Car, parce que et puisque sont tous invariables. Ils ont un sens très proche et sont utilisés pour exprimer un lien causal entre une action et un résultat. « Car » est une conjonction de coordination et permet de donner une explication, une raison, une cause.
On écrit toujours « puisque » en un seul mot
Cette conjonction de subordination est utilisée pour introduire une explication ou une justification considérée comme évidente ou incontestable, déjà connue du locuteur ou exprimant une raison ou une cause. Elle est invariable et est souvent placée en début de phrase.
2) Puisque
Marque la cause, connue ou évidente pour tous. Le plus souvent en début de phrase !
On écrit « parce que » lorsque l'expression répond à la question « pourquoi ? ». Une autre astuce consiste à remplacer « parce que » par « car ». Si c'est possible sans changer le sens de la phrase, alors il faudra écrire « parce que » en deux mots.
Les conjonctions de coordination ne doivent pas s'employer en début de phrase ; si cette règle peut souffrir quelques exceptions, essentiellement pour des raisons stylistiques, s'agissant de mais, donc ou et, il n'en va pas de même pour car.
« Puisque » est une conjonction de subordination. Il est moins employé que « car » et « parce que » et exprime plus généralement une raison, une justification. Exemple : « Je ne peux pas venir ce soir puisque je travaille ».
Attendu que, car, comme, puisque, etc.
Conjonction qui fait la liaison d'une cause et d'une conséquence intimement liées. Marque le motif et la cause, la raison évidente et introduit une justification impatiente.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
La virgule avant le mot puisque est obligatoire.
- en raison de / des /d', par suite de, compte tenu de / des /d' : suivi d'un déterminant + nom. Exprime une cause officielle et insiste sur la temporalité du fait. Ex. : En raison d'un arrêt de travail, l'établissement est fermé.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Les termes et structures qui expriment la cause sont : parce que, puisque, comme, car, en effet, étant donné (que), vu (que), du fait de, en raison de, faute de, sous prétexte que, suite à, à cause de, grâce à, pour et par.
Quelquefois s'écrit en un seul mot et ne prend jamais de "s" à la fin de "quelque" ; quelques fois s'écrit en deux mots, et "quelques" est toujours au pluriel.
La conjonction car introduit une justification, ou mieux, une explication de ce qui précède, ce qui permet de remplacer car par en effet : Marie est malade ; en effet, je ne l'ai pas vue de la journée.
Si le remplacement par « bien que » est possible, il faut écrire « quoique », en un seul mot. Dans le cas contraire, il s'agit de la locution « quoi que ». Quoiqu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite. = Bien qu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite.
Attendu que, car, comme, puisque, etc.
de cette façon, de cette manière, comme cela, de la sorte.
Parce que = par la raison que. Je n'irai pas parce qu'il est trop tard. Par ce que = par cela même que, du fait de.
Synonyme : bâtir, composer, confectionner, constituer, construire, créer, dessiner, détailler, édifier, élever, engendrer, exécuter, fabriquer, façonner, forger, former, manufacturer, modeler, monter, opérer, préparer, produire, réaliser, tracer, usiner.
- Car introduit une justification de ce qui est énoncé dans la proposition qui précède et se rapproche plutôt de puisque qui exprime la conséquence : 'Pierre n'a pas été renvoyé, car il est l'ami de Jean'.