à ce moment-là, en ce temps-là, à cette époque.
Alors que est considéré par certaines sources comme vieilli ou littéraire, dans le sens de « lorsque, quand, dans le moment où ». Il sert surtout, dans l'usage actuel, à marquer une opposition : Il se tourne les pouces alors que les autres sont débordés de travail.
Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
Avec l'indicatif, marque une opposition ; tandis que, et pourtant : Ici on grelotte, alors que là-bas on étouffe. 2. Littéraire. Avec l'indicatif imparfait, marque un rapport de temps ; lorsque, quand : Alors qu'il était encore enfant.
Oui, bien sûr.
Synonyme : ainsi que, à l'image de, de la même façon que, de la même manière que, de même que, non moins que, pareil à, tel.
Le principal synonyme de c'est pourquoi est c'est la raison pour laquelle . Il est un peu long, mais il marche à tous les coups. Il y a aussi voici pourquoi , voilà pourquoi , mais ceux-là ont une particularité : ils peuvent aussi introduire une cause.
Postérieurement, ultérieurement. Après, plus tard. Et puis (succession dans le temps) : après cela, au reste, d'ailleurs.
1. De façon égale ; au même degré, au même titre ; pareillement : Ces deux projets sont également intéressants. 2. Aussi, de même : « Paiement » s'écrit également « payement ».
2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
— Oui. (renforcé) Mais oui. Oui, bien sûr. Ma foi, oui.
Oui merci. / Oui s'il vous plaît. Exemple : Je vous ressers ? Oui, merci.
Veuillez recevoir, Madame, Monsieur, l'assurance de mes sincères salutations. Je vous prie d'agréer mes plus respectueuses salutations. Veuillez croire en mes respectueux sentiments. Veuillez croire, cher Monsieur, à mes sentiments cordiaux.
C'est aussi le cas de la locution adverbiale “avec plaisir”. Elle fait partie des expressions pour remercier en français. On peut aussi simplement répondre “merci à toi” ou “merci à vous”.
Des expressions de rechange : Bien sûr ! Pas du tout ! Absolument !
Dans pour que je puisse , on écrit puisse avec la terminaison -e . Ce verbe est conjugué au subjonctif présent, avec le sujet je . On écrit donc par exemple : pour que je puisse m'organiser , pour que je puisse vous les transmettre , pour que je puisse commencer .
Si le remplacement par « bien que » est possible, il faut écrire « quoique », en un seul mot. Dans le cas contraire, il s'agit de la locution « quoi que ». Quoiqu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite. = Bien qu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite.
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.