Le candidat doit montrer qu'il a acquis des capacités d'analyse, qu'il maitrise des connaissances, sait les sélectionner et les organiser de manière à répondre à la problématique de la question. L'intitulé de la question suggère des éléments de construction de la réponse ».
- Il est composé de plusieurs parties (deux ou trois). - Chaque partie doit correspondre à une idée. * Rédiger la conclusion. Elle résume en quelques lignes le développement et éventuellement ouvre à ce qui peut se passer ensuite (si c'est une question d'histoire).
À soigner au brouillon, avec trois éléments obligatoires : une présentation du sujet, situant spatialement et chronologiquement (qu'il faut justifier), parfois commencée par une courte histoire ou une citation pertinente (qu'il faut expliquer) ; l'énoncé de la problématique ; l'annonce du plan.
Pense à reprendre des éléments de la question !
Tu reprendras des éléments de la question dans ta réponse pour être bien clair. Tu dois faire comme si la personne qui te lit ne connaissait pas la question. Tu ne commenceras jamais une réponse par : - Oui, car / parce que… - Non, car / parce que…
Si on peut répondre oui ou non à la question posée, il sera plus simple d'y répondre et d'y apporter des nuances comme dans l'exemple précédent. Une bonne problématique doit être originale sans être insolvable. En effet, il faut trouver le juste milieu entre banalité, généralité et innovation, originalité.
La problématique que vous allez retenir doit présenter pour vous un intérêt et elle doit conduire à développer une démonstration argumentée pour y répondre. Elle ne doit donc pas conduire à une réponse descriptive ou catalogue.
Ensemble des questions, des problèmes concernant un domaine de connaissances ou qui sont posés par une situation.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
Nous estimons que / Nous sommes d'avis que... / Il nous semble que... Les résultats de notre étude sur... montrent que... De façon générale, l'analyse a permis de constater que...
Conclure (utilisé surtout pour la conclusion d'une production écrite) : au total, tout compte fait, tout bien considéré, en somme, en conclusion, finalement, somme toute, en peu de mots, à tout prendre, en définitive, après tout, en dernière analyse, en dernier lieu, à la fin, au terme de l'analyse, au fond, pour ...
La problématique de recherche présente l'ensemble des concepts, des théories, des questions, des hypothèses, des méthodes et des références qui contribuent à clarifier et à développer un problème de recherche. Ces informations sont groupées en deux grandes catégories.
Autrement dit, à chaque fois que le sujet pose la question de "dans quelle mesure", vous devez situer votre point de vue sur un curseur et donc nécessairement envisager les limites (les mesures) à l'assertion proposée par le sujet... Un synonyme pourrait être "à quelles conditions".
La problématique est « l'art de poser les bonnes questions » ; c'est aussi, selon Michel Béaud (1999) « l'ensemble construit autour de la question principale ». Mais chaque question ne constitue pas une problématique ; on nous précise alors que la question doit être pertinente.
La « question de recherche » est le « Quoi » de la recherche et la problématique en est le « Comment ». La « problématique » est le chemin que le chercheur choisit de suivre pour tenter de trouver la répondre à la « question de recherche ».
Hypothèses. 1. Après avoir choisi son sujet, il s'agit de définir et préciser la manière dont on veut l'aborder. Il faut déterminer la question principale autour de laquelle s'articulera le travail de recherche et émettre de façon hypothétique une réponse à cette question.
Une problématisation, c'est l'ensemble des pratiques discursives ou non discursives qui fait entrer quelque chose dans le jeu du vrai et du faux et le constitue comme objet pour la pensée [2] 1489.. Si l'apparition d'un terme dans un corpus donné est « un fait qui ne doit être ni sous-estimé ni surinterprété » [3]
Je réponds toujours par une phrase rédigée qui reprend les mots de la question. Si la réponse est dans le texte, je dois répondre en CITANT le texte entre guillemets. Je précise entre parenthèses la ligne du texte où j'ai trouvé ma citation.
contre-question — Wiktionnaire.