Dans ce sonnet Comme on voit sur la branche, Ronsard rend hommage à la maîtresse du roi Henri III, Marie de Clèves, mais aussi à son propre amour, Marie Dupin. Par une comparaison avec une rose, le poète montre la beauté de ces femmes, et leur confère une immortalité poétique.
Quand vous serez bien vieille, conclusion :
Ce sonnet se distingue d'autres poèmes amoureux par la stratégie paradoxale qu'adopte Ronsard : il peint un portrait négatif de sa belle tout en se mettant lui-même en valeur, pour la persuader de se laisser séduire.
Marie, qui voudrait votre beau nom tourner, Il trouverait Aimer : aimez-moi donc, Marie, Faites cela vers moi dont votre nom vous prie, Votre amour ne se peut en meilleur lieu donner.
Pourquoi avoir choisi ce thème ? Parce que la mort est, et bien que cela puisse paraître macabre et déplacé d'en parler, présente au quotidien dans notre vie : journaux, télévision, livres…
On la nommait Marie Dupin. Ronsard séduisit cette « petite pucelle angevine », et, ce qui est plus rare, il l'aima. Il l'aima d'un amour très tendre, très sensuel et très passionné. Il semble que, d'abord, elle le lui ait rendu.
Dans ce sonnet Comme on voit sur la branche, Ronsard rend hommage à la maîtresse du roi Henri III, Marie de Clèves, mais aussi à son propre amour, Marie Dupin. Par une comparaison avec une rose, le poète montre la beauté de ces femmes, et leur confère une immortalité poétique.
La mort La mort est omniprésente dans Les Fleurs du Mal, sans cesse évoquée, tantôt souhaitée avec force, tantôt redoutée avec angoisse. Représentée par de nombreuses allégories*, toutes empruntées à la tradition médiévale, la mort revêt pour Baudelaire des visages changeants.
Chez Baudelaire, la vie et la mort ne sont pas séparées par quelque cloison étanche, elles communiquent et s'impliquent réciproque- ment. D'une manière occulte, la mort est attachée à la vie, elle s'insinue en elle et l'habite. Le poème liminaire des Fleurs du Mal associe l'acte de la respiration à la mort.
Baudelaire continue ainsi à décrire la Mort comme une vie meilleure que celle originelle ; comme Jésus, l'Homme pourra ressusciter une fois mort, et il se trouvera, pour le meilleur, affranchi des affres d'abord éprouvées.
En 1555 paraît un autre recueil de poésie amoureuse, que Ronsard appelle Continuation des Amours, et qui par son titre se place donc la continuité du recueil précédent. C'est à une autre jeune fille qu'il est dédié, Marie, que Ronsard aima pendant quelques années.
Ailleurs, Ronsard justifie l'inconstance en recourant aux arguments misogynes traditionnels : les femmes sont intéressées, cruelles et volages, il serait donc sot de cultiver à leur intention des vertus, dont la fidélité, qu'elles foulent aux pieds.
Dans le sonnet "Quand je serais un Turc, un Arabe ou un Scythe", Ronsard envoie un message de tolérance. Il clame que l'amour n'a aucune frontière qu'elles soient sociales, ethniques, physiques ou encore religieuses. On peut y voir une référence à Marie Dupin qui appartient à un milieu modeste.
Il les célèbre à travers des recueils de poèmes dans lesquels il exprime à la fois ses sentiments et la fuite du temps. Ronsard est tour à tour, amoureux passionné, tendre ou sensuel. A travers ses poèmes, il exprime cette multitude d'états de l'amour et loue la grâce, la beauté éphémère et l'urgence de vivre.
C'est l'occasion de méditer sur le destin de l'homme, voué à l'inéluctable mort par opposition à l'éternité de la nature. Mais la supériorité de la nature est relative et le poète préfère finalement sa condition humaine qui a le privilège d'aimer.
État affectif, plus ou moins durable, de mélancolie sans cause apparente et pouvant aller de l'ennui, la tristesse vague au dégoût de l'existence. Synon. fam. bourdon2, cafard1; dépression, ennui, hypocondrie, langueur, neurasthénie.
« La mort » est la dernière section des Fleurs du mal de Baudelaire. Elle est la dernière force permettant au poète d'échapper au spleen.
Une des sections du recueil Les fleurs du mal a pour titre « La Mort » et est composé des poèmes suivants : « La mort des amants » (CXXI), « La mort des pauvres » (CXXII) et « La mort des artistes », tandis que le dernier chapitre (CXXVI) « Le Voyage » s'achève sur une invocation de la mort : « Ô Mort, vieux capitaine ...
Le recueil des "Fleurs du Mal" est censuré lors de sa parution en juin 1857. L'œuvre choque par son inspiration maléfique, le caractère morbide, sensuel ou charnel des poèmes ou encore par son ignorance de la morale religieuse. Rien n'est vulgaire ni obscène pour Baudelaire, à la recherche du Beau.
Il cherche à extraire la beauté du mal par le travail poétique afin de dépasser la souffrance propre à l'âme humaine. La condition du poète : À travers ce dualisme entre spleen et idéal, c'est la condition du poète que l'auteur prend pour sujet.
La structure de l'édition de 1861 comprend six sections : Spleen et idéal (85 poèmes) ; Tableaux parisiens (18 poèmes) ; Le Vin (5 poèmes) ; Fleurs du Mal (9 poèmes) ; Révolte (3 poèmes) ; La Mort (6 poèmes).
La Pléiade, qui s'est d'abord appelée la Brigade, est un groupe de poètes français du XVIe siècle dont le but est notamment de valoriser la langue française tout en s'inspirant des mythologies et des littératures antiques (grecque et latine).
C'est en 1556 que Ronsard, apparemment hanté par le chiffre sept, donnera à la Brigade le nom plus prestigieux de Pléiade dans l'Élégie à Chrestophe de Choiseul. Ce nom avait désigné un ensemble de sept poètes d'Alexandrie au IIIe siècle av. J. -C.
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Le dernier amour de Pierre de Ronsard est Hélène de Surgères. Le recueil s'appelle Amour, il contient notamment "Sonnet pour Hélène".