Remplacer vos fenêtres par du double ou du triple vitrage ; Isoler vos combles pour une meilleure isolation et moins de ponts thermiques en bénéficiant d'aides de l'État ; Changer vos radiateurs : optez par exemple pour des radiateurs à inertie.
Le meilleur moyen d'améliorer son DPE, c'est de réaliser des travaux sur les postes de consommation les plus énergivores. Bien heureusement, le DPE met en évidence ces postes consommateurs ainsi que les coûts qu'ils engendrent sur l'année.
Ce qui est conseillé dans le cadre du DPE, c'est une pompe à chaleur qui ne ferait que le chauffage pendant l'hiver. C'est en effet le système ayant le meilleur rendement, c'est-à-dire permettant de créer le plus de chaleur avec une quantité d'électricité donnée.
En conclusion, le DPE et l'AER vous permettent de savoir si votre logement est classé F ou G, mais ils n'ont pas le même objectif. Le DPE permet de connaître l'étiquette du logement et comporte quelques suggestions succinctes d'amélioration.
Pour réaliser une bonne isolation afin de sortir de la classe énergie E, il convient d'isoler les combles perdus d'un logement par exemple ou repenser l'isolation des vitrages (passer à du double-vitrage par exemple). Le plafond, le plancher et les murs sont en contact avec l'extérieur.
Isoler les murs extérieurs et le plancher bas. La chaleur ne fait pas que monter. Changer les fenêtres. Cela ne doit pas être votre priorité absolue car cela améliore relativement peu la performance énergétique de votre logement, comparé à une isolation de la toiture ou des murs extérieurs.
Comment calculer son DPE soi-même ? Pour obtenir la note DPE de son logement, il suffit de reprendre les consommations d'énergie du logement durant les trois dernières années à de les diviser par la surface du bien.
Généralement, des travaux d'isolation thermique, le remplacement du système de chauffage et le changement des fenêtres permettent d'améliorer la performance énergétique du logement de façon considérable, et notamment de passer de la classe G à la classe F ou E.
Le meilleur moyen pour vous de passer de F à D sur l'étiquette énergie, c'est : Réaliser une rénovation globale, impliquant plusieurs travaux sur des postes différents : VMC double flux, isolation des rampants de toiture et installation d'une chaudière à bûches, par exemple.
À compter de 2023, il ne sera plus possible de louer des logements dont la consommation énergétique excède 450kWh par m² et par an. Plus précisément, il s'agit de tous les logements énergivores classés G sur le diagnostic de performance énergétique (DPE).
1️⃣ L'isolation et le double-vitrage
Un logement mal isolé perd jusqu'à 30% de chaleur, il est donc primordial d'optimiser l'isolation du bâtiment. Il faut avant tout améliorer l'étanchéité : des ouvertures : portes et fenêtres, en installant du double vitrage, et des cloisons : sols, plafonds, combles, murs.
On estime qu'un logement dont la classe énergie est comprise entre A et C est un logement économe avec un bon DPE (jusqu'à 180 Kwh/m²/an et 20 KgeqCO2/m²/an), et un logement dont la classe énergie est comprise entre D et E (de180 à 330 kWh/m2) est un logement énergivore avec un DPE médiocre ou mauvais.
Une bonne isolation thermique est nécessaire pour rendre votre habitat moins énergivore. Pour une construction neuve, optez pour des matériaux isolants écologiques comme la laine de bois, le chanvre, le lin, la laine de coton, le liège ou encore la ouate.
On estime qu'un logement dont la classe énergie est comprise entre A et C est un logement économe avec un bon DPE (jusqu'à 150 Kwh/m²/an et 20 KgeqCO2/m²/an), et un logement dont la classe énergie est comprise entre D et F (au-delà de 151 Kwh/m²/an et 20 KgeqCO2/m²/an) est un logement énergivore avec un DPE médiocre ou ...
Face à cet afflux d'offres, les prix commencent à bouger. C'est pour les logements classés F au titre du diagnostic de performance énergétique (DPE) que l'impact sur les tarifs est le plus fort. Au niveau national, un bien classé A coûte 11% de plus qu'un F. Et localement, les différences sont parfois spectaculaires.
Le diagnostic de performance énergétique (DPE), obligatoire depuis le 1er juillet 2007 en cas d'achat ou de vente d'un logement, vous permet d'être averti sur la qualité de son isolation.
Le DPE décrit le bâtiment ou le logement (surface, orientation, murs, fenêtres, matériaux, etc), ainsi que ses équipements de chauffage, de production d'eau chaude sanitaire, de refroidissement et de ventilation.
Classées de la lettre A (la plus performante) à la lettre G (la moins performante), les étiquettes dépendent des caractéristiques du logement : état de l'isolation, vitrage des fenêtres, type d'équipement de chauffage, éclairage, etc.
Quelle est la durée de validité du DPE ? Le DPE est valable 10 ans. les DPE réalisés entre le 1er janvier 2018 et le 30 juin 2021 sont valables jusqu'au 31 décembre 2024, et ceux réalisés entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2017 sont valables jusqu'au 31 décembre 2022.
L'installation d'une pompe à chaleur. Les pompes à chaleur permettent d'alimenter en énergie le système de chauffage en allant puiser de l'énergie dans l'air ambiant à l'extérieur ou dans le sol. Selon le système de pompe à chaleur privilégié, on peut réduire votre dépense énergétique de l'ordre de 35 à 75 %.
Bien isoler, la priorité
D'après l'Ademe, une isolation thermique performante peut diminuer la consommation d'énergie de 60 % ou plus5 ! Question travaux d'isolation à engager pour améliorer le bilan énergétique de votre maison, privilégiez le toit. 25 à 30 % de la chaleur s'échappe par celui-ci !
En effet, lors d'un diagnostic, le logement est classé de A à G. A signifie que l'habitation est économe, tandis que G correspond à un logement très énergivore, parfois qualifié de passoire thermique. Lorsqu'un bien immobilier est soumis à un DPE, c'est principalement son énergie primaire qui est calculée.