Il ne faut pas hésiter à le remettre à sa place en lui faisant remarquer que lui aussi a des choses à apprendre. Puis confiez lui un challenge et demandez-lui de finaliser tel ou tel dossier. Et enfin, n'oubliez pas de lui signaler ses erreurs.
« Ne soyez pas d'emblée sur l'émotion, mais informez la personne endeuillée sur ses droits, préconise Marie Tournigand. Ne vous contentez pas de lui dire qu'elle peut prendre le temps qu'il faudra, précisez-lui la forme de ce temps : le congé de deuil et sa durée, un arrêt-maladie, une disponibilité… ».
Essayer d'écouter sans tenter de « trouver la solution » à quelque chose. Essayer de faire preuve d'empathie face à ses émotions, sentiments, sans jugement, même si ses émotions sont difficiles à comprendre. Demander à la personne comment vous pouvez l'aider. Rappeler à votre collègue que vous êtes là pour lui.
La personne irrespectueuse cherche à vous mettre dans une position inconfortable et à révéler votre faiblesse. Ne lui donnez pas satisfaction et n'entrez surtout pas dans le conflit. Adoptez toujours un air serein, respectueux, aimable et poli face à lui, car cela va vite le désarmer.
Évitez toute critique qui pourrait être vexante et blesser son amour- propre. Laissez alors le temps au salarié de s'expliquer. Prenez le temps de l'écouter, faites preuve d'empathie. Savoir écouter ne signifie pas nécessairement que vous partagez son point de vue ni que vous validez ses excuses.
Invitez plutôt votre collègue à parler de ce qu'il vit. Une fois qu'il a terminé de parler, répétez ce qu'il vient de vous dire et demandez-lui si c'est exact. Ne lui donnez pas de conseils sur les mesures à prendre. Continuez à l'écouter et demandez-lui ce que vous pouvez faire pour l'aider.
Lorsque l'attitude de votre collègue jaloux ou agressif montre une volonté d'envenimer la situation, n'intervenez pas sur le champ. Attendez le bon moment. Il est aussi préférable d'avoir une discussion en tête à tête, sans témoin et dans une démarche d'écoute. Cela oblige généralement l'autre à modérer ses propos.
Vous devez être calme, confiante, ainsi qu'en terrain neutre et professionnel. Restez dans les locaux de l'entreprise, mais ne donnez d'avantage à personne : ni dans votre bureau ni dans celui de l'autre. Préférez un lieu éloigné de tout témoin, où les choses peuvent être posées et dites sans interruption.
Votre écoute sans jugement et sans jamais minimiser son mal-être, reste le meilleur moyen pour aider votre proche à réaliser qu'il a le droit de parler de ce qui lui fait mal, de ce qui ne va pas, pour lui faciliter la conscience de sa situation… et accepter sa vulnérabilité.
Il est plutôt recommandé d'essayer d'exprimer vos sentiments, même si les mots vont vous sembler bien fades, en disant par exemple : Je suis désolé·e. Je tiens vraiment à toi, tu es quelqu'un d'important pour moi. Je pense beaucoup à toi et à ta famille.
Avec quelques questions, amenez-la à parler de sa souffrance. Exprimer ses sentiments est parfois difficile donc, écoutez attentivement et maintenez constamment un contact visuel. Montrer par des gestes que vous tenez à elle, est une chose simple à faire, mais qui peut terriblement aider.
La communication ouverte est essentielle pour résoudre les problèmes et améliorer l'ambiance au travail. Encouragez les employés à exprimer leurs préoccupations, leurs idées et leurs suggestions. Organisez des réunions régulières pour discuter des problèmes et trouver des solutions en collaboration.
Évitez autant que possible de participer aux commérages au sujet des autres collègues, éloignez-vous dès que les ragots commencent, … Restez courtois et poli, mais vos collègues doivent sentir que vous inspirez le respect, même si, en votre absence, ils se lâchent.
Vous pouvez sourire quand un collègue vous ignore grossièrement, mais si c'est le patron, il est temps de vous mettre en chasse pour un autre emploi. Si c'est quelqu'un qui n'a pas d'influence sur vous (affectif ou professionnel), la réponse est simple: ignorez-le totalement en retour.
Vous pouvez simplement rappeler à l'ordre le salarié en lui adressant un courrier afin de lui demander expressément qu'il cesse ses agissements. En cas de réitération de faits similaires, une sanction pourra être prise à son encontre.
Évitez de participer aux commérages et prenez congé dès que vous pouvez. Partez du principe qu'un conflit avec un collègue toxique est perdu d'avance, et protégez-vous du combat frontal. Restez cordial et plus que jamais, faites appel à votre assertivité pour vous concentrer sur vos objectifs professionnels.