es bien assis.
S'en aller (+ infinitif), employé dans le même sens, est familier : je m'en vais vous le dire.
L'orthographe correcte est « vas-y » avec un « s » et un trait d'union. Ce « s » n'est présent que pour une question d'euphonie, autrement dit pour faciliter la prononciation et rendre le son plus agréable à l'oreille. La locution « va s'y » n'existe pas ; par ailleurs, elle se prononcerait [va si], et non [va zi].