Prenez d'abord le temps d'encourager un enfant en colère à exprimer physiquement son émotion, nommez-la avec lui, restez à proximité et ensuite, amenez-le à respirer avec vous. Le fait de respirer l'aidera à apaiser les tensions qui demeurent à l'intérieur de lui.
Nommer les émotions
En utilisant un langage simple et compréhensible, les parents peuvent aider l'enfant à articuler ses émotions. Par exemple, dire « Je vois que tu es triste » ou « Tu as l'air vraiment fatigué » donne à l'enfant un vocabulaire émotionnel qui facilite la communication.
Verbaliser son ressenti
Vous pouvez par exemple parler à une personne de confiance ou encore écrire. De cette manière, vous verbalisez votre colère et vous pouvez la libérer. Si vous décidez d'écrire, cela permet de vous défouler et d'éviter d'avoir des paroles blessantes envers quelqu'un.
Verbalisez votre colère .
Vous pouvez toujours vous exprimer auprès d'un ami de confiance, mais il est parfois préférable de faire semblant de parler directement à la personne contre laquelle vous êtes en colère. Choisissez une chaise vide, imaginez qu'ils sont assis dessus et criez, criez ou dites-leur exactement pourquoi vous êtes si en colère – selon ce qui vous convient le mieux.
Certaines personnes trouvent utile de faire des exercices vigoureux, tandis que d'autres ont intérêt à se laisser pleurer, à faire quelque chose d'apaisant ou de créatif, à parler à un ami ou un collègue de confiance ou à écrire (juste pour vous-même) ce que vous ressentez . Essayez différentes options pour découvrir ce qui fonctionne pour vous.
Si un enfant ne veut toujours pas parler, prenez le temps de reformuler ses demandes non verbales. Vous proposerez ainsi du vocabulaire et une structure de phrase adéquate. Vous pourriez dire : « Oui, je vois que tu me donnes ton manteau. Je crois que tu veux me dire Aide-moi à mettre mon manteau! »
Le trouble primaire du langage oral, ou la dysphasie, est un trouble neurodéveloppemental du langage qui affecte la compréhension et/ou l'expression d'un message verbal, peu importe la modalité de présentation, langage oral ou écrit. La dysphasie est un trouble.
Mettez l'accent sur les arts . Les arts sont un moyen facile pour vos enfants d’exprimer leurs sentiments sans dire un mot. Il est prouvé que l’art-thérapie améliore le bien-être physique, mental et émotionnel grâce à l’expression créative des enfants (et des adultes aussi !).
L'empathie se développe en interagissant avec des personnes qui font preuve d'empathie. Lorsque vous êtes chaleureux et sensible aux sentiments de votre enfant, vous l'aidez à prendre conscience de ses propres émotions. Aidez-le aussi à nommer ses émotions et à s'apaiser.
La modification de la situation : la modifier lorsqu'elle devient désagréable ; Le détournement de l'attention : penser à autre chose ; La réévaluation cognitive : changer son regard sur une situation ; La modulation de la réponse : moduler sa réaction une fois l'émotion ressentie.
Aidez votre enfant à exprimer ses émotions par des mots et à vous dire comment il se sent. En l'encourageant à parler de ce qu'il ressent, vous pouvez l'aider à mieux contrôler ses émotions et à ne pas se laisser dépasser par celles-ci. Faites preuve de patience et faites des efforts pour maîtriser votre frustration.
Prenez d'abord le temps d'encourager un enfant en colère à exprimer physiquement son émotion, nommez-la avec lui, restez à proximité et ensuite, amenez-le à respirer avec vous. Le fait de respirer l'aidera à apaiser les tensions qui demeurent à l'intérieur de lui.
Rester calme lorsque votre enfant agit, ignorer les comportements négatifs et féliciter les comportements positifs aidera à réduire les accès de colère. La cohérence est la clé. Il est important d'établir des règles, d'informer votre enfant de ce qui se passera s'il enfreint ces règles, puis de les respecter.
Quelques enfants dysphasiques sont hyperactifs ou au contraire hypoactifs en réaction à leur entourage. L'enfant dysphasique soutient difficilement son attention ne sachant quelle cible il doit focaliser ou, au contraire, il s'intéresse démesurément à un détail sans importance.
La dyscalculie est une altération de la cognition mathématique entraînant des limitations dans la manipulation des chiffres et des ordres de grandeur.
La dysorthographie est un trouble spécifique de l'apprentissage de l'orthographe. Ce trouble comme tous les troubles Dys est durable. Les personnes dysorthographiques n'assimilent pas correctement les règles orthographiques.
On propose généralement, dans les livres et les formations sur l'opposition, des systèmes de récompense ou l'utilisation des mesures punitives afin de « casser » leur comportement.
Quand l'enfant crie au lieu de parler, il peut y avoir différentes raisons : la frustration de ne pas se faire comprendre qui le met très en colère, un moyen de décharger sa tension (voir aussi la figure d'attachement), le besoin de se sentir écouté, car nous vaquons à nos occupations en lui prêtant une oreille ...
L'habitude de réprimer la colère vient souvent du fait d' avoir grandi dans un foyer où montrer ses émotions conduisait à être silencieusement ostracisé . Cela peut faire de vous un adulte une profonde peur d’être rejeté qui fait surface dans vos relations.
Une colère saine signifie considérer la colère comme un signal pour diriger notre attention vers l’intérieur afin d’identifier nos désirs, nos besoins et nos valeurs fondamentaux . Une colère saine nécessite de développer l’auto-compassion, ce qui inclut des compétences permettant d’améliorer notre sentiment de sécurité et de connexion.
Voir rouge, perdre son sang froid, faire une crise de nerfs … Les expressions ne manquent pas pour illustrer la colère, décrite dans le dictionnaire comme un « violent mécontentement accompagné d'agressivité ».