une faiblesse d'un seul côté de votre corps. un engourdissement ou un fourmillement au niveau du visage dans les bras ou dans les jambes. une difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres. des troubles de la vue, comme une vision double ou l'incapacité de voir, surtout d'un œil.
L'examen médical évalue, dès la phase initiale, le degré de l'atteinte neurologique et le niveau de conscience. Un bilan d'imagerie médicale en urgence est réalisé par imagerie par résonance magnétique (IRM) ou par scanner cérébral.
Faiblesse, engourdissement ou paralysie du visage, d'un bras ou d'une jambe, généralement d'un seul côté du corps. un trouble de l'élocution ou une difficulté à comprendre les autres. cécité d'un ou des deux yeux ou vision double. Vertige ou perte d'équilibre ou de coordination.
Dans certains cas, l'AVC peut aussi provoquer une perte de la vision et de l'équilibre, ou encore d'intenses maux de tête. Mais il arrive parfois que l'AVC soit « silencieux », et ne provoque aucun symptôme. Certains signes doivent néanmoins amener à être vigilant, pour pouvoir réagir à temps.
Un AVC silencieux peut survenir sans provoquer les signes et symptômes habituels d'un AVC, comme un engourdissement, de la confusion et des étourdissements soudains.
- Un mal de tête intense, pouvant parfois s'accompagner de vomissements ; - Un essoufflement inexpliqué, non précédé d'un effort particulier. Le magazine Maxisciences associe aussi l'AVC à des vertiges et des évanouissements.
Des symptômes différents des hommes
Chez l'homme, une douleur dans le thorax, qui irradie dans le bras gauche et jusqu'à la mâchoire fait penser à un infarctus. Chez la femme, il existe parfois d'autres symptômes plus subtils.
La dépression et le stress sont associés à un risque presque deux fois plus élevé d'AVC et d'AIT (mini-AVC), en particulier chez les adultes d'âge moyen et les personnes âgées.
Des médicaments anti-agrégants plaquettaires sont prescrits après un AVC ischémique. Ils empêchent les plaquettes du sang de s'agglutiner et donc les caillots de se former. Il peut s'agir de l'aspirine donnée à des doses précises, ou d'autres médicaments comme le clopidogrel ou le ticlopidine.
Un accident vasculaire cérébral (AVC) est la perte brutale d'une fonction du cerveau. Il existe des AVC ischémiques et des AVC hémorragiques. Ils surviennent souvent chez des personnes présentant des facteurs de risque. Comme l'AVC, l'accident ischémique transitoire (AIT) est une urgence.
Si un caillot se forme sur une plaque et se détache, le flux sanguin dans le cerveau se bloque brutalement, ce qui mène à un AVC. L'athérosclérose est provoquée par l'hypertension artérielle chronique, trop de cholésterol sanguin, le tabagisme, le diabète, le surpoids, l'inactivité, l'âge et des facteurs génétiques.
Des études ont montré que le risque d'AVC ischémique était augmenté par la prise d'antipsychotiques, médicaments aux propriétés antidopaminergiques[2] communément prescrits en psychiatrie.
une létalité à un an de 37 % (23 % après standardisation). Les patients pour lesquels la nature de l'AVC n'est pas précisée ont une survie intermé- diaire entre les AVC hémorragiques et les infarctus cérébraux. La mortalité tous âges confondus est de 32 % à un an, dont 53 % au cours du premier mois (graphique 2).
une déformation de la bouche ; une faiblesse ou un engourdissement soudain d'un seul côté du visage : impossibilité de sourire, la lèvre est tombante d'un côté ; une perte de force ou un engourdissement du bras ou d'une jambe ; une difficulté d'élocution ou de compréhension.
Adoptez autant que possible un régime alimentaire équilibré, en mangeant fréquemment du poisson, des fruits et des légumes secs, des céréales complètes et en privilégiant l'huile de colza, d'olive, ou de noix. Modérez votre consommation d'alcool.
On l'appelle ainsi parfois mini-AVC silencieux. Mais il peut s'aggraver dans les heures ou les jours qui suivent, et conduire à un accident vasculaire cérébral sérieux entraînant possiblement de graves problèmes de santé, un handicap à vie ou un décès.
La vitamine B12 offre les avantages suivants :
La vitamine 12 sert aussi à favoriser la plasticité cérébrale.
La PA doit être abaissée progressivement et maintenue < 220/120 mmHg, en surveillant l'état neurologique afin de dépister l'aggravation du déficit. L'objectif tensionnel est à adapter au cas par cas.
Selon la gravité de la situation, des patients pourront se rétablir en quelques mois. D'autres, en quelques années. Pour faciliter le processus et minimiser les séquelles, il est indispensable qu'une personne subissant un AVC soit prise en charge le plus vite possible.
L'AVC peut survenir à tout âge : si l'âge moyen de survenue d'un AVC est de 74 ans, 25% des patients ont moins de 65 ans et 10% moins de 45 ans. Ces dernières années le nombre d'AVC affectant des personnes jeunes a augmenté de manière significative.
Ces disparités varient selon l'âge : plus faibles avant 45 ans, c'est parmi les 45-64 ans qu'elles sont le plus marquées avant de s'estomper aux grands âges (85 ans ou plus) (cf. Graphique). Parmi les 45-64 ans, le taux de survenue est presque deux fois supérieur chez les plus modestes par rapport aux plus aisés.
C'est un phénomène normal lorsque la lassitude est proportionnelle à l'effort effectué. Mais la fatigue peut être pathologique, et c'est le cas dans le syndrome de fatigue post-AVC, avec un sentiment de lassitude survenant pour un effort minime ou bref.
Une douleur intense au bras gauche, qui ne fluctue pas en fonction des changements de position et s'accompagne d'une sensation de malaise général, de sueurs, d'une pâleur, etc doit être considérée comme un signe d'infarctus du myocarde !
Les douleurs musculaires sont souvent localisées. Elles s'aggravent avec le mouvement, la toux ou la respiration profonde. Elles peuvent être reproduites par une pression sur la zone affectée. En revanche, les douleurs cardiaques peuvent se présenter comme une sensation de pression ou d'oppression.
En effectuant un dépistage rapide de l'apnée du sommeil, le patient peut débuter son traitement et agir de manière préventive envers l'AVC. Le traitement de l'apnée du sommeil mène à une diminution du risque en contrôlant les pauses respiratoires.