Un plan doit être dynamique. On doit apporter en conclusion une réponse à la question que l'on a posée en introduction : entre les deux, on doit progresser régulièrement et par étapes de l'une à l'autre.
Une formule assez simple est souvent utilisée pour annoncer un plan : « Afin de répondre à la problématique posée, il serait intéressant d'étudier en premier lieu (axe I), puis en second lieu (axe II) ». L'annonce doit être explicite et claire, et suivant une certaine logique.
Il existe quatre grands types de plans. En effet, il y a les plans thématique, dialectique ou critique, analytique, ou bien encore comparatif.
L'entrée en matière : recadrez le sujet dans son contexte, l'importance de la problématique en évitant les grandes généralités (« de tout temps, les hommes se sont demandé », « depuis toujours »…) b. Réintroduire le sujet, posez votre problématique et déroulez votre plan. « D'abord », « ensuite », « pour finir »…
Très gros plan : il met en valeur un élément extrêmement précis : regard, doigt, téléphone … Plan large ou plan d'ensemble : Plus resserré, il montre un groupe ou un personnage placé dans une partie du décor. Plan moyen : il montre un personnage en pied Plan américain : Le personnage est cadré jusqu'aux cuisses.
La problématique se présente généralement sous la forme d'une question qui peut commencer par « dans quelle mesure », « en quoi », « comment ». Souvent, on n'arrive à la formuler qu'après avoir fait le plan : c'est normal, pas de panique ! Le nom n'est pas un hasard : une bonne problématique doit poser un problème.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
On écrit sans t final le nom plan qui a de nombreux sens et de nombreux emplois : « surface », « représentation graphique », « projet »…
Le développement du devoir s'articule en parties ; mais l'élément de base de la rédaction est le paragraphe. Passez toujours deux lignes entre l'introduction et le développement, le développement et la conclusion ; passez une ligne entre deux parties du développement.
Si vous n'avez qu'une idée dans ce cas, gardez-la pour la conclusion ; si vous en avez trois, montez-les en une troisième partie ; si vous en avez deux, cherchez plus encore pour en trouver une troisième. Trois idées sont un minimum pour élaborer une partie.
Voici quelques exemples : « Pour répondre à cette question, nous étudierons d'abord ….. , puis ……………….. . » « Ce problème sera analysé sous deux angles, d'abord………. , puis, ………………… » « Répondre à cette question, c'est d'abord s'interroger sur …… , puis sur ………., (enfin sur …………..) »
Comment formuler la problématique ? Par quoi commencer sa phrase ? Deux tournures sont très utiles pour lancer le débat : "En quoi ?" et "Dans quelle mesure ?" Les tournures "Par quels moyens... ?", "Pourquoi... ?" ou "Doit-on considérer que... ?" lancent également le débat.
L'annonce de plan se situe à la toute fin de l'introduction, juste après l'exposé de la problématique. Son objectif est de présenter au lecteur la structure de la copie : on va rapidement expliquer quelles sont les grandes parties et comment elles s'articulent.
Ensemble des questions, des problèmes concernant un domaine de connaissances ou qui sont posés par une situation.
La conclusion doit faire l'objet d'un seul paragraphe situé en toute fin de la dissertation. Il s'agit donc d'un texte concis, synthétique et court, où chacune des trois parties peut consister en seulement une phrase. Ce paragraphe de conclusion doit se distinguer du reste du texte par un saut de deux lignes.
L'idéal : Généralement, on commence par relier ce qui va suivre à l'amorce, puis on reformule le sujet, soit en le paraphrasant, soit en se posant des questions qui se rapportent au sujet. A ne pas faire : se contenter de recopier le sujet mot pour mot, sans rien expliquer, et sans montrer les enjeux.
en tout premier lieu. tout d'abord. tout d'abord examinons. tout d'abord il faut dire que.
et, de plus, en outre, par ailleurs, surtout, puis, d'abord, ensuite, enfin, d'une part, d'autre part, non seulement … mais encore, voire, de surcroît, d'ailleurs, avec, en plus de, outre, quant à, ou, outre que, sans compter que…