Il s'agit donc du verbe « être » : on écrit « est », et non « et ». Phrase correcte.
Es et est. Es est le verbe être conjugué au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. Est est également le verbe être conjugué au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.
S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être. Ses : c'est un adjectif possessif qui détermine un nom au pluriel. Ces : est un adjectif démonstratif qui détermine un nom au pluriel.
II Décrire avec il est ou elle est. Quand on veut décrire une personne, un animal ou une chose, on emploie il est ou elle est. On doit employer il est avec un nom masculin singulier. On doit employer elle est avec un nom féminin singulier.
Il ne faut pas les confondre. Le mot « et » est un mot de liaison (une conjonction de coordination) qui peut être remplacé par « ainsi que », « et puis », ou « et aussi ». Le mot « est » est le verbe « être » (ou un auxiliaire du verbe) qui peut être remplacé par « était ».
EST est le verbe être et peut se remplacer par était.
- ' a ' : verbe ou auxiliaire 'avoir' qu'on peut conjuguer à l'imparfait. Il s'écrit toujours sans accent grave. - ' à ' : préposition qu'on ne peut pas conjuguer à l'imparfait. Il s'écrit toujours avec un accent grave.
Forme conjuguée du verbe être. Exemple : Il est, elle est.
C'est une conjonction de coordination. C'est le verbe être conjugué à la 2e personne du singulier au présent. C'est le verbe être conjugué à la 3e personne du singulier au présent.
L'expression qu'est-ce que c'est s'écrit donc, au total, avec un trait d'union et avec deux apostrophes.
- ce ou c' sont des pronom personnels. - On écrit "c'est" devant un nom singulier, et "ce sont" devant un nom pluriel.
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
Il faut se reporter au mot repris par qui, cad son antécédent. Ici, l'antécédent est toi, pronom de la 2e personne du singulier. On écrira donc le verbe être à la 2e personne du sing. du présent de l'indicatif.
Pour vous assurer qu'il faut bien employer « est » (du verbe être) et non « ai » (du verbe avoir), « pensez » la phrase à l'imparfait, par exemple : => « ce message vous était adressé » (verbe être) est compréhensible => Il s'agit bien du verbe être (est).
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
L'est est un point cardinal, opposé à l'ouest. Il correspond au point moyen (exact à l'équinoxe) de la direction du lever du soleil. On l'appelle aussi levant ou orient.
C'est est un pronom démonstratif (cela) accompagné du verbe être au présent de l'indicatif. Il est souvent placé en début de phrase.
est → verbe être conjugué au présent avec il, elle, on es → verbe être conjugué au présent avec tu On peut transposer à l'imparfait : est → était es → étais.
> à est une préposition invariable. Pour les distinguer: Si l'on met la phrase à l'imparfait 'a' devient avait alors que 'à' ne change pas .
de prép. Indique dans le groupe du verbe : l'origine dans l'espace ou...
Une règle simple pour savoir si on doit mettre é ou er à la fin d'un verbe est de le remplacer par le verbe "vendre" dans la phrase. Si l'on dit "vendu", il faut mettre é, sinon il faut mettre "er". On peut aussi utiliser le verbe "prendre" pour les terminaisons au féminin mais ça marche moins bien au niveau du sens.
On appelle mode, la manière dont le verbe exprime l'état ou l'action. En français, on distingue deux types de mode : - les modes personnels : ils sont introduits par un pronom personnel, je, tu, il etc. - les modes impersonnels : tous les modes n'ayant pas de pronom personnel : l'infinitif, le participe et le gérondif.
Selon les règles du bon usage, seule la préposition « de » marque l'appartenance. Le fait d'employer « à » dans le même sens est vivement critiqué. La tournure ainsi formée est considérée comme étant très familière, voire grossière.