Le traitement se fait souvent par une thérapie comportementale et cognitive (TCC). Une collaboration entre les différentes parties est alors nécessaire. Une thérapie familiale peut également être envisagée si des dysfonctionnements au sein de votre famille sont à l'origine de la phobie scolaire de votre enfant.
La phobie scolaire n'a pas d'explication univoque. Elle pourrait dans certains cas être liée à une réactivation d'angoisses de séparation, que cela soit à l'occasion d'un évènement traumatisant ou non (déménagement, changement d'école, décès d'une personne de l'entourage, séparation des parents...).
Il faut lui parler et l'écouter, sans le culpabiliser. Retrouver du plaisir. Et si cela persiste, n'hésitez pas à consulter un pédopsychiatre ou un psychologue scolaire pour faire le point et comprendre ce qui se passe, avant de se lancer dans des bilans.
Il est possible de guérir votre enfant d'une phobie scolaire et de la soigner. Le chemin est souvent long et sinueux, mais en conjuguant plusieurs moyens : bienveillance, psychothérapie, méditation, sophrologie et traitements médicamenteux, votre enfant va se soigner et retrouver le chemin de l'école.
La phobie scolaire se manifeste souvent par une forte crise d'angoisse qui ne s'arrête que quand l'enfant est persuadé qu'il n'ira pas à l'école. Selon l'âge, elle peut également se manifester par des symptômes physiques comme des maux de tête ou de ventre.
La phobie scolaire est-elle un handicap ? La loi du février 2005 considère comme handicap toute maladie évoluant sur le long terme et/ou invalidante. Ce n'est pas la phobie scolaire en soi, mais le fait qu'elle évolue sur le long terme et qu'elle soit, en effet, invalidante qui est reconnu.
La phobie scolaire est une angoisse massive qui survient à la simple idée d'aller à l'école. Elle se manifeste typiquement au moment du départ de la maison par une crise de panique qui ne s'estompe que lorsque l'enfant est convaincu qu'il n'ira pas à l'école.
Les parents doivent consulter rapidement le médecin de famille ou un pédopsychiatre pour essayer de comprendre et mettre vite en place une prise en charge psychopédagogique. Pour moi, c'est une urgence », dit-elle. Une thérapie peut être menée avec le soutien d'un pédopsychiatre ou d'un psychologue.
L'enfant a peur de l'école, cette peur est souvent liée à une crainte de l'idée de la mort, de la séparation. Ce problème doit être traité, dans un service spécialisé, en hôpital de jour, avec une inscription au Centre national d'enseignement à distance, parce qu'on n'immerge pas un enfant dans sa peur…
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Mettez vous au sport : comme la danse, pour « évacuer » le stress tout en vous amusant ! Après le farniente à la plage, il va falloir courir dans tous les sens pour réaliser à temps, toutes les taches qui vous incombent. Alors pour évacuer le stress, pourquoi ne pas vous adonner à une activité physique ?
Mieux vaut répondre “On va s'en occuper” », poursuit le spécialiste. D'autant que les formes négatives sont mal perçues par les petits. Plutôt que “Ça ne fait pas mal” ou “Ce n'est rien” (d'abord, qu'en sait-on ?), mieux vaut lui dire “Je suis là, on va regarder ça, ça va aller, tout va bien se passer.”
La peur est une émotion ressentie en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. Elle est un instinct de conservation provoqué par l'analyse du danger et elle permet au sujet de le fuir ou le combattre.
Faites-le parler sur ce qu'il apprend, une émission qu'il vient de regarder ou un sujet qu'il aime ; Laissez-le faire des choses par lui-même pour l'autonomiser autant que possible ; Apprenez-lui à mieux s'organiser à la maison comme à l'école ; Félicitez-le en lui décrivant ce que vous avez aimé.
Le signalement permet de prévenir les professionnels de la protection de l'enfance d'une situation de maltraitance ou de risque de maltraitance. Toute personne ayant connaissance d'une situation de danger pour un enfant est dans l'obligation de le signaler.
Symptômes physiques et psychosomatiques :
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
Sa mission est d'agir en faveur du bien-être psychologique et de la socialisation des élèves pour faciliter l'acquisition de leurs apprentissages, et de participer à la prévention des risques de désinvestissement ou de rupture scolaires. Il favorise ainsi par son expertise la réussite scolaire de tous les élèves.