Penser à soi, c'est d'abord s'écouter, se connaître. On feint trop souvent d'être quelqu'un, tellement qu'on finit par y croire. Par penser à soi, je veux donc dire se reconnecter à soi pour mieux comprendre ses envies, ses ambitions, ses peurs, ses limites et les appliquer au quotidien dans ses choix et ses actions.
Quand on s'occupe plus des autres que de nous même, ce déséquilibre va inévitablement générer la situation inverse de ce que l'on veut. Parce que lorsque tu te délaisses et que tu ne fais pas suffisamment attention à tes propres besoins, c'est autant d'amour, d'énergie et de temps que tu ne peux plus offrir aux autres.
Laissez de la place au mode de pensée de vos interlocuteurs, intéressez-vous à eux, assurez-vous que vous avez bien compris, reformulez ses propos. Et surtout laissez-lui la liberté de répondre et de penser à sa propre façon. Ses pensées ne vous appartiennent pas, vous n'êtes pas dans sa tête !
Arrêter de culpabiliser, c'est déjà prendre conscience de notre valeur. Pour créer notre réalité, vivre ce que nous désirons, il est primordial de faire le point sur qui nous sommes et ce qui est important.
La culpabilité est un ressenti émotionnel, très fréquent, qui survient lorsque l'on se juge soi-même responsable d'une entorse à nos propres valeurs. C'est un mélange de honte, de tristesse, de mépris et de colère, où le regard de l'autre et le regard qu'on porte sur soi jouent pour beaucoup.
La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher. En détournant son attention sur des tâches distrayantes mais prenantes, en se recentrant sur l'instant présent grâce à la méditation ou encore en écrivant ses ruminations, il est possible de les contrer.
Laisser filer les pensées négatives
Pour cela, la méditation active apporte une aide intéressante. "Observez vos pensées sans les juger ni vous y accrocher. Laissez-les passer comme des nuages au-dessus de votre tête sans qu'elles puissent prendre le pouvoir", conseille Latifa Gallo.
L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui. L'égocentrique jalouse le succès des autres. L'égocentrique est toujours en demande de compliments.
altruiste. Dévouement, se consacrer à autrui de façon désintéressée, sans rien attendre en retour. Aider les autres.
Si pour toi, "rater sa vie", c'est avoir fait un choix trop rapide à un certain moment, sache qu'il y aura d'autres choix et d'autres possibilités de se remettre sur les rails ou au moins améliorer le quotidien. Et on peut faire le point sur ce qui a été fait de positif, et ce qu'il reste à faire.
La méditation est l'art de regarder nos pensées sans s'y attacher. C'est une technique très intéressante pour mieux penser. En effet, on apprend à observer nos pensées et à ne pas s'identifier à elles.
C'est à cause des comparaisons que nous faisons constamment.
Nous nous comparons en permanence pour savoir où nous nous situons par rapport au groupe auquel nous appartenons, par rapport à la société, par rapport au monde, …
Au moment où vous voulez bloquer la pensée, essayez de mettre une limite et de déplacer cette préoccupation à une certaine heure. Il peut être plus facile dans ces cas-là de déplacer son attention sur une autre activité : comme faire du sport, voir un ami, regarder un film ou une série, faire des courses ou cuisiner.
Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Les benzodiazépines sont les principales substances utilisées pour traiter l'anxiété aiguë (effet dit anxiolytique, voire sédatif). Le médicament agit après une seule prise, en 5 à 15 minutes environ, selon la dose absorbée et la sensibilité du patient.
Pratiquez le lâcher-prise : prenez des pauses, ce n'est pas plus compliqué que cela. Pour ceux/celles qui ne peuvent s'arrêter de penser, ou de souffrir d'angoisse, de stress ou de culpabilité qui vous empêchent de tranquiliser votre esprit, pratiquez aussi la méditation, la sophrologie ou encore le yoga.
Se punir pour une erreur signifie dans la plupart des cas que nous aurions pu mieux gérer une situation donnée. Il est inutile de faire semblant de rien et d'essayer de se convaincre que nous n'avons pas tort. Accepter notre vulnérabilité et apprendre à aimer nos faiblesses s'avère beaucoup plus efficaces.
Mettre ses limites résulte à rendre une explication, et pendant qu'on le fait, la sensation inéluctable de la culpabilité fait son chemin au niveau de l'organe le plus sollicité chez les gens qui vivent avec la migraine, le cerveau!
Accepter pour mieux se déculpabiliser
Prendre conscience de ses regrets, sans jugement, et avec bienveillance envers soi-même, c'est déjà faire un pas vers l'acceptation de la réalité et de soi-même.