Les hallucinations auditives, un symptôme important de la maladie. La schizophrénie est une pathologie mentale qui évolue, lorsqu'elle n'est pas prise en charge, vers une « dissociation » progressive de la personnalité et une perte de contact avec la réalité.
Les hallucinations peuvent affecter un ou plusieurs sens. Il s'agit le plus souvent d'hallucinations auditives (impression d'entendre des voix ou des bruits) ou visuelles (impression de voir des images irréelles), néanmoins des hallucinations olfactives et/ou tactiles peuvent également être observées.
Lorsqu'on entend des voix, il s'agit d'hallucinations verbales. Elles font partie de la famille des hallucinations auditives (son, bruit). Mais il existe aussi des hallucinations visuelles, olfactives, cénesthésiques (impression qu'on vous touche), gustatives et auditives.
Un traitement à l'olanzapine est le plus courant. Appartenant à la famille des neuroleptiques, il a l'avantage de combiner propriétés antipsychotiques et de régulation de l'humeur à des effets indésirables moins marqués que la plupart des autres médicaments de la même catégorie.
Dans la plupart des cas, les hallucinations auditives ont pour cause une forte consommation d'alcool, de médicaments ou de substances toxiques. Le trouble psychique de type schizophrénie en est également l'une des grandes causes, tout comme certaines maladies neurologiques ou certaines pertes d'audition.
Entendre des sons ou des voix peut également être lié à une maladie neurologique ou encore à une trop forte consommation d'alcool, de substances toxiques ou de médicaments. Les troubles de l'audition peuvent aussi être un point de départ aux hallucinations.
N'importe qui est capable de se parler tout seul dans sa tête : se faire sa liste de courses du week-end, fredonner une chanson, faire un calcul, lire silencieusement… Ces pensées sont comme « formulées » par une petite voix dans la tête. Pour l'instant, la science était incapable de comprendre ce phénomène.
Arrêter de vous juger trop durement
Le manque de confiance en soi vient souvent d'un jugement personnel dur et sans pitié. Si vous tendez à vous juger trop durement, le moyen le plus simple de faire taire votre voix intérieure négative est de demander aux autres ce qu'ils pensent de vous. Vous pourriez être surpris !
Les hallucinations auditives constituent l'un des principaux symptômes de la schizophrénie. Des chercheurs ont cherché à comprendre les origines biologiques de ces "voix". Ils ont découvert que la capacité à subir ces hallucinations apparaissait bien avant le diagnostic de la maladie, parfois même dès l'enfance.
Et une personne saine d'esprit peut, en situation de stress intense combiné à des troubles du sommeil et du surmenage, être victime de véritables hallucinations. Des drogues comme le LSD, des médicaments, un sevrage alcoolique, la faim ou l'altitude sont notoirement hallucinogènes.
Pourquoi entend-on des voix ? Les hallucinations auditives apparaissent dans certaines maladies psychiatriques, en particulier la schizophrénie. « Tous les schizophrènes n'entendent pas des voix.
Les personnes schizophrènes entendent des voix qui leur donnent des ordres, les critquent ou les insultent. Ces voix intérieures sont souvent mal supportées par les personnes qui en sont victimes. Entendre parler alors que personne ne s'exprime autour de soi est une expérience extrêmement dérangeante.
L'hallucination auditive est dite psycho-sensorielle et peut se caractériser par des bruits, de la musique ou même une voix. Le son peut sembler provenir de l'extérieur ou de l'intérieur de la tête. Les causes des hallucinations auditives peuvent être notamment neurologiques, infectieuses ou mentales.
La petite voix dans notre tête serait un atout précieux à la mémoire de travail, nous aiderait à passer d'une tâche à une autre et à résoudre des problèmes. Elle entrerait aussi en jeu dans la régulation de notre attention et de nos comportements. La parole intérieure est toujours présente, souligne Lucile Rapin.
Qu'on l'appelle la "voix intérieure", les "pensées" ou encore le "langage intérieur", nous produisons tous un langage mental de façon volontaire ou spontanée, qui se manifeste par des interjections, des mots, des chiffres, des phrases ou même un monologue ou une conversation intérieure.
Se parler à soi-même améliore la capacité à contrôler son esprit et à se concentrer sur quelque chose d'important, qu'il s'agisse de se préparer à avoir une conversation difficile, de trouver ses clés ou de s'améliorer au tennis. S'y faire prendre est embarrassant, mais il n'y a absolument rien de mal à cela.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
La psychose se définit comme une perte de contact avec la réalité. Lorsqu'une personne a de la difficulté à distinguer ce qui est réel de ce qui ne l'est pas, elle vit un épisode psychotique. Le premier épisode psychotique survient généralement vers la fin de l'adolescence ou au début de l'âge adulte.
La logorrhée est un symptôme souvent présent dans les maladies psychiatriques et neurologiques chroniques. La personne ne se rend pas compte de son trouble, c'est pourquoi il est important de lui expliquer régulièrement ce qui lui arrive pour essayer de contenir son flux verbal.
des études démontrent qu'entre 4 % et 10 % de la population à travers le monde entend des voix et qu'entre 10 % et 39 % de la population a entendu des voix au moins une fois dans sa vie (Shergill, Murray &McGuire, 1998). … entre 70 % et 90 % des gens qui entendent des voix le vivent suite à un événement traumatique.
Parmi les médicaments de cette catégorie, citons la rispéridone (Risperdal), la quétiapine (Seroquel), l'olanzapine (Zyprexa), la ziprasidone (Zeldox), la palipéridone (Invega), l'aripiprazole (Abilify) et la clozapine (Clozaril).
Présente dans diverses pathologies, une hallucination visuelle peut également survenir en l'absence de maladies. En effet, cette altération de la vue qui fait voit des choses qui n'existent pas, est un symptôme associé à des pathologies psychiatriques, ophtalmologiques, neuro-dégénératives, etc.