Le savon existe, mais il n'est pas parfumé ; on répand plutôt dans l'eau du bain des herbes et des fleurs. Les moins fortunés ou les gens de la campagne, eux, peuvent se baigner dans les ruisseaux ou dans des fontaines. Bain public Dans les villes, les bains publics sont une pratique courante.
Durant les XVIe et XVIIe siècles, l'eau héritait de la vision négative transmise depuis le Moyen Âge selon laquelle elle contribuait à propager le fléau qui s'était abattu sur toute l'Europe : la peste.
Comme shampoing, utilisez de l'eau de rose mélangée à de l'eau de myrte, ou encore de la poudre d'iris. Contre la chute des cheveux, le ladanum, une résine extraite à partir du ciste (un arbuste), est votre meilleure arme. Le jus de bette (ou blette) fera quant à lui un bon antipelliculaire.
Il suffit d'une lavette trempée dans une cuvette pleine d'eau et passée rapidement sur tout le corps ». Le terme « rapidement » est là très important : on ne doit pas se laver n'importe comment, morale oblige !
Le plus simple était de faire ses besoins dans un pot de chambre et d'en vider le contenu à travers la fenêtre la plus proche. Sans système d'égout, les déchets s'accumulent et la situation peut rapidement dégénérer. C'est pourquoi les grandes villes européennes du Moyen Âge ont si mauvaise réputation.
Sans cloison entre vous et les autres personnes. Donc, on s'assoyait sur un trou, et on s'essuyait les fesses en passant le tersorium par un autre trou, entre les jambes, jusqu'à ce qu'elles semblent « propres ». Les peuples pauvres partageaient un même tersorium – un bâton éponge pour une latrine commune.
Au Moyen Âge, comme avant au cours de l'Antiquité gréco-romaine et égyptienne, l'essuyage des fesses à l'aide d'un tissu dédié (et non un morceau de vêtement) est l'apanage des élites. Balle de laine, filaments de chanvre ou de lin (…) mais aussi dentelle, à chacun sa fibre.
Une rumeur raconte que les français sentent mauvais et ne se lavent que très peu. Cette légende internationale date du XVIème siècle, époque à laquelle les Parisiens se défaussaient de leurs déchets par les fenêtres, ne prévenant que très peu les passants.
Mais comme la nudité était considérée comme quelque chose d'inapproprié, les gens se lavaient souvent dans leurs maillots de bain et ils se savonnaient en maillot. Comment prenait-on le bain à cette époque ? Une fois par semaine, la bonne sortait une cuve ou une baignoire en tôle qu'elle remplissait d'eau chaude.
Ils se lavaient avec DIFFICULTE a défaut de se laver avec du SAVON……. Chez nous lea gens utulisaient le citron ou l argile . mais du savon mais celui fabriquer dans les usines meme jusqu a aujourdh ui on utulise encore.
La démocratisation du bain sous Louis XV et Louis XVI
Le monarque dispose d'une baignoire pour se laver et d'une autre pour se rincer, ainsi que d'une arrivée d'eau froide et d'une arrivée d'eau chaude, grâce aux cuves et des foyers installés au-dessus de la pièce.
2) Une bassine et un gant de toilette
Voici une autre solution : faire chauffer un peu d'eau, la verser dans une bassine et se servir d'une éponge ou d'un gant de toilette pour se laver le corps. Il n'y a pas si longtemps en France, certaines maisons n'étaient pas équipées de douche. Les personnes se lavaient ainsi.
Au milieu du 18e siècle, Sake Dean Mohammed ouvre à Brighton (Angleterre) des Bains de vapeur indiens, où les clients bénéficiaient de massages du cuir chevelu avec des huiles végétales. Ce sont les débuts de l'histoire du shampoing tel qu'on le connait aujourd'hui.
Comme celle qui dit qu'à l'époque de Louis XIV on ne se lavait pas. Et que le roi Soleil lui-même n'aurait pris qu'un seul bain de toute son existence, pourtant longue de 76 années.
Comme toute l'aristocratie de l'époque, il se lavait en se frottant régulièrement le corps avec des serviettes humides et imprégnées d'alcool, tout en changeant de chemise après chaque grosse transpiration.
C'est à cette époque que le futur Louis XIV endure une humiliation qui le marque pour le reste de son règne : ses gardes passent la nuit à vérifier s'il est bien là, qu'il ne s'est pas enfui ! Il doit donc, déjà, faire ses besoins devant témoins.
Adorée au Moyen-Âge où l'hygiène était signe de puissance et de richesse, l'eau est crainte par la Cour du Roi Soleil. La raison est pour le moins logique : la situation sanitaire. L'eau fait peur et est considérée comme vectrice de maladie depuis que l'Europe ait été dévastée par l'épidémie de peste.
Grâce à sa composition végétale, extra pur, le savon de Marseille est très recommandé pour les peaux grasses et acnéiques. Il peut être utilisé pour nettoyer la peau en profondeur et réguler le sébum. Par ailleurs, ce fameux savon mousse très bien et peut être utilisé en mousse à raser.
Les grands principes de l'hygiène sont connus depuis l'antiquité. L'usage du bain était répandu dans les plus anciennes civilisations humaines. On retrouve sa trace chez les Egyptiens, les Hébreux, les Assyriens, les Perses et les Chinois.
1 - Australie
Les Australiens sont les champions de la propreté, ils se lavent au moins deux fois par jour.
Ainsi, près de la moitié des Bangladais vivant en ville (29 millions de personnes) et 20 % des Indiens vivant en ville (91 millions de personnes) ne disposent pas d'installation de base pour se laver les mains au sein de leur foyer.
L'hygiène intime se fait à la main, sans gant de toilette (nid à bactérie). Chez la femme, elle doit se limiter à la vulve et la région anale, et se faire d'avant en arrière. Inutile de pratiquer les douches vaginales, au risque de détruire la flore microbienne et de provoquer infections et mycoses.
Il sert principalement à l'hygiène des parties génitales externes et de l'anus. Le bidet français n'est généralement pas utilisé pour le nettoyage de l'anus après la défécation (réalisé par le papier toilette), mais pour un lavage supplémentaire optionnel, ou pour une hygiène corporelle journalière.
"La lessive se faisait aussi à la rivière, ou encore à la maison dans un bac avec de la cendre : on était tous pareils et personne n'en est mort". Pour la toilette, elle s'effectuait "à la cuisine, dans une bassine : tout le monde y passait et les parents se lavaient en dernier, quand les enfants étaient couchés.