Il s'agira par exemple de calmer les impulsions et l'angoisse par des exercices de respiration. Si l'envie de voler est trop forte, cela passera tout simplement par le fait de sortir du magasin, ou alors de prendre l'objet puis de passer en caisse.
Lorsque la personne cleptomane admet son problème, une thérapie analytique peut l'aider à comprendre les origines de sa pulsion. Dans une autre approche cognitive et comportementale, le thérapeute peut l'aider à la mettre sous contrôle.
Le cleptomane vole parce qu'il ne peut contrôler sa pulsion de voler et non à cause d'un manque d'argent ou par un besoin de choses matériels. Il faut savoir que la cleptomanie n'a rien à voir avec la délinquance ou avec un profil de personnalité antisociale.
En permettant de débusquer et démanteler les croyances et les pensées qui justifient le comportement du kleptomane, les thérapies comportementales et cognitives (TCC) peuvent également s'avérer efficaces dans la prise en charge de cette problématique.
Si vous pensez qu'un ami proche ou qu'un membre de la famille est kleptomane, faites gentiment part de vos inquiétudes à cette personne. Gardez à l'esprit le fait que la kleptomanie est un trouble psychologique, et non un trait de caractère. Avertissez-le avec bienveillance qu'un suivi thérapeutique peut l'aider.
Il est possible de soigner la cleptomanie, en ce qui concerne ses causes psychiatriques. Pour les causes neurologiques, celles-ci seront davantage du ressort du neurologue.
La cleptomanie est un trouble qui pousse le malade à enfreindre la loi. Dans de rares cas, cette manie peut avoir une origine génétique. Mais la plupart du temps, elle reflète un comportement répétitif effectué dans le but de faire barrage à un sentiment d'angoisse.
La personne ressent une tension très forte, une grande excitation avant de passer à l'acte, puis un immense soulagement et même du plaisir après avoir commis le vol. C'est un comportement très difficilement contrôlable et qui n'a rien à voir avec la sociopathie. Il n'y a aucune envie de faire du mal. »
Il s'agit d'une impulsion pathologique qui pousse certaines personnes à commettre des vols. Le terme kleptomanie (qui s'écrit aussi "cleptomanie") désigne, chez la personne qui en est atteinte, la pulsion irrépressible de s'approprier des objets, ceci en l'absence d'un motif économique ou d'un besoin réel de cet objet.
S'ils décident de voler, c'est qu'ils ont leur raison : Le voleur croit que les produits ne valent pas leur prix. Le voleur croit que le vol en magasin est la meilleure solution pour vivre au quotidien. Le voleur veut voler les produits dont il a le plus besoin ou qu'il désire le plus.
Les moyens pour ce faire peuvent prendre différentes formes. Entre autres, l'employeur peut décider de retenir les services d'un enquêteur, d'installer des caméras de surveillance sur les lieux du travail ou encore de procéder à une fouille de l'employé soupçonné.
Placer quelques caméras dans des zones à risque élevé (comme pointée vers les caisses, des endroits où sont stockées des marchandises de grande valeur, etc.) peut décourager de manière drastique le vol et peut fournir des preuves fiables au cas où cela surviendrait.
À titre d'exemple, au cours d'une phase maniaque, la personne ayant des troubles bipolaires pourrait croire qu'elle peut voler ou qu'elle est une célébrité. D'autre part, pendant une phase dépressive, elle pourrait être la proie de sentiments irrationnels d'extrême culpabilité.
La cabine d'essayage : un lieu très discret
Les voleurs ont une technique assez simple : dès lors qu'il s'agit de produits dotés d'un antivol, ils utilisent un aimant qui permet de détacher la sécurité et ainsi de voler l'article.
Plus belle la vie, Agnès, infirmière, est kleptomane. Une fille vraiment bien : Lindsey, l'héroïne commence a voler, mais très vite, ne peut plus s'en empecher ce qui la rend kleptomane.
Des facteurs environnementaux en cause
Le syndrome de Diogène serait lié à un traumatisme vécu au cours de la petite enfance. Après un long intervalle de vie, le processus de « diogénisation » peut se déclencher à l'occasion d'un événement difficile (séparation, deuil, changement de situation...).
Le vol, de même que les difficultés économiques, est souvent considéré comme l'un des signes précurseurs de la dépendance. Les personnes aux prises avec des problèmes de toxicomanie ou à une addiction au jeu pourraient voler de l'argent de leurs parents, amis et collègues pour financer leur dépendance.
La kleptomanie, qu'est-ce que c'est ? Du grec “kleptès”, voler, et “mania”, la folie, la kleptomanie ou cleptomanie est un trouble psychologique qui se caractérise par une incapacité répétée à résister à l'envie de voler.
La syllogomanie : Les personnes atteintes du syndrome de Diogène ont en général un rapport aux objets peu communs, se manifestant le plus souvent par l'accumulation ceux-ci soit parfaitement rangés, soit dans un désordre total, entraînant par la même occasion l'insalubrité de l'habitat.
Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.
Voici les principaux facteurs : On peut observer une négligence excessive de son hygiène corporelle ainsi que la malpropreté de son logement. Même entouré de saletés ou de détritus dans son lieu de vis, elle reste toujours indifférente.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
En outre, lorsqu'une personne bipolaire sort d'une phase de crise, elle est capable de prendre conscience de son propre état émotionnel. Tandis que, de son côté, le pervers narcissique est froid, surtout quand il manipule l'autre et ne prend pas conscience de la façon dont il se comporte.
Ainsi la plupart des patients prennent des combinaisons de psychotropes. Parmi elles, les anti-maniaques, qui sont des antipsychotiques prescrits notamment durant la phase aiguë de manie et certains antiépileptiques, qui ont aussi des effets de régulation de l'humeur.
Dans les phases aiguës de la maladie, l'alcool et les drogues sont les principaux facteurs de risque qui conduisent à des comportements agressifs. L'alcool et les drogues augmentent en fait les épisodes de violence verbale et physique, même s'ils réduisent l'irritabilité et les crises d'agitation psychomotrice.