"Merci d'avoir pensé à moi. J'aurais adoré être là mais je ne peux pas." "J'aurais bien aimé mais j'ai un empêchement." "J'ai déjà quelque chose de prévu ce jour-là/ce soir-là/ce week-end là." "Tant pis pour moi, je vais rater une super soirée!" "Merci d'avoir pensé à moi.
Je suis très touché(e) par ton invitation à [la cérémonie/la soirée/au vin d'honneur/ton pot de départ] mais je ne pourrai malheureusement pas y assister. J'en suis vraiment désolé(e) et déçu(e), j'espère que nous trouverons une autre occasion pour nous voir très bientôt.
Nous avons bien reçu votre [invitation, faire-part de mariage…]. Malheureusement, nous avons le regret de vous annoncer que nous ne pourrons pas assister [à la cérémonie, à l'évènement…]. En effet, mon mari et moi serons en voyage d'affaires cette semaine-là.
Exprimez-vous de la manière suivante : « je sais que je t'ai initialement invité à la fête, mais j'ai l'impression que la situation est à présent différente. Je ne veux pas te contrarier ou te vexer, mais je pense qu'il serait préférable que tu ne viennes pas. »
# 1 : Dites-le de vive voix
Vous devez assumer votre non et pour cela, le dire en face à face. Bannissez le mail et répondez lorsque vous êtes seul(e) avec la personne et mettez-vous dans une posture d'égal(e) à égal(e). Pas question que l'un soit assis et l'autre debout. Regardez-le dans les yeux.
Gardez en tête quelques formules faciles pour affirmer votre refus, comme « je suis désolée mais je ne peux vraiment pas t'aider », ou « non, je ne suis pas disponible », ou encore « non, je ne veux pas ».
Voici quelques autres réponses possibles, conseillées par la psychologue: "Merci d'avoir pensé à moi. J'aurais adoré être là mais je ne peux pas." "J'aurais bien aimé mais j'ai un empêchement." "J'ai déjà quelque chose de prévu ce jour-là/ce soir-là/ce week-end là." "Tant pis pour moi, je vais rater une super soirée!"
Formule de politesse utilisée pour exprimer le souhait de ne pas recevoir ou de ne pas faire quelque chose. Exemple : Non merci, je ne reprendrai pas de votre délicieux plat, j'ai assez mangé.
– Nous nous faisons une grande joie de dîner avec vous… – Nous nous faisons une grande joie d'assister à… – Je vous remercie de m'avoir invité à… et je serai heureux d'être parmi vous à cette occasion. – Nous vous remercions de votre aimable invitation, que nous avons le plaisir d'accepter.
Rester aimable sans se justifier
"Par exemple, en écrivant "je ne peux pas t'accorder ce jour de congé" - au lieu de "tu ne peux pas prendre ce jour de congé"- ou "je ne peux pas valider cette proposition", préconise Sylvie Azoulay-Bismuth. On peut, tout de suite après, ajouter une phrase de réconfort.
Proposez une alternative
Soit vous ne pouvez rien y faire, soit vous ne voulez pas, peu importe si vous proposez vous-même une alternative. 'Non, ce n'est pas possible mais je peux en revanche vous proposer ceci…' Posez ainsi vos limites. Vous déplacerez le problème de façon magistrale.
Ne pas se justifier
Dites simplement que vous ne pouvez pas, sans vous justifier et sans mentir, au risque de donner l'impression que votre refus n'est pas légitime. Vous avez le droit d'être fatigué, vous avez le droit de vouloir rester chez vous, vous avez le droit de dire non à ce que vous voulez.
N'hésitez pas en exprimant votre refus : assume pleinement votre position, montre que ce refus est catégorique et qu'il ne peut en être autrement. Vous pouvez par exemple utiliser des mots comme « je pense que … », « je veux … », « j'ai moi aussi envie de … », ou encore « je crois que tu profites un peu de moi… ».
Pour refuser poliment : Chère Madame / Cher Monsieur, Je tiens à vous remercier de l'opportunité que vous m'offrez et du temps que vous m'avez consacré, notamment durant l'entretien. Bien que votre entreprise m'ait séduit·e par son·sa XXXXX, j'ai accepté un poste ailleurs correspondant davantage à mes aspirations.
Utilisez le “oui mais”
L'astuce : Dites : “Ce sera avec plaisir, oui mais là, tout de suite, ce n'est pas ma priorité. Je suis sur un dossier urgent et important. On verra cela plus tard si tu veux bien”. L'avis de la coach : “Proposez un autre créneau pour voir avec votre chef/collègue le sujet en question.
Par exemple, vous pouvez dire ceci : « Je ne peux plus sortir avec toi. Tu m'énerves, car tu ne fais qu'annuler nos programmes sans m'avertir. » Vous pouvez aussi dire quelque chose de gentil, comme ceci : « J'aime beaucoup sortir avec toi, mais je pense qu'il est temps de m'en aller. »
Si la personne insiste, la solution existe !
Tu peux également dire à l'autre que son insistance te gêne : « là tu insistes et ça me gêne ». Si l'autre est vraiment « lourd », mets fin à la discussion : « ma réponse est définitive, je ne veux plus en parler ! ».