Ainsi si l'on résume, la ville idéale du futur serait intelligente, durable, autosuffisante, résiliente – capable de palier à des situations de vulnérabilité en anticipant les risques en milieu urbain…
Les villes devront être autonomes en matière d'énergie. Des immeubles pourront être capables de générer de l'électricité grâce à des éoliennes et des panneaux solaires intégrés. Des architectes imaginent même des espaces verts sur les toits comme des jardins ou même des fermes.
L'écologie, c'est la nature. Dans la ville du futur écologique, la végétalisation urbaine aura donc sans conteste une place centrale. Elle pourra se traduire par la création de jardins communautaires et par le développement de l'agriculture urbaine, notamment.
Améliorer la qualité de vie grâce aux espaces verts
Le besoin de proximité avec la nature figure parmi les premières attentes des populations urbaines. Les espaces verts permettent non seulement de répondre aux besoins des habitants et de la planète, mais aussi d'augmenter l'attractivité de la ville.
6. Les solutions proposés pour améliorer la vie des habitants sont : recul de l'insécurité, retour de l'ordre au bord des routes, création de squares et d'éclairages, extension du réseau d'eau, construction de quartiers résidentiels, multiplication par 500 du nombre de camions de collecte des ordures…
La ville du futur se veut un modèle intelligent associant à la perfection l'Homme avec la nature et l'Homme avec l'Homme, sorte de smart city : une idée qui fait rêver.
Le programme a pour objectif de renforcer les moyens des élus des villes et leurs intercommunalités de moins de 20 000 habitants exerçant des fonctions de centralités pour bâtir et concrétiser leurs projets de territoire, tout au long de leur mandat, jusqu'à 2026.
La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes. La planète sera confrontée à des défis démographiques, économiques et climatiques de plus en plus importants. Ils doivent être pris en compte sans tarder pour éviter que l'inertie ne rende la situation irréversible.
Le principal problème sera d'ordre environnemental. Certaines villes y sont déjà exposées avec la pollution de l'air comme dans les villes chinoises de Beijing ou de Shanghai. Parallèlement, la technologie apporte déjà des solutions aux problèmes des transports par exemple.
De nouvelles modalités telles que les voitures électriques (Abd Alla et al., 2021), les voitures autonomes (Nogues et al., 2020), les vélos électriques à longue autonomie (Maltese et al., 2021), le covoiturage (Li et al., 2021), pourraient avoir un impact important sur la mobilité urbaine.
L'idée est de partir d'un espace proche d'un marché où les producteurs locaux pourraient venir s'installer pour vendre leurs produits, ingrédients qui seront utilisés dans la cuisine adjacente. Les espaces seront intégrés à un projet végétal qui valorise l'agriculture urbaine.
Quelques enjeux de la ville du futur 2050
La mobilité verte permettra également de refroidir les villes du futur en évitant de rejeter des gaz à effet de serre dans l'atmosphère. En France, le secteur des transports est responsable de 31 % des émissions de gaz à effet de serre du pays.
Les matériaux responsables pour construire la maison du futur en 2050. La transition énergétique dans l'habitat dans la maison de 2050 passe aussi par le choix des matériaux. Comme pour les nouvelles maisons construites actuellement, on s'orientera évidemment vers des matériaux performants, en matière d'isolation.
Embouteillages, pollution, zones défavorisées, tels sont les problèmes auxquels nombre de villes doivent faire face, sans compter l'explosion démographique urbaine qui pourrait bientôt aggraver ce phénomène.
L'amélioration de l'accueil des personnes âgées est également une thématique centrale du vivre mieux dans la ville de demain. La plupart résideront en ville. Les centres urbains doivent prendre grand soin de leurs aînés, qui seront plus nombreux, afin qu'ils restent dans des lieux de vie agréables et adaptés.
Une ville nouvelle est un noyau urbain, résultant d'une politique volontariste, implanté en périphérie d'une très grande ville (Londres, Paris mais aussi Le Caire, Shanghai, Wuhan, etc.) dans l'intention de la décongestionner et d'en maîtriser la croissance.
En ce sens, la ville idéale est un espace urbain où s'exprime, sans entrave ni contradiction, l'idée que le pouvoir politique se fait de lui-même. Toutefois, avec le développement de la représentation politique, les relations entre le pouvoir et l'urbaniste peuvent devenir conflictuelles.
La concentration de l'habitat et l'existence de services spécialisés – tels que des banques, des hôpitaux, des universités – sont les caractéristiques principales du milieu urbain par rapport au milieu rural. C'est grâce à ces services que la ville produit davantage de valeur ajoutée que la campagne.
Ainsi, pour la deuxième année consécutive, Paris arrive au top et gagne la palme de plus belle ville du monde à visiter. Portée par son incroyable attrait touristique, la capitale rayonne donc et se place devant Dubaï, Madrid, Tokyo ou encore Amsterdam.